🔥 Les essentiels de cette actualité
- La contribution française à l’UE explose de 30 à 55 milliards d’euros entre 2025 et 2026, sans contrôle démocratique. Une ponction massive qui inquiète.
- La PAC chute de 30 %, sacrifiant les agriculteurs français pour financer des projets technocratiques et idéologiques de l’UE. Un désengagement flagrant.
- Le budget pluriannuel de von der Leyen vise une transformation radicale : transition verte, digitalisation, défense. Les nations paient, l’UE impose.
- Le Great Reset accélère : Bruxelles vide les caisses nationales pour un projet supranational. La France subit une double trahison.
Le 20 juillet à 12h30, Mike Borowski révèle comment la France va verser 55 milliards à une Union européenne qui étrangle nos agriculteurs, impose sa vision du Great Reset et prépare en silence la plus grande saignée fiscale de la décennie.
Une contribution française hors de contrôle
La contribution de la France au budget de l’Union européenne bondit de manière vertigineuse : de 30 milliards d’euros en 2025, elle passe à 55 milliards en 2026. Une augmentation de 25 milliards qui n’a rien d’anecdotique. Ce n’est plus une simple participation, c’est une ponction. Tandis que les dépenses nationales sont rabotées au nom de la rigueur budgétaire, l’argent des Français file à Bruxelles sans la moindre transparence ni contrôle démocratique.
Ce transfert massif de richesse intervient dans un contexte de désengagement flagrant de l’UE sur des postes clés comme l’agriculture. Alors que la France est historiquement bénéficiaire de la Politique Agricole Commune, la PAC chute de 30 % pour nos agriculteurs. Ce n’est plus une réorientation, c’est une liquidation. L’Union choisit délibérément de sacrifier les campagnes françaises pour alimenter des lignes budgétaires hors sol, technocratiques, et souvent idéologiques.
Le grand détournement européen
Cette explosion de la contribution française masque en réalité un basculement complet des priorités de l’Union. Le futur budget pluriannuel, préparé par Ursula von der Leyen, affiche des ambitions qui relèvent du dogme : financement de la transition verte, digitalisation, défense européenne, soutien militaire à l’Ukraine, tout y passe. Les États membres, eux, doivent payer, se taire et se soumettre.
Ce n’est pas un budget, c’est un outil de transformation radicale. La logique est simple : siphonner les ressources des nations pour renforcer une Europe fédérale sans légitimité populaire. Les 25 milliards supplémentaires ne serviront pas à construire des routes en Corrèze ni à financer des écoles en Bretagne. Ils alimenteront des fonds opaques, distribués par la Commission à ses partenaires idéologiques et à ses causes du moment.
La mécanique du Great Reset
Ce que l’on observe n’est pas un glissement progressif, c’est une accélération. Le Great Reset n’est plus une théorie, c’est un plan d’action. La confiscation budgétaire orchestrée par Bruxelles est l’un de ses leviers majeurs. En vidant les caisses nationales pour financer un projet supranational, l’Union impose un modèle unique : décroissance, contrôle, ingénierie sociale. Et ce modèle avance sans que les peuples ne soient consultés.
Dans le même temps, la France annonce 44 milliards de coupes budgétaires, des suppressions de jours fériés, des hausses d’impôts à peine déguisées. Le gouvernement serre la vis à l’intérieur pour pouvoir honorer ses engagements extérieurs. C’est une double trahison : d’un côté, la rigueur imposée aux Français ; de l’autre, la générosité sans limites pour une Europe hors-sol. Le pire, c’est que cette stratégie est assumée.
Les faits sont là, bruts et inéluctables. La contribution française explose pendant que nos services publics s’effondrent. Les agriculteurs, les classes moyennes, les contribuables paient pour un projet dont ils ne veulent pas. L’Union européenne a cessé d’être un cadre de coopération : elle devient une machine d’appauvrissement et de déconstruction. La question n’est plus de savoir si l’on peut réformer cette structure. Elle est devenue un piège. Un piège qui se referme sur ceux qui continuent d’y croire.
IMPORTANT - À lire
Pour aller plus loin dans la compréhension de ces enjeux cruciaux, découvrez notre revue papier mensuelle. Chaque mois, nous décryptons en profondeur les rouages du Great Reset et les stratégies de l'Union européenne pour imposer son modèle unique.
De la confiscation budgétaire orchestrée par Bruxelles à l'appauvrissement programmé des nations, nous mettons en lumière les mécanismes d'un système qui avance sans contrôle démocratique. Une revue indispensable pour saisir les dessous de l'actualité et anticiper les défis de demain.