LE SECRET DU CONTRÔLE TOTAL DE LA POPULATION

La charte Biderman ou le contrôle de la population pendant le covid-19

Quelle surveillance de la population à l’ère du Covid-19 ?

Aujourd’hui, si vous ne comprenez à peu près plus rien à la situation actuelle de la société française, c’est une bonne nouvelle, vous êtes en bonne santé mentale.

Votre cerveau a dû court-circuiter toutes les absurdités et injustices, et est passé outre toutes les décisions arbitraires de notre gouvernement pour nous faire gober la pilule (peu importe l’orifice).

Mais saviez-vous que les « jeux psychologiques » sur lesquels nos Élites nous font danser « semblent » avoir déjà été utilisés ?

Quand ?

Laissez-moi vous citer un peu la charte de Biderman, mais attention ! Toute ressemblance avec des événements actuels ne serait que purement fortuite.

Wikipédia :

« La charte de Biderman de la torture psychologique, également appelé principes de Biderman, est un tableau élaboré par le sociologue Albert Biderman en 1957 pour illustrer les méthodes de torture chinoises et coréennes sur les prisonniers de guerre américains pendant la guerre de Corée. Ce tableau répertorie huit principes généraux et chronologiques de torture qui peuvent briser psychologiquement un individu.»

« Albert D. Biderman, un spécialiste des sciences sociales de l’US AIR Force, a été chargé de rechercher pourquoi de nombreux prisonniers américains capturés par les forces communistes pendant la Guerre de Corée coopéraient. Après des entretiens approfondis avec des prisonniers renvoyés aux États-Unis, Biderman conclut qu’il y a trois éléments principaux constitutifs du contrôle coercitif utilisé par les interrogateurs communiste : « la dépendance, la débilité et la terreur ». Biderman a résumé ses conclusions dans un tableau publié pour la première fois dans l’article « Communist Attempts to Elicit False Confessions From Air Force Prisoners of War » (tentatives communistes pour obtenir de fausses confessions des prisonniers de guerre de l’armée de l’air) dans le numéro de 1957. L’article présentait une analyse des méthodes de torture psychologique, plutôt que physiques, utilisées pour contraindre à la divulgation d’information et aux faux aveux. »

La dépendance, la débilité, et la terreur sont donc les maîtres-mots pour maintenir des individus en esclavage mental. J’imagine que vous commencez à faire quelques liens logiques.

La suite risque de vous être encore plus familière avec certaines évènements contemporains.

Quelles sont donc ces méthodes utilisées ?

1) Isoler la victime

Il s’agit de :

  • Priver la personne des soutiens et liens sociaux qui lui donneraient la capacité de résister ;
  • Développer chez la victime une inquiétude intense à propos d’elle-même ;
  • Rendre la victime dépendante de l’autorité.

Saviez-vous qu’il y a eu plus de morts par suicide que par Covid au cours de cette année 2021 ? La source de cette affirmation est juste ici.

C’est ce qui arrive lorsque vous passez votre vie à avoir un travail « intéressant », à tout faire pour le garder, le tout en essayant de vivre décemment dans ce monde violent économiquement et que soudain, on vous prive de vos libertés de consommation, de loisirs, avec en bout de chaîne, du chantage.

Bien entendu, offrir du crédit, et laisser décider des soins apportés à son corps – et donc sa vie – par un représentant commercial de lobbies pharmaceutiques me semble une décision sage.


2) Monopoliser la perception

Il s’agit de :

  • Fixer l’attention de la victime sur une situation difficile et urgente, forcer son introspection.
  • Éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité.
  • Punir toutes les actions d’insoumission.

Être dans l’urgence, nous pousse toujours à réaliser des compromis dans lesquels nous sommes perdants. C’est du marketing voire de l’ingénierie sociale, donc de la psychologie appliquée au grand nombre.

On peut la retrouver dans bon nombre de situations de la vie quotidienne.

Exemple : si je me soumets à telle compromission, je serai tranquille, ma vie sera plus simple. Loi coercitive, proposition commerciale, chantage (affectif, moral, physique, etc.).

Aujourd’hui boire un café avec le pass-sanitaire de votre frère est passible de garde à vue. « J’aurai mieux fait d’être vacciné » doit penser ce malheureux condamné.

3) Provoquer l’épuisement

Affaiblir la volonté de résistance, qu’elle soit physique ou mentale. Un des outils de l’ingénierie sociale utilisée par les médias : montrer l’affaiblissement de la contestation, insister sur des mots-clés dévalorisant pour décourager les contestataires, etc.

Petit exemple : Un groupuscule de 5 personnes entouré de passants, tentent toujours – et tristement – de se faire entendre

Travailler dur toute la semaine et sacrifier son samedi et/ou son dimanche pour finir en garde à vue pour avoir voulu défendre ses libertés individuelles est toute bonnement épuisant.

4) Présenter des menaces : cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir

En guerre contre qui ? Quel ennemi ?

Si le vôtre est la précarité quotidienne, la spoliation de l’État envers les petites gens, et la dépossession de vos actifs pour plaire au FMI, pardon, mais Emmanuel ne joue pas pour vous faire gagner. Par contre, je vous invite à cliquer ici pour commencer à vous débancariser. Ne serait-ce que pour la beauté du geste de l’insoumission, si nous sommes en guerre, soyons des artistes martiaux.

5) Se montrer occasionnellement indulgent

On prend sa dose et on avance vers la carotte !

Procurer une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre. Empêcher également ainsi à l’accoutumance aux privations imposées.

Nous avons ici une série magnifique d’exemples : en France pour vous récompenser d’accepter de force une piquouse, aux USA pour récompenser les enfants de suivre les conseils de leurs parents responsables, et si l’argent ne vous convient pas, pas d’inquiétude, le pouvoir s’adapte et vous gâte en vous distribuant des airpods comme dans la ville de Washington !

6) Démontrer la toute-puissance du pouvoir

Suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance à l’autorité : « vous êtes impuissant, laissez tomber !« 

Notre Saint ministre a l’habitude de cumuler plusieurs de ces règles en même temps, un virtuose !

7) Dégrader la victime

Il s’agit ici de faire apparaître le prix de sa résistance comme plus dommageable que sa capitulation pour l’estime de soi. Réduire la victime au niveau de la survie animale.

Outre le confinement, les restrictions d’accès, vous vous souvenez de ces magnifiques pubs du gouvernement pour montrer que vous êtes des monstres ? Même les enfants doivent se sentir coupable selon le gouvernement !

8) Exiger des actions stupides et insensées

Il faut développer les habitudes de soumission à l’autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.

Hygiène et prévention du Covid-19

D’un côté, on peut forcer un être à accomplir des actions absurdes sur lui-même. De l’autre, on peut forcer le collectif à imposer des actions absurdes, comme ci-dessous en Allemagne !

Le principe d’exiger, c’est de ne pas pouvoir y échapper.

Bien entendu, toute ressemblance avec des faits déjà existants ne serait que purement fortuite, je préfère vous le rappeler. Comme on permet de se le dire en milieux autorisés :

« Je pose ça là, vous en faites ce que vous voulez. »

Point de prosélytisme sur Géopolitique Profonde.

Maintenant que vous savez ce qui met la population dans la dépendance, la débilité, et la terreur, il est temps d’agir :

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