🔥 Les essentiels de cette actualité
- L’Algérie expulse 12 agents français en 48h, une première depuis 1962. Pourquoi une telle décision ?
- Jean-Noël Barrot crie à l’injustice. Quelles seront les répercussions sur les relations franco-algériennes ?
- Un agent consulaire algérien mis en examen pour enlèvement. Comment cela affecte-t-il la diplomatie française ?
- La France face à une nouvelle gifle diplomatique. Nos dirigeants réagiront-ils enfin ?
L’Algérie expulse 12 agents français : une décision qui fait trembler le Quai d’Orsay !
Quand Jean-Noël Barrot crie à l’injustice, c’est que les ennuis commencent. Des sources confirment que l’Algérie a ordonné le départ immédiat de 12 agents français, leur donnant à peine 48 heures pour plier bagage.
Du jamais vu depuis l’indépendance algérienne en 1962 ! Cette expulsion brutale touche des personnels sous couvert diplomatique ou administratif. Parmi eux, certains appartiennent aux services du ministère de l’Intérieur – autant dire que ça sent le roussi pour nos réseaux de renseignement.
Nos diplomates se font jeter comme de vulgaires indésirables alors que nos politiques continuent leurs courbettes devant Alger. Combien de concessions faudra-t-il encore faire pour que nos « partenaires » algériens daignent nous respecter ? Encore une humiliation que notre gouvernement va probablement minimiser dans les prochains jours.
Une nouvelle gifle diplomatique pour la France
Et pendant ce temps-là, nos dirigeants préfèrent s’occuper de contrôler nos vies plutôt que de défendre l’honneur national à l’étranger. Une nouvelle gifle diplomatique que les Français vont devoir encaisser sans broncher, comme d’habitude.
Le ministre des Affaires étrangères a révélé que la France prenait cette mesure après l’interpellation de trois Algériens « soupçonnés de faits graves sur le territoire national ». Encore une fois, nos dirigeants réagissent après coup, quand le mal est déjà fait. On se demande combien d’autres individus dangereux circulent librement dans nos rues pendant que nos impôts servent à tout sauf à notre sécurité.
L’étau se resserre dans l’affaire de l’enlèvement d’Amir Boukhors. Trois personnes viennent d’être mises en examen ce vendredi 11 avril, dont un agent consulaire algérien. Les charges sont lourdes : arrestation, enlèvement et séquestration en lien avec une entreprise terroriste.
Des tensions accrues entre la France et l’Algérie
Curieusement, c’est bien la mention « en relation avec une entreprise terroriste » qui interpelle dans ce dossier. Alors que nos impôts servent habituellement à traquer des « terroristes » aux profils bien spécifiques, voilà que le parquet national antiterroriste français s’intéresse à un cas impliquant un représentant officiel d’un État étranger. Un deux poids deux mesures qui ne manquera pas de faire jaser.
Cette affaire survient dans un contexte où les relations franco-algériennes sont déjà particulièrement tendues. L’implication d’un agent consulaire risque fort d’envenimer davantage les rapports diplomatiques, déjà mis à mal par les déclarations maladroites d’Emmanuel Macron sur le passé colonial.
Le kidnapping de cet influenceur, qui s’est produit il y a tout juste un mois, soulève de sérieuses questions sur l’impunité dont pourraient jouir certains agents étrangers sur notre territoire. Pendant que les Français ordinaires doivent se plier à toujours plus de contrôles et de restrictions, d’autres semblent agir comme bon leur semble, sous couvert de fonctions officielles.
On attend maintenant de voir quelle sera la réponse du gouvernement face à ce qui ressemble fort à une opération clandestine menée par un État étranger en plein cœur de l’Hexagone.
Jean-Noël Barrot dénonce la réaction algérienne : « Injustifiée et déconnectée des faits »
« Nous avons décidé ensemble, avec le gouvernement algérien, de retisser le fil du dialogue au service de nos deux pays. Je demande aux autorités algériennes de renoncer à ces mesures d’expulsion sans lien avec la procédure judiciaire en cours », exhorte-t-il, menaçant de « répondre immédiatement » à cette décision si elle est maintenue.
