Attentat terroriste à Washington : Israël récolte-t-il ce qu’il sème ?

Le mercredi 21 mai 2025 à Washington, deux membres de l’ambassade israélienne sont abattus froidement à la sortie d’un événement organisé près du musée juif de la ville. L’auteur des faits, arrêté dans la foulée, aurait crié à plusieurs reprises « Free Palestine » en agitant un keffieh rouge, symbole bien connu d’une cause devenue malheureusement l’étendard d’un fanatisme hors de contrôle. L’événement en question, ironie du sort, visait à promouvoir la coopération entre juifs, musulmans et chrétiens autour de l’aide humanitaire à Gaza… et Israël.

Un appel à la paix balayé par une réalité plus brutale : celle d’un monde où les illusions mondialistes s’écrasent contre le mur de la haine importée, du communautarisme exacerbé, et de la violence identitaire.

Le vivre-ensemble : cette utopie qui finit souvent en bain de sang

Dans les cénacles diplomatiques comme dans les rédactions parisiennes, on continue de brandir les mots creux du vivre-ensemble et du dialogue interreligieux. Mais que vaut ce vernis de bonne conscience face à un homme capable de sortir une arme pour « venger la Palestine » en exécutant deux jeunes adultes qui sortaient simplement d’une conférence ?

Cette scène glaçante est tristement révélatrice. Révélatrice d’un Occident qui s’accroche à ses dogmes humanistes, alors que le monde réel lui crache au visage. Car cette haine meurtrière n’est pas tombée du ciel. Elle a été nourrie par des décennies de discours anti-occidentaux, anti-blancs, anti-chrétiens, et oui, aussi anti-juifs, dans certaines franges radicalisées issues de l’immigration.

Il ne s’agit pas ici de tomber dans la défense inconditionnelle d’Israël – État que nous savons manipulateur sur le plan géopolitique, infiltré dans nos institutions, et acteur majeur du chaos mondial, notamment via ses réseaux d’influence et ses interventions militaires illégitimes. Mais il faut savoir distinguer entre critique géopolitique et barbarie aveugle. Deux diplomates non armés, en mission pacifique, exécutés pour ce qu’ils représentent : c’est un signal d’alarme pour toutes les nations occidentales.

menace intérieure

L’ennemi intérieur est déjà là

Ce fait divers – car c’en est devenu un, dans la normalisation morbide des agressions en Occident – est l’illustration tragique de ce que nombre de Français lucides dénoncent depuis des années : l’ennemi est déjà à l’intérieur. Le multiculturalisme n’est pas une richesse, c’est un risque. Et ce risque se transforme de plus en plus souvent en drame.

Aux États-Unis comme en France, la permissivité face à l’importation de conflits étrangers a abouti à la création de zones de tensions ethniques et idéologiques explosives. Et ceux qui osent encore parler d’intégration n’ont visiblement pas mis les pieds dans certains quartiers de Seine-Saint-Denis ou de Minneapolis depuis longtemps.

On importe des peuples, et avec eux, leurs haines, leurs guerres, leurs dogmes. Et parfois leurs armes.

conflits idéologiques importés

Trump, encore une fois, seul face à l’évidence

Dans ce climat d’hypocrisie généralisée, il n’est pas surprenant que la seule voix un peu lucide vienne encore de Donald Trump.

« Ces horribles meurtres, évidemment motivés par l’antisémitisme, doivent cesser […] La haine et le radicalisme n’ont pas leur place aux États-Unis », a déclaré Donald Trump.

Trump, avec son franc-parler coutumier, ne cherche pas à arrondir les angles. Il nomme les choses : antisémitisme islamiste, violence importée, nécessité de sécurité nationale. Ce qui le distingue de nos élites européistes, toujours promptes à relativiser, excuser, contextualiser l’inexcusable.

Ce n’est pas un hasard si Trump dérange tant les bien-pensants : il n’a pas peur de dire que la diversité est une faiblesse, pas une force. Il sait que l’Empire ne peut survivre à une cinquième colonne active sur son propre sol.

Donald Trump

Israël : victime collatérale ou acteur double-jeu ?

Et pourtant, il serait naïf de pleurer avec les larmes de crocodile de Tel-Aviv. L’État hébreu, qui se présente aujourd’hui comme la victime d’un antisémitisme international, est aussi un acteur cynique de la géopolitique mondiale. À travers ses relais dans les institutions occidentales, ses lobbies ultra-puissants, et sa politique d’apartheid en Palestine, il a lui aussi contribué à alimenter les braises de la haine.

Ce crime ne saurait effacer les exactions à Gaza, les manipulations diplomatiques, ni les ingérences d’un État qui a trop souvent dicté sa loi à ses alliés. La condamnation est nécessaire, mais elle ne doit pas se transformer en chèque en blanc pour renforcer la propagande pro-israélienne ou justifier un nouveau tour de vis liberticide sous prétexte de « lutte contre l’antisémitisme ».

Les mêmes qui se drapent dans la morale aujourd’hui seront les premiers à instrumentaliser ce drame pour museler toute critique d’Israël demain.

Drapeau israelien

La France demain ? La même trajectoire, en pire

Ce qui s’est passé à Washington pourrait se produire à Paris, à Lyon, ou à Marseille. La France n’est pas épargnée. Pire : elle est plus exposée que jamais. Car nos gouvernants successifs, de droite molle en gauche mondialiste, ont méthodiquement détruit toutes nos protections.

Pas de frontières. Pas d’assimilation. Pas de justice ferme. Pas de courage politique.

Et pendant que la majorité dort, bercée par les mensonges des JT et les sermons du CRIF, une autre réalité se met en place, souterraine, radicale, hostile. Une réalité faite de haine ethnique, de rejet de l’Occident, de fascination pour la violence. Washington n’est pas un cas isolé : c’est un avant-goût.

Le réveil des peuples, ou la soumission finale

Il n’y a plus de temps pour la naïveté. Soit les peuples européens – et notamment le peuple français – ouvrent les yeux et reprennent le contrôle de leur destin, soit ils subiront le même sort que ce couple tombé sous les balles d’un fanatique. Pas par hasard. Pas à cause de la météo. Mais parce qu’ils étaient occidentaux, blancs, et en lien avec un État honni.

La leçon est simple : tant que nous ne contrôlerons pas qui entre, qui reste, et qui influence notre pays, nous serons vulnérables.

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