EXTENSION DU PASS : DEUX BANQUIERS POUR LIQUIDER PARIS ET ROME

Macron banquier chez Rothshild

Mario Draghi et Emmanuel Macron, les deux valets de l’oligarchie en Europe continentale, ont-ils pour mission de liquider la France et l’Italie avant un éventuel cataclysme financier dès cet automne-hiver 2021/2022 ?

Vaccination quasi obligatoire

Nous pouvons légitimement nous poser la question quand on observe l’agenda politique de ces derniers jours dans ces deux grands pays latins.

En effet, il y a quelques jours le 16 septembre 2021 le gouvernement italien sous la férule de l’ancien directeur de la BCE Mario Draghi, a annoncé l’extension « finale » du green Pass (pass sanitaire) à l’ensemble des salariés italiens.

Ainsi, afin de se protéger d’une éventuelle nouvelle vague dans les prochaines semaines, l’Italie par cette mesure, espère vacciner « tout le capital humain du pays ». Et pour y parvenir, ce « green Pass » (tout est dans ce nom anglophone et vert) va devenir obligatoire sur l’ensemble des lieux de travail à compter du 15 octobre.

Et oui comme pour la France, mais avec encore une plus grande agressivité, le gouvernement de l’ancien de Goldman Sachs souhaite passer à la vitesse supérieure. Le pass sanitaire italien, va être imposé aussi bien au secteur public que privé, comme l’a déclaré le ministre de la Santé, Roberto Speranza:

« Nous étendons l’obligation du ‘green pass’ pour deux raisons essentielles : rendre ces lieux plus sûrs et rendre encore plus forte notre campagne de vaccination ».

Ce nouveau dispositif en vigueur à partir du 15 octobre n’exclut donc que les retraités, les femmes au foyer et les chômeurs.

Pour ce qui est des chômeurs, le voisin autrichien, a lui, réglé le problème en imposant une vaccination contre des indemnités chômage d’une manière détournée…

Mais alors pour quel motif ce green Pass devient obligatoire alors qu’officiellement l’épidémie est en net recul ? Tout simplement parce que l’hiver arrive, et donc l’Italie de Mario Draghi veut améliorer son taux de vaccination. Sur ordre de qui ? L’Italie impose ces mesures alors que près de 75% de la population âgée de plus de douze ans est vaccinée, soit 40,46 millions de personnes (ce qui est énorme).

Le Véran italien, Roberto Speranza (aussi médiocre que le nôtre), a osé déclarer que le pass sanitaire « rend plus libre »,  pour justifier cette « extension finale » qui condamne la population active à se soumettre à l’injection anti-covid. Ainsi cette décision du gouvernement va concerner « un ensemble de 23 millions de travailleurs, tout le capital humain du pays. »

Comme en France pour certaines professions, l’absence de pass sanitaire sera sévèrement sanctionnée (suspension du contrat et donc du salaire). Le ministre de la Santé italien a précisé que les tests seraient gratuits seulement pour les personnes qui sont exemptées de la vaccination pour des raisons médicales.

Bien sûr, cet agenda italien ne va évidemment pas faire exception en Europe continentale et il va très certainement être imposé dans seulement quelques semaines à la France.

Car même si en ce moment, Macron et son gouvernement soufflent le chaud et le froid, comme ils le font depuis mars 2020, pour faire croire à un possible allègement de ces règles totalitaires et liberticides, l’agenda reste le même, ne nous y trompons pas !

Dans quelques semaines, nous aurons évidemment le droit nous aussi Français, à l’obligation vaccinale totale !

Ce qui est loin d’être anodin dans ce climat mondial de psychose, qui dure maintenant depuis plus d’un an et demi, c’est de constater que c’est le cœur de l’Europe (au sens de civilisation) qui fait le plus l’objet de maltraitance oligarchique.

Il est vrai, seule l’Australie semble dans le monde occidental dépasser ces deux pays.

