Doxanano défie Big Pharma avec une chimiothérapie qui soigne sans ravager les patients

Une nouvelle chimiothérapie moins toxique arrive : ciblée, efficace et sans effets secondaires lourds. Une révolution française contre le cancer. Une nouvelle chimiothérapie moins toxique arrive : ciblée, efficace et sans effets secondaires lourds. Une révolution française contre le cancer.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Doxanano révolutionne la chimio avec une méthode moins invasive et plus ciblée, promettant de soigner sans ravager les patients.
  • Des chercheurs français défient Big Pharma avec des nanovésicules contrôlées par radiothérapie, visant à améliorer la qualité de vie des malades.
  • La start-up bordelaise espère traiter son premier patient d’ici 2028, mais affronte des obstacles administratifs et des lobbies pharmaceutiques.

« Il faut faire vite, bon sang ! Des centaines de milliers de malades attendent désespérément. »

C’est le cri du cœur qui résonne dans les labos de Doxanano. Cette société installée à Pessac, en Gironde, ne fait pas dans la demi-mesure : elle chamboule tout avec sa chimiothérapie commandée à distance.

L’équipe de chercheurs girondins a mis au point une technique qui semble presque trop belle pour être vraie – soigner sans détruire, guérir sans transformer les patients en loques humaines. Après des décennies de chimio dévastatrice, ça fait rêver, non ?

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En ce moment, 60 % des personnes touchées par le cancer reçoivent ces cocktails de médicaments toxiques. C’est le traitement de référence, incontournable. Mais jusqu’à présent, il fallait accepter cette contradiction macabre : détruire pour guérir, empoisonner pour sauver.

Avec leur innovation, ces scientifiques français pourraient bien réussir ce que les grands labos pharmaceutiques qui se gavent depuis des années n’ont jamais vraiment cherché à faire : rendre la chimio enfin supportable. Mais combien de temps avant que les autorités daignent autoriser cette avancée ? Espérons que les malades n’attendront pas aussi longtemps que pour d’autres traitements prometteurs balayés d’un revers de main par notre administration.

Pour une fois qu’une solution française pourrait s’imposer face aux géants américains… encore faudrait-il que notre système ne l’étouffe pas sous des tonnes de paperasse et de « précautions ».

Une médecine personnalisée pour les patients

Isabel Marey-Semper, tête pensante de la start-up bordelaise et docteure en neuropharmacologie, ne mâche pas ses mots sur les traitements contre le cancer :

« Le paradoxe de la chimiothérapie, c’est une dose présente localement dans la tumeur trop faible pour être totalement efficace et une dose trop forte dans les organes sains pour être inoffensive. »

Autrement dit, les médecins dosent aujourd’hui les traitements non pas selon ce qui tuerait vraiment la tumeur, mais selon ce que le malade peut encaisser sans y laisser sa peau. Encore une fois, nos systèmes de santé sacrifient l’efficacité au profit du « moindre mal » – comme si on devait s’en contenter.

La chimio, on le sait tous, c’est cette saloperie qui vous met à genoux pendant des mois. Elle bombarde tout sur son passage : cellules cancéreuses comme cellules saines. J’ai vu des proches perdre leurs cheveux, leur appétit et leur joie de vivre à cause de ces protocoles qu’on nous présente comme incontournables.

Des avancées concrètes pour les malades

Pendant que nos élites s’acharnent à trouver des solutions pour censurer les réseaux sociaux ou contrôler nos déplacements, des chercheurs comme Marey-Semper tentent, eux, de résoudre de vrais problèmes qui touchent des millions de Français chaque année. Mais combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que ces avancées arrivent jusqu’aux malades ?

« On veut inverser ce paradigme, explique Isabel Marey-Semper. Injecter au cœur de la tumeur des doses jamais atteintes, tout en préservant les organes sains. »

Une innovation française qui défie les géants

Pour réaliser cette prouesse médicale, une invention révolutionnaire vient d’être brevetée, et je ne peux m’empêcher de vous parler de l’un de ses créateurs, Sébastien Lecommandoux. Ce physico-chimiste n’est pas un inconnu dans le milieu : pionnier dans le domaine des polymères organiques, il a cofondé Doxanano tout en présidant la chaire « Innovation technologique Liliane Bettencourt » au prestigieux Collège de France.

