EPSTEIN : MULTIPLES « SUICIDES » DANS LE PLUS GROS RÉSEAU PÉDOCRIMINEL DU MONDE !

Affaire Epstein, suicide étrange

Epstein et Brunel « suicidés » dans leur cellule

Après le suicide déjà étrange du fameux délinquant sexuel Jeffrey Epstein, son associé Jean-Luc Brunel, l’un des principaux recruteurs de mannequins en France, a été retrouvé mort pendu dans sa cellule de la prison de la Santé à Paris le 19 février dernier. Âgé de 74 ans, il était mis en examen depuis décembre 2020 pour des accusations de « viols sur mineurs » et « harcèlement sexuel ».

Selon 20minutes, depuis le début de l’affaire, Jean-Luc Brunel, 75 ans, clamait son innocence. Arrêté en décembre 2020 à l’aéroport Charles-de-Gaulle à Paris, alors qu’il s’apprêtait à prendre un avion pour le Sénégal, il avait été placé en détention provisoire. Le 19 février, à 1h50 du matin, les gardiens l’ont retrouvé pendu dans la cellule où il se trouvait seul. Malgré l’intervention des secours, il est déclaré mort à 2h05. Au cours des 14 mois de sa détention, Jean-Luc Brunel avait fait deux tentatives de suicide. « Nous avons souligné à de très nombreuses reprises qu’il était dans un état de santé très dégradé. Un expert psychiatre avait indiqué qu’il y avait un risque de fragilité psychologique particulier en cas de maintien prolongé en détention », indiquent à 20 Minutes ses avocats, Mathias Chichportich, Marianne Abgrall et Christophe Ingrain.

Détenu avec d’autres VIP au quartier QB4 (quartier bas numéro 4), Jean-Luc Brunel faisait l’objet d’une surveillance particulière par le personnel pénitentiaire. « Dans le cas où un détenu a déjà eu des crises suicidaires, il peut être décidé, avec le médical, de mettre en place une surveillance spéciale », explique Erwan Saoudi, délégué du syndicat FO pénitentiaire pour l’Ile-de-France. « La nuit, on va aller plus régulièrement faire un contrôle à l’œilleton pour s’assurer que la personne va bien. Un détenu lambda, on va faire trois contrôles visuels au cours de la nuit. Là, on va quasiment doubler le nombre de contrôles. Mais on ne peut pas non plus y aller toutes les heures, car c’est aussi oppressant pour la personne détenue. Il faut trouver le juste équilibre. »

Deux personnages majeurs arrêtés et placés sous haute surveillance ont réussi à se retrouver morts dans leurs cellules : a-t-on le droit de questionner ces failles des systèmes pénitentiaires soit disant supers sécurisés ?

Coïncidence

Ghislaine Maxwell : un juré qualifie sa fausse réponse au questionnaire de « plus grosse erreur »

La dernière associée majeur des pédocriminels, Ghislaine Maxwell, a quant à elle était arrêtée durant l’été 2020. Nous sommes en attente depuis d’informations capitales, mais rien ne fuite de son procès peu médiatisé. Il y a d’ailleurs eu un problème récent concernant un mensonge flagrant d’un juré de l’affaire Ghislaine Maxwell.

Ce juré qui n’a pas révélé avoir été abusé sexuellement dans un questionnaire préalable au procès a déclaré lors d’une audience mardi qu’il regrettait profondément cette erreur et l’a qualifiée d’involontaire.

« C’est l’une des plus grosses erreurs que j’ai commises dans ma vie », a-t-il déclaré, assis à la barre du tribunal, en réponse aux questions de la juge Alison Nathan, du tribunal fédéral de Manhattan. Le juré était accompagné de son avocat Todd Spodek.

L’erreur pourrait mettre en péril la condamnation pour trafic sexuel de la mondaine britannique. Ses avocats ont demandé à un juge d’annuler le verdict, arguant qu’ils auraient pu s’opposer à sa présence dans le jury s’ils avaient été au courant de son histoire.

Tiens tiens tiens Booba

Le juge a posé des dizaines de questions au juré n°50 au sujet de sa fausse réponse sur le questionnaire qui lui demandait directement s’il avait été victime d’abus sexuels.

Il a dit qu’il avait « survolé trop rapidement » le formulaire de sélection que tous les jurés potentiels doivent remplir.

Le juge lui a demandé s’il était intentionnellement inexact. « Absolument pas », a-t-il répondu, ajoutant que s’il le pouvait, il retirerait son erreur « sans hésiter ».

Le juré a expliqué qu’il avait été abusé sexuellement à l’âge de 9 et 10 ans par deux personnes mais qu’il ne l’avait pas signalé à sa mère avant d’être au lycée.

Maxwell, 60 ans, vêtu d’une combinaison de prison bleue, a griffonné des notes dans la salle d’audience pendant l’audience qui a duré environ une heure et demie.

La question n° 48 sur le long formulaire de présélection qu’il a rempli en novembre était la suivante : « Avez-vous, ou un ami ou un membre de votre famille, déjà été victime de harcèlement sexuel, d’abus sexuel ou d’agression sexuelle ? (Cela inclut une agression sexuelle réelle ou une tentative d’agression sexuelle ou toute autre avance sexuelle non désirée, y compris par un étranger, une connaissance, un superviseur, un enseignant ou un membre de la famille). »

Le juré n°50 a coché une case indiquant « Non ».

Avant de témoigner, le juge a accordé l’immunité au juré à la demande des procureurs après que Spodek ait dit que son client invoquerait son privilège du cinquième amendement contre l’auto-incrimination sans cette protection.

Maxwell a été reconnu coupable en décembre de trafic sexuel et d’autres accusations pour avoir recruté des jeunes femmes afin qu’elles soient abusées sexuellement par feu le financier Jeffrey Epstein, qui s’est suicidé en 2019 alors qu’il attendait son procès pour crimes sexuels.

Après que Maxwell a été déclaré coupable, le juré a déclaré aux journalistes dans des interviews qu’il avait partagé son expérience avec le panel pendant les délibérations. Il a décrit avoir fait pencher certains jurés qui étaient sur la barrière qu’un souvenir imparfait de l’abus ne signifiait pas qu’il n’avait pas eu lieu.

Le juge Nathan devrait se prononcer sur la demande de nouveau procès après que les deux parties auront déposé leurs arguments écrits. Il est actuellement prévu que Maxwell soit condamné en juin.

Melinda Gates admet que l’amitié de Bill avec Epstein a contribué au divorce

Melinda French Gates a reproché à son ex-mari Bill Gates d’avoir rencontré à de multiples reprises Jeffrey Epstein.

Lors de sa première interview télévisée depuis que le couple a annoncé son divorce en mai dernier, Melinda Gates a également reconnu qu’elle avait rencontré une fois Epstein, disant qu’après, elle « faisait des cauchemars ».

« Je voulais voir qui était cet homme, et je l’ai regretté dès la seconde où j’ai franchi la porte », a-t-elle déclaré, sans préciser quand cette rencontre avait eu lieu.

Elle a décrit Epstein lors de la réunion comme « odieux » et « le mal personnifié », mais a refusé de dire si elle avait demandé à son mari de cesser de le rencontrer.

« Toutes les questions qui subsistent sur les relations de Bill avec Epstein, c’est à Bill d’y répondre, mais j’ai dit très clairement ce que je pensais de lui », a déclaré Melinda Gates.

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