Tour d’horizon de la non abolition des privilèges de la classe dominante. Ici, lors d’un repas mondain sans masque ni distanciation, Pierre-Jean Chalençon va peut-être récidiver avec la fameuse excuse de la mézouza à l’entrée du restaurant.
À côté, les forces du régime de Paris sévissent avec de la « pédagogie » à hauteur de 405€. Ça commence à faire cher le rosé. Autant prendre un (gilet) jaune tant qu’à faire.
Mieux encore, les journalistes moralisateurs ont leurs entrées dans les restaurants dit clandestins. À quel moment les élites pensaient profiter du buffet en faisant des photos sans aucune réaction populaire ? Que l’on se comprenne bien, je suis favorable à ouvrir tous les commerces, bars et restaurants sans restriction arbitraire, mais pour tout le monde.
Les amendes distribuées pour non respect des mesures sanitaires ne suffiront malheureusement pas à payer la dette Covid des entreprises zombies.
Rassurez-vous, apparemment nous ne sommes pas les plus à plaindre. Sauf que la France subit les mesures les plus liberticides au monde depuis plus d’un an maintenant.
Dire que certains préparent soi-disant à la révolution ; commencez déjà par refuser les confinements, les couvre-feux et la dictature sanitaire dans son ensemble tout en convaincant vos proches, ce sera déjà pas mal.
Franck Pengam
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