Verticalité
Ce mercredi 21 juillet, le président de la Hongrie, Viktor Orbàn, a lancé un référendum concernant les lois anti-LGBT+.
Seront posées au peuple hongrois ces questions :
- « Acceptez-vous que l’on parle de sexualité aux enfants sans leur consentement ? »
- « Soutenez-vous la promotion des changements de sexe pour les mineurs ? »
- « Êtes-vous favorable à l’organisation de cours sur les orientations sexuelles pour les mineurs à l’école ? »
- « Êtes-vous en faveur de la présentation illimitée de contenu sexuel pour les mineurs affectant leur développement ? »
Orbàn a demandé à son peuple de répondre « non » à ces différents points de la même manière qu’il y a cinq ans, quand Bruxelles a exigé d’imposer son quota de migrants.
D’ailleurs, la Commission européenne a annoncé, le 15 juillet dernier, avoir lancé des procédures d’infraction contre la Hongrie, à propos de sa loi interdisant la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs et contre la Pologne pour les « zones sans idéologie LGBT » décrétées par certaines collectivités locales.
Si des paris étaient à prendre, je placerais toutes mes billes sur un non catégorique de la part du peuple hongrois, sachant que les Roumains et les Slovaques avaient par exemple également refusé le mariage homosexuel il y a quelques années… à plus de 90% !
Pour rappel, il n’y a pas de démocratie qui vaille pour les questions qui risquent d’être refusées : immigration, mariage LGBT, sortie de l’Union zéropéenne, peine de mort, mère porteuse… On ne vous demandera votre avis que pour les questions inutiles, dans un cadre bien défini et pour élire des pantins affairistes ou autres intermittents du spectacle.
Surveillance
Tony Podesta – l’un des lobbyistes les plus puissants de Washington DC, derrière Bill Clinton, Barack Obama, Joe Biden et tous les démocrates en orbite autour de la Maison Blanche depuis 30 ans – travaille désormais ouvertement pour Huawei, le géant des télécommunications du Parti communiste chinois.
Huawei est le plus grand fabricant de smartphones au monde et est directement lié aux efforts de l’Armée populaire de libération pour espionner le monde.
Pas de quoi en faire un plat ou alors faisons pareil de notre côté : sommes-nous sous domination numérique américaine ou chinoise ? Vous avez 2h.
En 2019, nous avions déjà établi dans Géopolitique Profonde toute la structure chinoise de la société de l’espionnage à l’intérieur et à l’extérieur du pays. En soulignant bien que ce modèle de contrôle social numérique avait vocation à s’étendre. Avec le pass sanitaire, on y est.
Coupure générale : le coup de la panne
Le jeudi 22 juillet dernier, une coupure générale d’Internet d’une heure et demie (entre 17h30 et 19h) fut déclarée. Il ne s’agirait pas d’une attaque provenant de l’extérieur, mais bien d’un accident technique qui affola bien des services qui se sont retrouvés sans ressources pendant cette période.
L’entreprise Akamai en serait responsable. Effectivement, cette dernière fournit des services de « cloud computing » pour les sites Internet et a annoncé à partir de 16h09 qu’il y avait un « problème avec le service Edge DNS ».
Plusieurs sites Internet ont été en partie inaccessibles ce jeudi là. C’est le cas de sites de médias, comme ceux du Figaro, du Parisien et de France info, mais aussi d’autres sites comme Airbnb, Asos, la Fnac, le Playstation Network, Steam, MyCanal, Google, TikTok, Twitter, Instagram, Amazon, Ikea ou encore Youtube.
Internet ne tiendrait qu’à un fil de fibre ?