Cancer : Quand des antiparasitaires révolutionnent la guérison

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • À 67 ans, Joe Tippens guérit son cancer terminal avec du fenbendazole, un médicament vétérinaire. Découvrez son incroyable parcours et le protocole qui a changé sa vie.
  • Le protocole Tippens inclut du Panacur, du Theracurmin et du CBD. En trois mois, il est déclaré guéri, défiant les pronostics médicaux. Explorez les détails de son traitement.
  • Des études scientifiques soutiennent l’efficacité du fenbendazole contre le cancer. Apprenez comment ce médicament perturbe les cellules cancéreuses et offre un espoir inattendu.
  • Des patients comme Donna Leland trouvent une alternative aux traitements standards. Découvrez leurs histoires et les défis du choix thérapeutique dans le système médical actuel.

Joe Tippens, un homme d’affaires de 67 ans, ne s’attendait pas à devenir une figure emblématique parmi les survivants du cancer.

Diagnostiqué avec une forme agressive de la maladie, il a partagé avec The Epoch Times son combat pour défier un pronostic sombre.

Son histoire illustre la détermination d’un homme ordinaire, contraint d’explorer des solutions alternatives face aux limites des traitements standards.

Un diagnostic brutal et une lueur d’espoir

En août 2016, Joe Tippens reçoit un diagnostic de cancer du poumon à petites cellules, avec une tumeur de la taille d’un poing.

À Houston, il endure un protocole intensif de chimiothérapie et de radiothérapie, administré cinq fois par semaine, qui élimine la tumeur dans son poumon gauche. Mais ce traitement, d’une violence extrême, l’affaiblit considérablement, au point qu’il confie avoir été plus proche de la mort que de la guérison.

En janvier 2017, de retour en Oklahoma, son oncologue lui annonce qu’il ne lui reste que quelques mois à vivre, avec des métastases dans son cou, ses os, son pancréas et son foie.

« Ma scintigraphie TEP brillait comme un sapin de Noël », raconte-t-il avec une franchise brute.

Face à ce pronostic, Tippens découvre, par un vétérinaire, l’histoire d’une scientifique qui aurait guéri ses souris de laboratoire, puis elle-même, d’un cancer terminal grâce au fenbendazole, un antiparasitaire utilisé depuis trente ans pour les animaux. Non approuvé par la FDA pour un usage humain, ce médicament ne peut être prescrit, mais Tippens, n’ayant plus rien à perdre, décide de l’essayer.

Le protocole Tippens et ses résultats spectaculaires

Tippens se procure du Panacur, un nom commercial du fenbendazole, disponible sans ordonnance dans les magasins vétérinaires.

En janvier 2017, il commence un protocole précis : 1 gramme par jour pendant trois jours consécutifs chaque semaine, soit environ 222 milligrammes de fenbendazole par gramme, suivi d’une pause de quatre jours.

Il complète ce régime avec du Theracurmin, un dérivé du curcuma, et du CBD, un extrait de cannabis sans effet psychotrope.

Trois mois plus tard, Tippens est déclaré guéri de son cancer, un résultat qui défie les attentes médicales.

Le fenbendazole

Des preuves scientifiques et des mécanismes d’action

Le Dr William Makis, oncologue et chercheur à Edmonton, au Canada, a étudié le protocole de Tippens et traite des patients atteints de cancer par télésanté.

Il rapporte que plusieurs de ses patients ont été déclarés guéris après quelques mois de ce traitement, soulignant le cas exceptionnel de Tippens, qui a surmonté un cancer du poumon à petites cellules en phase terminale.

Makis explique que des antiparasitaires comme le fenbendazole, le mébendazole et l’albendazole ciblent des similitudes entre cellules parasitaires et cancéreuses, qui prolifèrent, résistent à la mort cellulaire et contournent le système immunitaire.

Ces médicaments agissent en activant la protéine p53, un suppresseur de tumeur, en bloquant l’absorption du glucose dont dépendent les cellules cancéreuses, en perturbant les microtubules essentiels à leur division, et en induisant un stress mitochondrial qui épuise leur énergie.

Malgré ces effets documentés, leur intégration dans les protocoles standards reste limitée, faute d’essais cliniques à grande échelle.

Recherches prometteuses sur les antiparasitaires

Des études scientifiques appuient ces observations. En 2021, des chercheurs de Stanford ont documenté, dans SciTechnol, des cas de cancers de stade 4 traités avec succès par le fenbendazole.

Une étude de 2024, parue dans Anticancer Research, montre que ce médicament perturbe le métabolisme énergétique des cellules cancéreuses en augmentant les niveaux de p53 et en limitant l’absorption du glucose, entraînant leur mort sans affecter les cellules saines.

