🔥 Les essentiels de cette actualité
- Alexandre Juving-Brunet dénonce une élite oligarchique verrouillant la France, criminalisant la dissidence et imposant son idéologie totalitaire.
- Macron, marionnette de l’État profond, détruit volontairement la France avec une efficacité terrifiante, aligné sur les intérêts de Washington.
- Des morts suspectes entourent l’affaire Alstom, où Macron joua un rôle clé. Trois témoins décédés, un dernier caché. Une série noire inquiétante.
- Le pouvoir, face à une contestation croissante, élimine les voix dissidentes par la peur et la purge. La dissidence devient une ligne de front.
Le 20 juillet à 9h, Alexandre Juving-Brunet est l’invité de Nicolas Stoquer et Lara Stam, dans Le Libre Journal de Géopolitique Profonde !
Alexandre Juving-Brunet est une figure publique connue pour son engagement dans divers mouvements sociaux et politiques. Ancien capitaine de gendarmerie, il s’est fait remarquer par son implication dans des initiatives citoyennes et a été médiatisé pour ses prises de position sur des questions de souveraineté nationale et de résistance civile.
Une dissidence en état de siège
Alexandre Juving-Brunet ne parle pas de Résistance à la légère. Pour lui, ce mot sacré n’appartient qu’aux hommes prêts à mourir face au pouvoir. Lui se considère comme un dissident, lucide, exposé, mais encore vivant. Il observe une Europe occidentale – et surtout une France – verrouillée par une caste oligarchique qui n’entend rien céder. Cette élite impose son idéologie totalitaire, façonne les masses à son image, criminalise la pensée dissidente et écrase les derniers foyers de contestation réelle.
Le système en place ne tolère plus rien en dehors de son récit officiel. Toute divergence est broyée par la diffamation, la censure, ou la mort sociale. Mais Juving-Brunet ne se contente pas d’analyser ce régime. Il accuse les Français de complicité par passivité. À ses yeux, trop de citoyens « crèvent » de lâcheté et de confort, incapables de prendre conscience du désastre en cours. Le réveil ne viendra que si une minorité lucide secoue cette torpeur généralisée.
Macron, symptôme d’un État profond pathologique
Emmanuel Macron incarne la marionnette idéale de l’État profond. Une figure creuse, instable, névrosée, sélectionnée pour sa capacité à servir sans scrupule l’agenda des puissances transnationales. Son mépris constant pour le peuple français, ses provocations répétées, ses mensonges compulsifs ne relèvent pas de l’erreur politique. Ils relèvent d’une stratégie de destruction. Macron détruit volontairement la France. Et il le fait avec une efficacité terrifiante.
Sa haine viscérale de la Russie poutinienne illustre cette logique suicidaire. Contre toute rationalité historique et géopolitique, il s’aligne aveuglément sur les intérêts de Washington et de l’OTAN, entraînant la France dans des conflits qui ne sont pas les siens. Cette folie impériale n’est pas une dérive. C’est le cœur du projet : briser les nations, les traditions, les souverainetés. Macron ne gouverne pas. Il exécute. Et chaque jour qui passe le rapproche de l’irréparable.
Une série noire autour de l’affaire Alstom
Les morts suspectes s’accumulent autour du dossier Alstom, ce scandale d’État dans lequel Macron joua un rôle central en 2016-2017. Quatre hommes connaissaient les détails les plus compromettants de cette vente stratégique au profit de General Electric. Aujourd’hui, trois sont morts, et le dernier vit caché, craignant pour sa vie. Éric Denécé, fondateur du CF2R, a été retrouvé mort dans sa voiture, fusil en main. Le suicide est contesté. Olivier Marleix, député LR, a été retrouvé pendu chez lui quelques semaines plus tard. Un manuscrit explosif sur l’affaire dormait dans son bureau. Jean-Michel Quatrepoints, journaliste d’investigation, meurt en début d’année. Tous avaient enquêté. Tous avaient parlé.
Le dernier témoin clé encore en vie, Frédéric Pierucci, ancien cadre d’Alstom emprisonné aux États-Unis, s’est volatilisé. Cette série noire ne peut plus être ignorée. Ces morts ne sont pas des hasards. Elles frappent ceux qui savaient. Ceux qui pouvaient relier les points. Ceux qui mettaient en péril la légitimité d’un président dont le rôle dans cette trahison économique est de plus en plus intenable. L’affaire Alstom est une bombe. Et l’État profond élimine les détonateurs un à un.
Le pouvoir resserre son étau dans la peur
Au-delà de ces morts, d’autres figures de la dissidence disparaissent. Générals, officiers de renseignement, députés, journalistes : tous ceux qui dérangent meurent, se taisent ou disparaissent. Le climat est clair : le régime a peur. Il ne contrôle plus l’information. Il ne maîtrise plus la rue. Il ne parvient plus à canaliser la colère. Alors il frappe. De plus en plus fort. De plus en plus sournoisement. Ce n’est plus de la répression. C’est de la purge.
La dissidence n’est plus une posture intellectuelle. C’est une ligne de front. Ceux qui parlent risquent gros. Ceux qui savent se taisent ou s’exilent. Le pouvoir ne tolère plus aucune opposition structurée. Il sait que le peuple gronde, que la contestation réelle monte, que l’illusion démocratique s’effondre. Alors il tue symboliquement, médiatiquement, et peut-être physiquement. Ce pouvoir n’a plus rien à perdre. Et c’est précisément pour cela qu’il est devenu dangereux.
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