VACCINS : PFIZER DÉVOILE DES DOCUMENTS COMPROMETTANTS !

Pfizer falsifie les essais cliniques

La publication des essais cliniques du vaccin de Pfizer révèle de nombreuses incohérences

Pfizer publie ses essais cliniques
Le vaccin de Pfizer, aucun risque, regardez comme c’est beau

La FDA et Pfizer voulaient garder secrets les résultats des essais cliniques des vaccins pendant 75 ans. Maintenant, nous savons pourquoi. Des incohérences assez importantes parsèment les essais et nous amènent à nous poser de sérieuses questions.

L’auteur principal de l’article phare sur le vaccin de Pfizer dans le New England Journal of Medicine (NEJM), un certain Fernando Polack, se trouve être le seul chercheur, en charge d’un site en Argentine, qui aurait réussi à analyser 4 501 patients en seulement trois semaines !

Est-ce même possible de gérer tant de personne avec une équipe complète et même avec le soutien d’une grande organisation de recherche sous contrat ? C’est un véritable exploit si tel est le cas, et il devrait être plus amplement étudié.

Certains pourraient se demander s’il y a eu fraude ou si les dossiers des patients étaient bâclés parce que le rythme d’intégration était effectivement trop rapide. Quoi qu’il en soit, aucune de ces questions ne devraient jamais faire irruption, surtout lorsqu’il s’agit d’une toute nouvelle plateforme d’intervention médicale (ARNm) qui a été mandatée comme condition de formation continue et/ou d’emploi.

Pourquoi ces dossiers ont-ils été bâclé puis scellé ? Pourquoi la transparence totale et la divulgation des informations primordiales n’étaient-elle pas les pierres angulaires de l’ensemble du programme de vaccination de masse ? Un tel manque de transparence et la dissimulation de documents ne devrait avoir lieu. Sinon, il n’y a pas de consentement éclairé possible.

L’un des problèmes clés mis en évidence par la publication du document concernait notamment les études de dosage (ou leur absence).

Une étude de dosage est ce qui se passe en premier lieu, avant l’essai clinique plus large, pour déterminer l’efficacité du vaccin. Avant de pouvoir donner quoi que ce soit à un groupe de bénévoles, vous devez établir combien vous en donnez. Pour ce faire, ils administrent une gamme de doses, généralement faibles, moyennes et élevées, puis mesurent les effets. Dans ce cas, ils cherchent à savoir quelle quantité de réponse anticorps déclencherait une dose donnée. On pourrait penser qu’il s’agirait là d’informations vitales pour bien faire les essais. On aurait pu imaginer qu’ils donneraient une large gamme de doses à des centaines de personnes.

Mais, lorsque j’ai fouillé dans le nouveau lot des 80 000 dossiers d’essais cliniques, j’ai découvert que les seuls dossiers (jusqu’à présent) montrant la mesure des niveaux d’anticorps dans les études de dosage ont révélé trois choses :

  1. Le nombre total de personnes testées dans les tranches d’âge de 18 à 55 ans et de 65 à 85 ans n’était que de 12 dans chacune.
  2. Il y avait apparemment un écart sans aucun test de la réponse immunogène dans la tranche d’âge des 55 à 65 ans.
  3. Il y avait des preuves claires que les niveaux d’anticorps variaient énormément (10x) entre les patients. Et pour tous les patients, ils diminuaient de manière significative un mois après la deuxième dose. Cela signifie qu’il aurait dû être évident à 100 % pour toutes les autorités et Pfizer que les injections n’allaient pas durer aussi longtemps et que des rappels seraient nécessaires.
pfizer nous vaccine et nous encule
Pfizer et les essais cliniques

Alors, nous aurait-on menti ?! Quelle surprise…

Dans l’ensemble, cela signifie que l’insistance continue d’Anthony Fauci sur le fait que la raison d’être des vaccins, qui était de « réaliser l’immunité collective afin de reprendre notre vie », était complètement injustifiée.

J’espère sincèrement qu’ils dévoileront encore des centaines d’enregistrements montrant de nombreux tests de niveau d’anticorps supplémentaires, car sinon nous devons croire que des centaines de millions de personnes de toutes tailles, âges, races et niveaux de comorbidité ont reçu une dose de 30 microgrammes basée sur seulement quelques données.

Encore une fois, il n’est pas surprenant que la FDA (administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments) ait voulu garder ces résultats cachées pendant encore 75 ans. Les données sont particulièrement embarrassantes à tous les points de vue : scientifiques, éthiques et en termes de santé publique.

Avant de vous transformer en robot, parce que vous étiez obligé de vous vacciner pour aller au travail, suivez nos programmes pour vous bâtir une indépendance financière. Qui sait, vous n’auriez peut-être plus besoin de vous faire vacciner…

Source : PeakProsperity

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