Une recherche indienne de 2018, publiée dans Scientific Reports, suggère que le fenbendazole, en bloquant les microtubules, pourrait être un agent thérapeutique efficace.

Par ailleurs, une étude de 2016 dans Biochemical and Biophysical Research Communications révèle que l’ivermectine, approuvée pour usage humain contre les parasites, combat le glioblastome, un cancer du cerveau agressif, en tuant les cellules cancéreuses et en inhibant la formation de vaisseaux sanguins alimentant la tumeur.

Une combinaison de fenbendazole et de dichloroacétate de diisopropylamino, utilisée contre l’hépatite, s’est également montrée plus efficace contre les cellules cancéreuses pulmonaires, selon une publication dans Anticancer Research.

Une étude nationale fournit des preuves actualisées que l'incidence des cancers à début précoce aux États-Unis est en augmentation.

Traitements alternatifs et obstacles médicaux

Makis combine fenbendazole et ivermectine dans ses protocoles, notant que cette association multiplie les mécanismes d’action contre le cancer.

Il s’appuie sur des études précliniques pour adapter ses traitements à chaque type de cancer, partageant ces données avec ses patients. Il a traité des cancers variés, du sein au cholangiocarcinome, avec plusieurs cas de rémission après quelques mois.

Cependant, il déplore que de nombreux médecins hésitent à prescrire ces antiparasitaires, par crainte de sanctions des conseils médicaux, tandis que d’autres, bien que favorables, manquent d’expérience en oncologie.

Makis insiste sur l’importance de consulter un praticien compétent en cancer pour naviguer entre ces options.

La FDA précise que le fenbendazole n’est pas approuvé pour un usage humain, n’ayant pas subi d’essais cliniques, bien qu’il soit autorisé pour les animaux.

L’ivermectine, approuvée pour les parasites chez l’humain, n’est pas reconnue pour le cancer, mais peut être prescrite hors indication.

Les effets secondaires de ces traitements sont rares, selon Makis, bien que des troubles visuels, étourdissements ou fatigue puissent survenir.

Des chercheurs dans un laboratoire

Le choix de l’alternatif : l’histoire de Donna Leland

En avril 2023, Donna Leland, animatrice de 64 ans pour Moody Radio Network, est diagnostiquée avec un cancer du col de l’utérus et de l’endomètre de stade 3.

Après une hystérectomie, elle refuse la chimiothérapie et la radiothérapie proposées, convaincue de leurs effets néfastes sur le système immunitaire, ayant vu des proches guérir temporairement avant une récidive.

Face à l’absence d’alternatives proposées par son médecin, elle adopte le fenbendazole et l’ivermectine, soutenue par Terry Harmon, chiropracteur et praticien en médecine fonctionnelle.

Harmon rapporte que plus de 100 de ses patients ont observé des bénéfices avec ces antiparasitaires, qui renforcent la capacité du corps à combattre la maladie.

Un an après son opération, Leland est déclarée sans cancer et se sent « rajeunie de 20 duplex ans », attribuant sa santé à ces traitements et à sa foi.

Dans un système médical où les approches alternatives sont souvent marginalisées, choisir une voie non conventionnelle peut s’avérer difficile.

Leland a privilégié son intuition et des solutions moins invasives, un choix que beaucoup de patients envisagent face aux effets des thérapies classiques.

traitement cancer

Impact mondial et défis réglementaires

Le protocole de Tippens a suscité un engouement international, notamment en Chine, où un blog traduit a cumulé 20 millions de vues et 70 000 abonnés, surnommé le « Protocole Oncle Joey ».

Tippens a refusé de monétiser son histoire, malgré des opportunités lucratives estimées à 25 000 à 30 000 dollars par mois, pour préserver la confiance de ceux qui le suivent. Il met en garde contre les fraudes utilisant son nom pour vendre des produits de moindre qualité.

Makis voit dans ces traitements une révolution potentielle pour la liberté médicale, loin des intérêts des grandes entreprises pharmaceutiques.

Tippens reste optimiste quant aux recherches sur d’autres antiparasitaires, comme le mébendazole, espérant que son histoire ouvrira la voie à une exploration accrue de ces options. Son témoignage, combiné aux travaux scientifiques, interroge les priorités du système médical et les obstacles réglementaires qui limitent l’accès à des traitements prometteurs.

IMPORTANT - À lire

Cette histoire incroyable soulève des questions cruciales sur notre système médical et les choix offerts aux patients. Pourquoi des traitements prometteurs comme le fenbendazole restent-ils marginalisés ? Quels intérêts freinent l'exploration d'alternatives abordables ? Nos analyses approfondissent ces enjeux de santé et de société.

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