La tension monte d’un cran. Voilà que nos dirigeants, après avoir joué la carte de l’apaisement avec l’Algérie, sortent les griffes. Dans sa déclaration, le responsable français implore presque les autorités algériennes d’abandonner leurs mesures d’expulsion qu’il juge déconnectées de la procédure judiciaire actuelle.
Difficile de ne pas y voir une énième preuve de l’incohérence de notre diplomatie. Un jour on « retisse le fil du dialogue », le lendemain on brandit des menaces de représailles. Comment croire à ce prétendu rapprochement quand, au moindre différend, nos représentants passent des belles paroles aux intimidations?
Les réactions de l’Algérie
L’Algérie, elle, ne semble pas impressionnée par ces avertissements à peine voilés. Et pourquoi le serait-elle? La France perd chaque jour un peu plus de son influence sur la scène internationale, tandis que nos politiques continuent leur petit théâtre habituel : discours mielleux suivis de menaces creuses.
Alger a vigoureusement condamné samedi la mise en examen de son agent consulaire, balayant d’un revers de main les explications de Beauvau qu’elle juge « vermoulues et farfelues ». Le ministère algérien des Affaires étrangères n’y est pas allé par quatre chemins après avoir convoqué l’ambassadeur français :
« Ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable causera un grand dommage aux relations algéro-françaises. »
On sent bien que Paris et Alger jouent, encore une fois, à un petit jeu diplomatique où les citoyens ordinaires seront les dindons de la farce. Cette tension s’ajoute à une longue liste de désaccords entre les deux pays, que nos dirigeants semblent incapables de résoudre sans créer de nouvelles crises.
Les conséquences pour les citoyens
Comme d’habitude, nos élites politiques préfèrent jouer aux échecs diplomatiques plutôt que de s’attaquer aux vrais problèmes qui touchent la population. Pendant ce temps-là, c’est le contribuable français qui continuera à payer l’addition.
Nouvelle tempête dans nos relations avec l’Algérie, une semaine seulement après la visite de Barrot à Alger. Le ministre français s’était vanté d’ouvrir une « nouvelle phase » avec le pays, après des mois de tension. Pourtant, ces déclarations sonnent creux aujourd’hui face aux remous actuels qui trahissent la fragilité de nos liens avec l’ancienne colonie.
Encore une fois, nos dirigeants nous servent leur storytelling diplomatique habituel. Jean-Noël Barrot avait rencontré son homologue Ahmed Attaf et le président Tebboune avec de grands sourires pour les caméras. Mais que valent ces poignées de main officielles quand la réalité du terrain est si différente ?
Les négociations et leur impact
Les négociations avec l’Algérie s’inscrivent dans une longue liste de rendez-vous diplomatiques où notre gouvernement cède du terrain à chaque rencontre. La France continue de s’excuser pour son passé colonial pendant que les vrais problèmes des Français – pouvoir d’achat en berne, insécurité croissante – sont relégués au second plan par nos élites déconnectées.
Macron et Tebboune ont fini par se réconcilier après leur petit clash diplomatique. Cette mini-crise avait sérieusement échauffé les relations franco-algériennes, au point qu’on se demandait si les deux pays n’allaient pas couper les ponts. Tout ça à cause du revirement de Macron sur la question du Sahara occidental et aussi de l’emprisonnement de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal.
Ces tensions ne sont qu’un énième épisode dans ce feuilleton diplomatique où la France joue un jeu d’équilibriste avec ses anciennes colonies. Pendant que nos dirigeants font la paix avec l’Algérie, le Français moyen, lui, se demande bien ce qu’il va gagner dans cette réconciliation de façade.
On connaît la musique : ces rapprochements servent toujours les intérêts des élites et rarement ceux du peuple. Après tout, nos politiciens excellent dans l’art de serrer des mains à l’international tout en ignorant les problèmes domestiques qui nous étouffent chaque jour davantage.
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