Bill Gates semble bien vivre la fin du monde
Après avoir augmenté sa fortune (pesant près de 100 milliards de dollars) de 25 % grâce à la tragédie du #nezquicoule19, notre bon vieux Bill tente désespérément de nous faire croire que la vie d’avant est à portée d’aiguille, alors qu’elle est dans une botte de foin.
Bill Gates le prophète annonce encore la fin du monde
En effet, sur Twitter il déclare :
Traduction : « Alors qu’il semblait que la vie allait revenir à la normale, nous pourrions entrer dans la pire partie de la pandémie. Omicron va nous toucher tous. Des amis proches l’ont maintenant, et j’ai annulé la plupart de mes projets de vacances. »
Pour Bill, annuler ses projets de vacances consiste à annuler son vol privé pour un autre. Ce n’est pas une annulation de BlaBlacar de dernière minute, n’ayez crainte pour lui.
La déclaration : « nous pourrions entrer dans la pire partie de la pandémie. Omicron va tous nous toucher » sans déposer le moindre argument scientifique semble être une opération de communication, surtout sur un compte de réseau social public qui est suivi par près de 60 millions de personnes.
Cela me fait étrangement penser à un autre discours tout aussi alarmiste :
Et donc il continue de twitter :
Traduction : « Omicron se répand plus vite que tous les virus de l’histoire. Il sera bientôt présent dans tous les pays du monde. »
Ai-je besoin de vous rappeler que, plus un virus est transmissible moins il est dangereux et inversement ?
Bill, tu souhaites apeurer la population mondiale ou alors es-tu satisfait de cette situation ?
En somme, cela doit-être alors une bonne nouvelle que ce virus soit extrêmement transmissible, cela signifie qu’il n’est (quasiment) pas dangereux.
Continuons la lecture…
Traduction : « Je sais que c’est frustrant d’entamer une nouvelle saison de vacances avec le COVID qui plane au-dessus de nous. Mais il n’en sera pas toujours ainsi. Un jour, la pandémie prendra fin, et plus nous prendrons soin les uns des autres, plus vite ce moment arrivera. »
Bill fait preuve de beaucoup d’empathie, il ressent notre frustration. Effectivement, nous n’avons pas réussi comme lui à générer quelques milliards d’euros durant la pandémie.
Mais apparemment, il nous rassure en nous disant que la pandémie prendra fin. Et plus nous prendrons soin les uns des autres (en nous motivant mutuellement à rejoindre le troupeau), plus vite ce moment arrivera.
Plus c’est gros, plus ça marche. Un des hommes les plus puissants du monde qui distille la peur avec des annonces alarmistes, et ensuite qui nous demande de ne pas perdre espoir semble tout simplement jouer avec nos émotions.
Il nous nargue en nous disant quelque chose du type : « Allez, encore quelques piqûres, et votre vie d’avant sera à nouveau là. On y est presque, encore un petit effort de patience… »
De plus, il sait très bien que la naissance de nouveaux variants est due à cette stratégie de campagne de vaccination massive.
De la même manière qu’une bactérie s’immunise face à l’abus d’antibiotique (d’où l’expression publicitaire « les antibiotiques c’est pas automatique »), un virus qui mute régulièrement s’immunise aussi avec une campagne de vaccination massive, et le résultat final ?
Un virus (qui à la base était classique) se transforme en un virus totalement résistant face aux défenses immunitaires des primovaccinés, donc un abonnement à vie à la vaccination.
Jackpot !