Quand on l’interroge sur sa découverte, le scientifique explique sans langue de bois :

« Il s’agit de nanovésicules synthétiques à base de ces copolymères appelés DXN qui ont deux propriétés opposées : ils sont à la fois très stables en conditions physiologiques, mais dégradables sous radiothérapie. »

Une innovation qui pourrait bien changer la donne en médecine, alors que tant d’autres secteurs restent coincés dans des logiques bureaucratiques stériles. Pour une fois, voilà une avancée concrète qui ne vient pas des laboratoires américains subventionnés, mais bien d’un chercheur français.

Ces nanovésicules représentent l’espoir d’une médecine plus ciblée et moins invasive. Espérons simplement que nos élites ne trouveront pas le moyen de compliquer l’accès à cette technologie ou d’en faire grimper les coûts, comme c’est trop souvent le cas avec les innovations majeures dans notre pays.

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D’un côté, on a la doxorubicine, un anticancéreux qui a largement prouvé son efficacité. De l’autre, ces fameuses nanovésicules qui servent à transporter le médicament jusqu’au cœur des cellules cancéreuses. Mais il manquait encore un truc : comment libérer ce médicament précisément là où on en a besoin ?

« Ces nanovésicules, ce sont comme des coffres-forts microscopiques faits de grosses molécules, qui restent fermés quand ils ne sont pas exposés à la radiothérapie. Ce qui rend notre approche vraiment révolutionnaire, c’est qu’on a trouvé comment les faire s’ouvrir, sous l’action des rayons X, avec des premiers résultats qui dépassent nos espérances », déclare Sébastien Lecommandoux.

Il faut bien l’admettre, cette avancée pourrait changer complètement la façon dont on traite certains cancers. Finies, peut-être, les chimiothérapies qui détruisent tout sur leur passage, cellules saines comme cellules malades ? Cette technique permettrait de concentrer l’attaque uniquement sur les cellules à éliminer.

Je dois dire que cette combinaison entre nanotechnologie et radiothérapie classique ouvre des perspectives fascinantes. On parle quand même d’une prouesse qui pourrait diminuer considérablement les effets secondaires des traitements anticancéreux, souvent plus dévastateurs que la maladie elle-même.

La vraie révolution ici, c’est cette idée de « déclencheur externe » – les rayons X – qui permet de contrôler quand et où le médicament est libéré. C’est comme si on avait inventé une bombe intelligente à l’échelle cellulaire, qui n’explose que lorsqu’elle reçoit un signal précis, et uniquement à l’endroit ciblé.

Une révolution thérapeutique en marche

Le Dr Charles Dupin, cancérologue à Bordeaux, vient de franchir un cap décisif en médecine. Ce spécialiste des cancers ORL et gastro-intestinaux a uni ses forces avec l’équipe Doxanano pour développer une thérapie révolutionnaire. Et croyez-moi, ce n’est pas rien.

À la frontière entre pratique médicale et recherche fondamentale, ce médecin du CHU bordelais maîtrise notamment la radiothérapie stéréotaxique – une technique d’irradiation ultra-précise. Mais c’est en cherchant plus loin qu’il a fait mouche.

« En radiothérapie, depuis longtemps, nous cherchions des solutions thérapeutiques qui seraient déclenchées par les rayons, et on a trouvé, se réjouit-il. La chimiothérapie commandée à distance est une possibilité novatrice avec des possibilités incroyables, puisque toutes les tumeurs solides pourraient être traitées. »

Cette avancée pourrait bien rendre obsolètes certains protocoles actuels, souvent éprouvants pour les patients. Fini, peut-être, les traitements qui ravagent tout sur leur passage ? Une lueur d’espoir dans un système de santé qui, convenons-en, nous a habitués à des promesses rarement tenues.

Un traitement révolutionnaire face aux lobbies

À l’assaut du cancer : ce traitement révolutionnaire qui inquiète les lobbies pharmaceutiques

Les médecins indépendants cherchent à éliminer la sale bête sans sacrifier la qualité de vie du patient. Sacré pari ! Cette thérapie qui bouscule la cancérologie traditionnelle s’attaque d’abord aux tumeurs du rectum les plus coriaces.