D’ailleurs, le centre spirituel de l’Europe, le Vatican, lui aussi, par l’intermédiaire de François (l’anti) Pape appelle à vacciner le plus possible de capital humain en évoquant un geste d’amour… Comme si la confiance en Dieu et l’acceptation de son destin ne suffisaient pas pour vivre avec le Covid.

Évidemment une multitude de questions pourraient nous venir en tête avec ce discours hystérique et incompréhensible promu à l’échelle mondiale, pour une maladie qui a tué en France 115 000 personnes et un peu plus de 130 000 personnes en Italie, en l’espace de 2 ans, et qui continue à produire ses effets politiques dévastateurs sur les populations.

Mais la véritable interrogation que nous devons poser ici est : pourquoi ces deux nations doivent impérativement se soumettre à la vaccination obligatoire ?

Une vaccination forcée avant l’effondrement contrôlé ?

Plus qu’une étape fondamentale de la Grande Réinitialisation voulue par l’establishment transnational dans les mois qui viennent, qu’y a-t-il derrière cette marche forcée vers la vaccination enclenchée en quelques petites semaines seulement (et au cours de l’été) ?

Les élites de la finance transnationale accélèrent-elles leurs mouvements en vue d’un éventuel cataclysme financier à l’horizon de l’année 2022 (hiver 2021/2022) ? Certains ont déjà évoqué cette hypothèse…Et il est vrai que les signes d’effondrement en ce début d’automne ne manquent pas.

Tout d’abord, la remontée du VIX, l’indice de la peur sur les marchés financiers, a atteint un chiffre qui rappelle sa montée spectaculaire au début de la pandémie.

Ensuite l’installation et l’accélération de l’inflation qui a priori n’est pas vraiment transitoire comme le révèlent les chiffres aux États-Unis, mais aussi en Europe.

Mais depuis quelques jours c’est surtout le risque Evergrande et la peur d’un « effet domino » sur l’économie mondiale qui fait planer l’ombre de l’effondrement.

Les investisseurs sont en ce moment vigilant sur les pertes du géant immobilier chinois Evergrande au bord de la faillite, dont l’endettement s’élève à plus de 300 milliards de dollars, et qui doit régler dans les prochains jours une partie des intérêts des prêts et obligations.

Comme je l’avais expliqué dans mon premier ouvrage, la Chine contrairement à ce que certains veulent faire croire, n’est pas du tout un îlot de stabilité financière dans cette ère du mensonge alchimique. Bien au contraire, c’est une poudrière les bulles (notamment immobilière) et les divers mensonges économiques peuvent faire basculer l’économie du monde.

Pour ce qui est d’Evergrande, cette entreprise qui est un colosse de l’immobilier et de la construction, deux secteurs « essentiels pour la croissance chinoise« , représente 13% du PIB de l’empire du Milieu. Evergrande dit même employer 200.000 personnes et peser indirectement sur 3,8 millions d’emplois en Chine.

Il est donc évident que toute faillite pourrait entrainer des conséquences effroyables avec un « effet domino«  dommageable pour l’économie de la Chine et donc du monde.

Pour ce qui est du rival américain, nous sommes toujours sous les menaces d’un éventuel shutdown et il existe encore des « interrogations monétaires » autour des pratiques de la Réserve fédérale américaine.

Les propos menaçants de Janet Yellen dans le Wall Street Journal évoquant une potentielle catastrophe financière, si les parlementaires américains ne votent pas le relèvement du plafond de la dette des États-Unis, ont provoqué des sursauts auprès des investisseurs des deux côtés de l’Atlantique.

En Europe, le CAC 40 et le DAX allemand ont fortement baissé face à la multiplication des incertitudes à court terme sur les plans monétaire et économique.

Comme dans toute bonne économie administrée, l’ancien numéro 1 de la FED Janet Yellen désormais Secrétaire américaine au Trésor, a demandé au Congrès de relever le plafond de la dette au risque de provoquer « une crise financière historique« . La semaine avant les déclarations de Yelen, les services du Trésor avaient indiqué que les États-Unis seraient à court d’argent « au cours du mois d’octobre« .

