🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 19 juillet à 19h, Marion Sigaut, historienne spécialiste du XVIIIe siècle, sera en direct sur Géopolitique Profonde avec Mike Borowski pour discuter de son dernier ouvrage.
- Le 14 juillet, loin d’être une célébration de la liberté, marque l’effondrement de la France traditionnelle et le début de la terreur révolutionnaire.
- La République, née d’une stratégie orchestrée par les élites et la franc-maçonnerie, a imposé une centralisation brutale, détruisant l’identité paysanne et les libertés locales.
- La Révolution française, projet anti-chrétien radical, a profané les églises et persécuté les catholiques, remplaçant la foi par un humanisme technocratique.
Le 19 juillet à 19h, Marion Sigaut est l’invitée de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Marion Sigaut est une historienne et conférencière française, spécialiste du XVIIIe siècle. Elle a publié plusieurs ouvrages sur l’histoire religieuse, politique et sociale de la France. Elle se définit comme femme, française, catholique et patriote, et critique la censure et la manipulation de l’histoire officielle. Son dernier ouvrage s’intitule Sexologie et mensonges, aux éditions Ré-histoire pour tous.
Le 14 Juillet, acte de naissance d’une République contre la France
Le 14 juillet ne célèbre pas la liberté du peuple, mais l’effondrement de la France traditionnelle. En démantelant la Bastille, les révolutionnaires n’abattent pas une prison de la tyrannie, mais une structure judiciaire de transition où résidaient sept détenus dont aucun prisonnier politique. Ce jour n’inaugure pas la souveraineté populaire, il inaugure la terreur, la décapitation du roi, la destruction de l’ordre chrétien et la fin des libertés locales. C’est un acte de guerre contre la monarchie capétienne et l’alliance millénaire du trône et de l’autel.
La République ne s’est pas bâtie sur un soulèvement populaire spontané mais sur une stratégie savamment orchestrée par les élites bourgeoises et les loges maçonniques. La Révolution a balayé les coutumes, les communautés rurales, les guildes, et imposé une centralisation brutale, administrative et antinaturelle. L’identité charnelle du paysan français a été liquidée par une République qui a remplacé l’enracinement par l’abstraction. Le 14 juillet est une trahison nationale, pas une libération.
La République, projet maçonnique et anti-chrétien
Dès ses origines, la République puise ses principes dans la franc-maçonnerie. Voltaire, figure phare des Lumières, est initié en 1778 à la loge des Neuf Sœurs, épicentre du projet révolutionnaire. La franc-maçonnerie n’est pas un simple réseau d’influence, elle est le laboratoire idéologique de la République. Liberté, égalité, fraternité ne sont pas des valeurs universelles : ce sont les mots de passe d’un ordre ésotérique qui substitue la foi chrétienne par un humanisme gnostique et technocratique.
La Révolution française fut l’opération politique la plus radicalement anti-chrétienne de l’histoire européenne. L’abolition du calendrier liturgique, la profanation des églises, la déportation des prêtres, les noyades de Nantes : la République s’est construite dans le sang des catholiques. La laïcité est l’écran idéologique d’un pouvoir antireligieux. Ce régime est né dans la haine du Christ et dans l’adoration d’un homme abstrait, désincarné, pur produit d’un rationalisme illuminé.
Lumières, mondialisme et empire de l’Antéchrist
Les philosophes des Lumières n’ont pas préparé l’émancipation des peuples, ils ont théorisé leur déracinement. Rousseau, Voltaire, Diderot ont fourni à l’élite maçonnique les instruments idéologiques pour démanteler la monarchie, la religion, la famille, la nation. Leur héritage est le cosmopolitisme intégral, celui qui refuse les identités concrètes et prépare la gestion globale des consciences par des technocrates déterritorialisés.
Le mondialisme contemporain est l’héritier direct de ce projet. Le règne de la République universelle est le règne de l’Antéchrist : suppression des frontières, dissolution des cultures, culte du progrès et de la marchandise. L’homme postmoderne, sans foi ni racine, n’est pas libre : il est l’esclave d’un pouvoir invisible, d’une religion politique sans transcendance. La République n’est pas neutre : elle est le temple d’un projet messianique inversé, un simulacre de salut par l’effacement de Dieu.
IMPORTANT - À lire
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