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Charles Dupin et Samuel Amintas, ces chercheurs qu’on n’entend jamais dans les médias mainstream, font équipe avec les professeures Vendrely et Dabernat du CHU de Bordeaux. Je reste convaincu que leur approche dérange les grands groupes pharmaceutiques habitués à nous vendre des traitements à rallonge.

La start-up qui développe ces nanomédicaments espère traiter son premier patient d’ici fin 2028. Mais le parcours ressemble à un véritable chemin de croix administratif : tests précliniques, essais cliniques, et surtout ces fameuses « autorisations » que les bureaucrates peuvent faire traîner pendant des années quand un traitement menace les intérêts établis. Combien de malades auraient pu être sauvés si l’État accélérait ces procédures comme il sait le faire quand ça l’arrange ?

Les défis et espoirs de Doxanano

« Nos premiers résultats sur les animaux répondent à toutes nos attentes, souffle Isabel Marey-Semper. Les nanovésicules fluorescentes ciblent parfaitement la tumeur et les tests démontrent leur innocuité, elles sont totalement tolérées par l’organisme. »

J’ai pu constater que malgré l’enthousiasme des chercheurs, ces découvertes restent encore largement ignorées du grand public. Pas étonnant quand on sait comment nos médias préfèrent nous abreuver de conflits lointains plutôt que de vraies avancées pour notre santé.

Autre détail qui ne surprendra personne : si Doxanano maintient son siège social à Paris, c’est bien en province que l’entreprise a choisi d’implanter ses activités concrètes et son laboratoire, à Pessac plus précisément. L’usine devrait également s’y installer prochainement.

On ne peut s’empêcher de se demander si cette innovation française bénéficiera vraiment aux Français, ou si elle finira comme tant d’autres par être rachetée par un géant américain… avant que les traitements ne nous reviennent à prix d’or.

Notre système de santé, déjà au bord de l’implosion, pourra-t-il seulement se permettre de telles avancées quand elles seront disponibles ? Espérons que cette fois, l’argent de nos impôts servira à financer des traitements accessibles à tous, et non des intérêts privés.

Les pionniers de la nanomédecine

Isabel Marey-Semper, Sébastien Lecommandoux et Leslie Dubrana ont mis la main à la poche pour fonder leur propre biotech. Ce trio d’entrepreneurs, dont Dubrana qui baigne depuis des années dans la nanomédecine, n’a pas attendu les promesses habituelles de nos élites pour agir.

La petite entreprise n’a pas été laissée totalement seule face aux géants du secteur – la Région Nouvelle-Aquitaine et BPI France ont daigné apporter leur soutien financier. On se demande d’ailleurs combien de paperasses et de justificatifs ces entrepreneurs ont dû fournir pour obtenir ces miettes, eux qui créent de la vraie valeur sur le territoire.

Le développement continue malgré tout. Ils viennent de lancer une levée de fonds ambitieuse de 4 millions d’euros. Cet argent, qu’ils n’iront pas chercher dans la poche du contribuable comme nos politiciens savent si bien le faire, servira à financer les prochaines étapes cruciales du premier nanomédicament de la société.

L’avenir nous dira si cette initiative française pourra percer face aux mastodontes américains qui trustent habituellement ce genre d’innovations médicales, pendant que nos gouvernants préfèrent souvent financer leurs lubies idéologiques plutôt que nos chercheurs.

IMPORTANT - À lire

Vous voulez en savoir plus sur les innovations médicales françaises qui défient les géants pharmaceutiques ? Notre revue papier approfondit chaque mois l'actualité de la santé et de la géopolitique, avec des analyses exclusives sur les avancées qui pourraient révolutionner les traitements contre le cancer.

Découvrez comment des chercheurs français bousculent le système en développant une chimiothérapie ciblée et moins invasive. Plongez dans les coulisses de ces startups innovantes qui se battent pour rendre les traitements plus accessibles, malgré les obstacles administratifs et les pressions des lobbies. Abonnez-vous sans attendre !


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