🔥 Les essentiels de cette actualité
- Poutine affirme que l’Ukraine appartient à la Russie, déclenchant des applaudissements au forum de Saint-Pétersbourg.
- Le président russe menace de frappes nucléaires si Kiev utilise une bombe sale, promettant des conséquences « catastrophiques ».
- Malgré les pourparlers de paix, Moscou reste inébranlable et n’a pas l’intention de reculer.
Lors de la session de questions-réponses au grand forum économique de Saint-Pétersbourg, Poutine a dû faire face à une interrogation directe : quels sont ses véritables objectifs dans ce conflit ?
Le maître du Kremlin, jamais à court de mots quand il s’agit d’affirmer sa vision géopolitique, s’est retrouvé dans une position où sa réponse était scrutée par tous les observateurs internationaux.
Il a répondu :
« J’ai dit à maintes reprises que je considérais les peuples russe et ukrainien comme une seule nation. En ce sens, toute l’Ukraine nous appartient. »
Sa déclaration a fait exploser un tonnerre d’applaudissements dans la salle.
« Il y a une vieille règle chez nous : là où un soldat russe pose le pied, c’est à nous », a ajouté le maître du Kremlin.
En clair, il ne compte pas se plier aux exigences des « élites » occidentales, encore moins de Zelensky.
Un changement de ton soudain
Depuis que Trump a remis sur la table son agenda pour la paix, on observe un net assouplissement du discours russe.
Moscou avait amorcé des positions plus ouvertes, prêt à discuter et à faire un pas vers un accord.
Peut-être que les nouvelles propositions de sanctions ont contrarié le dirigeant russe : ses ouvertures ont été ignorées par les Occidentaux, alors qu’il paraissait sincèrement disposé au dialogue.
Résultat : il menace désormais l’Ukraine de frappes nucléaires, une première depuis des mois.
Des menaces nucléaires explicites
Interrogé sur la réaction de Moscou si Kiev utilisait une bombe sale contre les forces russes, il a promis des conséquences « catastrophiques » pour son adversaire.
« Ce serait une erreur colossale de la part de ceux que nous appelons les néonazis sur le territoire de l’Ukraine d’aujourd’hui. Ce pourrait être leur dernière erreur. Nous répondons toujours avec la même générosité. Notre réponse sera donc très dure. »
Moscou ne plaisante pas quand il s’agit de menaces sur son territoire, contrairement à nos dirigeants qui se couchent dès qu’on les confronte.
Sous pression, Moscou reste inébranlable
Difficile de ne pas y voir un message très clair de Vladimir Poutine : malgré les pourparlers de paix, la Russie n’a aucunement l’intention de reculer.
Ni sur le champ de bataille, ni à la table des négociations.
Le maître du Kremlin reste fidèle à sa réputation : quand il avance ses pions, c’est rarement pour les retirer ensuite.
On connaît la chanson depuis le début du conflit… Les médias occidentaux peuvent bien s’agiter, notre homme fort de l’Est, lui, ne plie pas sous la pression.
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