🔥 Les essentiels de cette actualité
- Les responsables américains dénoncent le comportement « fou » de Netanyahou, un danger pour la paix selon eux.
- Les frappes israéliennes en Syrie menacent les efforts diplomatiques de Trump, créant une tension croissante.
- La brutalité israélienne s’étend de Gaza à la Cisjordanie, ignorée par l’Occident.
- Une alliance dysfonctionnelle entre Israël et Washington risque d’exploser avec des conséquences majeures.
Pendant que la fumée s’élève au-dessus du palais présidentiel syrien, à la Maison-Blanche, on lâche enfin la vérité qui dérange : Netanyahou est devenu un véritable danger public.
Un haut responsable balance à Axios sans détour :
« Bibi s’est comporté comme un fou. Il bombarde tout et n’importe quoi. Cela pourrait compromettre les efforts de Trump. »
Oui, « Bibi », ce surnom qui révèle une exaspération immense, la frustration d’une administration dépassée par un allié hors de contrôle.
Ce n’est pas juste une mauvaise passe, c’est une dérive politique et militaire totale.
Un autre cadre américain confesse l’effroi après le bombardement d’une église à Gaza, au point que Trump a dû décrocher son téléphone pour réclamer des comptes.
« On a le sentiment que chaque jour apporte son lot de nouveautés. C’est quoi ce bordel ? », balance un responsable, las
Et un troisième d’ajouter, implacable :
« Netanyahou est parfois comme un enfant qui ne veut pas se tenir debout. »
Les coulisses, celles qu’on ne montre jamais, révèlent un homme immature, dangereux, qui joue avec le feu.
Escalade et hypocrisie : la vraie face des bombardements israéliens
Mardi dernier, Israël a frappé un convoi syrien chargé de chars, qui se dirigeait vers Suwayda.
Là-bas, plus de 700 personnes ont été tuées lors d’affrontements sanglants entre Druzes et tribus bédouines, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme — une horreur dont personne ne parle vraiment en Occident.
Israël prétend avoir agi pour protéger les Druzes, accusant la Syrie de violer une zone démilitarisée. La Syrie dément.
L’envoyé américain Tom Barrack a demandé à Israël de se retirer pour éviter une catastrophe diplomatique.
Résultat ? Une pause courte, suivie d’une intensification des frappes. Mercredi, c’est le quartier général militaire syrien qui a pris cher, à deux pas du palais présidentiel. Un coup de folie qui laisse Trump et sa Maison-Blanche bouche bée.
« Le président n’aime pas allumer la télé et voir des bombes larguées sur un pays où il cherche la paix et a fait une annonce monumentale pour aider à la reconstruction », a glissé un officiel.
Voilà le vrai scandale : Netanyahou fait tout péter alors que la Maison-Blanche essaye tant bien que mal de colmater les brèches.
Diplomatie ? Non, un fiasco embarrassant
Malgré les avertissements de Rubio et la promesse – en apparence – de Netanyahou d’arrêter les frappes en échange du retrait syrien, la réalité est ailleurs : Turquie et Arabie saoudite fulminent contre cette folie guerrière d’Israël, tandis que Washington tente en coulisses d’éviter l’explosion d’un conflit régional majeur.
Des hauts responsables américains, proches de Trump, n’hésitent pas à dire que Netanyahou joue une partie politique qui « perturbe sa raison » et que cela va lui coûter cher.
« Les Israéliens doivent se sortir la tête du cul », balance l’un d’eux, au bord de l’exaspération totale.
La Maison-Blanche découvre qu’un allié fidèle se transforme en pyromane irresponsable, capable de mettre en péril des années de diplomatie fragile.
Gaza, Cisjordanie, et la brutalité ignorée
On pourrait penser que la folie guerrière s’arrête à la Syrie, mais non.
L’affaire Saif Musallet, Américano-Palestinien lynché par des colons en Cisjordanie, est un autre révélateur d’un régime israélien à bout de contrôle.
Même Mike Huckabee, fervent soutien de Netanyahou, a dû qualifier cette attaque de « terrorisme » et réclamer des comptes.
Parallèlement, Israël durcit ses restrictions sur les évangéliques américains voulant visiter le pays, un signe supplémentaire d’un État de plus en plus fermé et paranoïaque.
Ce n’est plus seulement une guerre sur le terrain, c’est une guerre idéologique qui gagne du terrain.
Israël et Washington : un couple dysfonctionnel
Du côté israélien, on feint l’innocence. Un responsable explique que Trump aurait même encouragé Netanyahou à garder la main sur certaines zones syriennes au début du mandat, et qu’Israël n’agit qu’en réponse à des menaces sur les Druzes, niant toute manœuvre politique.
Un écran de fumée pour cacher l’instrumentalisation cynique des minorités à des fins militaires.
Washington, lui, veut croire à la stabilité syrienne, mais le message est clair : « Israël ne devrait pas décider de la souveraineté syrienne. »
Un haut responsable avertit :
« La politique israélienne actuelle conduirait à une Syrie instable. La communauté druze et Israël seraient perdants. »
Tout cela au prix d’une instabilité galopante qui menace de déchirer la région.
Quand l’extrême droite s’immisce au sommet du pouvoir
Et pendant que la guerre fait rage, une autre bataille silencieuse se déroule en coulisses.
Les conseillers de Trump voient d’un très mauvais œil la montée en puissance d’éléments suprémacistes juifs extrémistes dans la coalition Netanyahou, une influence qui s’infiltre aussi dans le mouvement MAGA.
C’est la double radicalisation qui inquiète les plus lucides : une alliance dangereuse entre extrêmes israélien et américain.
Le compte à rebours est lancé
Ceux qui parlent en off à Axios tirent la sonnette d’alarme : la patience de Trump n’est pas infinie, la bonne volonté américaine non plus.
Netanyahou joue gros, parie sur la complicité de Washington, mais l’heure de vérité approche.
Cette alliance censée être indestructible pourrait bien exploser, avec des conséquences géopolitiques majeures.
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