Pour ce qui est des interrogations monétaires, évoquées plus haut, depuis la fin de l’été, la Réserve fédérale américaine a évoqué à plusieurs reprises qu’une politique de réduction des rachats d’actifs pourrait intervenir en fin d’année 2021, au début de l’hiver. Et après les révélations autour des profits records de certains présidents de banques régionales, il n’est pas du tout impossible que la FED ralentisse son action. Ce qui pourrait même être imité par les autres grandes banques centrales (Banque d’Angleterre, du Japon, etc) et donc engendrer un cataclysme.

Macron en France, Draghi en Italie : même combat

Ainsi, dans ce climat d’obscurcissement financier, il n’est pas impossible que les deux champions de l’oligarchie financière Macron et Draghi aient pour consigne de porter l’estocade finale sur la France et l’Italie pour éviter un réveil de ces deux nations héritières de l’empire romain, qui, on le constate, ont les peuples qui bougent le plus contre les mesures sanitaires liberticides.

La France d’ailleurs pourrait voir les dernières bribes de sa souveraineté (les restes de sa puissance militaire) partir définitivement au début de l’année 2022, lorsque celle-ci prendra la présidence de l’Europe. Les projets d’Europe de la Défense et de fusion du siège de membre permanent au conseil de sécurité à l’ONU pourraient revenir dans les derniers mois du premier mandat d’Emmanuel Macron.

De toute façon, comme je l’ai expliqué de nombreuses fois (ici sur géopolitique profonde) et dans mon deuxième livre,  l’Italie (la France aussi) leader des PIGS (Porcs comme nous appellent les pontes de la finance judéo-protestante) porte dans son ADN la civilisation romaine et le souvenir de la puissance de l’or et de l’argent métal (seules véritables monnaies) et il ne faudrait pas que ce vieux souvenir d’un usage pas si lointain, refasse surface dans une période de promotion accrue des CBDC/monnaies numériques de banques centrales et de pénuries annoncées.

Car en ce temps d’accélération de la Grande réinitialisation (cataclysme financier imminent), le temps est donc peut-être arrivé pour l’establishment transnational, d’enfin couper la tête d’Ésaü (Édom), en éradiquant par l’injection expérimentale ces deux peuples culturellement et politiquement un peu plus libres que les autres

Marc Gabriel Draghi

Retrouvez mes livres ici :

Le grand reset en marche (Géopolitique Profonde)
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3 Responses

  1. Après des décennies d’immigration massive en Europe et l’accélération du chaos social avec l’opération « CORONA VIRUS », la France et l’Italie sont dans le collimateur bancaire des globaliste Anglo-saxon dans leur dernier baroude de déshonneur et voué à l’échec.

    Malgré les efforts déployés par « l’antitradition » pour occulter ses manœuvres de politique internationale, écrit Georges-Paul Sansonetti (L’antitradition et ses agents), une partie du public se montre de moins en moins dupe. C’est en déchirant progressivement un rideau de leurres que des individus déterminés parviendront à entrevoir ce qui a été dissimulé aux peuples de la planète. Alors on découvrira que sous prétexte d’établir la mondialisation il s’agissait en réalité d’arracher ces peuples à leurs terres ancestrales, physiquement mais surtout moralement, afin de leur imposer une existence uniquement fondée sur la dévotion de l’argent et la crainte d’en être dépourvu. Le sentiment tenace qu’il existe un organisme directeur secret contrôlant toute la haute finance (interlope) afin de remodeler le monde, en défaisant ou refaisant des nations lorsque nécessaire, conduira inévitablement à l’interrogation suivante : dans quel but ? La réponse est déjà connue des esprits rebelles qui, parallèlement aux orchestrateurs de l’antitradition, possèdent une vision cyclique de l’histoire : faire en sorte qu’au moment où le dernier Âge s’achèvera, les conditions requises pour le retour de la Tradition ne soient plus réunies et que les peuples se révèlent dans l’incapacité d’exister selon des valeurs (non cotées en bourse !) qui constituaient la normalité du monde traditionnel et sont maintenant en exil des consciences.

    NB : Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ». La France, les USA et leurs alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres.

    Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. Aussi, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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