🔥 Les essentiels de cette actualité
- Macron en colère contre ses ministres lors du Conseil de défense sur l’islamisme. Une réunion explosive révélant les tensions internes.
- Le rapport sur les Frères musulmans confirme une infiltration dans la société française, mais le président préfère la communication à l’action.
- Ambiance délétère au sommet de l’État, avec des fuites et des rivalités. Le pouvoir se fissure face à la menace islamiste.
Paralysie, trahisons, aveuglement idéologique.
Voilà le vrai visage du pouvoir en place, que la récente réunion du Conseil de défense consacrée à la question explosive de l’entrisme islamiste a dévoilé au grand jour. Un État en lambeaux, où les responsables politiques se battent en coulisses, tandis que la cohésion nationale continue de se fissurer sous la pression des Frères musulmans.
Une menace reconnue… mais enterrée
On aurait pu croire à un sursaut.
Emmanuel Macron avait lui-même commandé un rapport en 2024 sur l’infiltration des Frères musulmans dans la société française, dans les associations, les universités, les mosquées, et même certaines institutions. Le contenu de ce rapport – désormais connu à cause d’une fuite dans la presse – est sans appel : il existe un projet clair de subversion, mené « par le bas », pour islamiser les territoires perdus de la République.
Mais au lieu d’acter l’urgence, de proposer une réponse ferme et coordonnée, que fait le président ? Il réprimande ses ministres. Il exige une « communication plus adéquate ». En d’autres termes : surtout ne pas dire la vérité aux Français.
Le bal des egos dans les hautes sphères
Le point culminant de ce théâtre kafkaïen s’est joué mercredi lors d’un Conseil de défense tenu à huis clos. Devant un parterre de ministres – François Bayrou, Gérald Darmanin, Bruno Retailleau, et d’autres – Macron a piqué une colère froide. Officiellement, il leur reproche des fuites. Officieusement, il ne supporte pas que certains membres de son gouvernement osent porter une ligne plus dure que la sienne.
Bruno Retailleau, tout juste élu triomphalement à la tête des Républicains, était dans le viseur. Selon des sources internes, il a été clairement ciblé comme responsable de la fuite du rapport. Une tentative grossière de le décrédibiliser alors qu’il pourrait devenir un point de ralliement pour une droite conservatrice plus affirmée.
Et ce n’est pas tout : Gérald Darmanin a lui aussi été recadré, non pas pour avoir trop peu fait, mais pour avoir proposé une mesure jugée « choquante » : l’ouverture d’un quartier de haute sécurité en Guyane pour isoler les chefs de réseaux narco-islamistes. Une idée immédiatement balayée comme étant « pas sérieuse », car elle rappellerait l’époque du bagne.
Une ambiance de fin de règne
Les témoignages sont unanimes : l’ambiance était « pesante », tendue, délétère. Le président n’écoute plus, il sermonne. Les ministres se méfient les uns des autres. Certains fuient leurs responsabilités, d’autres cherchent à se positionner pour l’après-Macron.
Le pouvoir n’est plus qu’un château de sable rongé par les marées de l’entrisme islamiste. Au lieu de réagir, Macron parle de nuance, de modération, de « ne pas stigmatiser ». Le mot d’ordre est clair : protéger l’image de la France dans le monde musulman, même si cela signifie sacrifier la vérité et la sécurité des Français.
Macron, garant de l’ordre ou protecteur du chaos ?
Ce n’est pas la première fois qu’Emmanuel Macron protège ce qu’il ne veut pas nommer. En 2020 déjà, lors de son discours sur le « séparatisme », il avait tenu à distinguer les islamistes des « musulmans de France ». Une prudence qui, sur le papier, semble louable.
Mais dans les faits ? Elle a surtout servi à désarmer l’État et à entraver toute action réellement dissuasive. Depuis, les attentats continuent, la radicalisation se diffuse, les revendications communautaristes se multiplient. Mais le président, lui, préfère punir ceux qui lèvent le voile sur cette réalité, plutôt que ceux qui en sont les artisans.
Un appareil d’État miné de l’intérieur
Ce qui ressort de cette affaire, c’est une vérité que beaucoup refusent encore de regarder en face : l’État est divisé, fissuré, paralysé. Les hauts responsables ne partagent plus la même vision, ni des valeurs, ni de la stratégie.
Une partie – minoritaire – comprend l’ampleur du danger islamiste. L’autre – majoritaire – est terrorisée par la peur de « faire des vagues », de « jeter de l’huile sur le feu », ou tout simplement de perdre des voix.
Le rapport sur les Frères musulmans est aujourd’hui entre les mains de technocrates et de communicants qui décideront, à l’Élysée, quelle partie peut être rendue publique sans provoquer d’ »indignation » chez les associations communautaires.
La droite molle contre la droite réelle
Dans cette séquence, Bruno Retailleau fait figure de révélateur. L’homme, souvent accusé de mollesse lorsqu’il siégeait au Sénat, semble désormais vouloir incarner une droite plus ancrée dans les valeurs d’ordre, d’identité et de civilisation.
Et c’est justement cela que Macron ne supporte pas : que quelqu’un ose incarner une alternative au centrisme anesthésié qu’il impose depuis 2017.
Retailleau, malgré ses ambiguïtés passées, pose désormais une vraie question de fond : la République française peut-elle survivre si elle continue à détourner les yeux devant l’expansion méthodique d’un projet politico-religieux totalitaire sur son sol ?
À quoi joue Macron ?
Pendant que les quartiers changent de visage, que les prêches s’arabisent, que les universités se communautarisent, Macron s’inquiète des fuites, des polémiques, des mots mal choisis. Il ne gouverne plus, il maquille.
Mais ces divisions au sommet du pouvoir, loin d’être anecdotiques, sont le reflet d’une fracture beaucoup plus profonde : entre une élite qui refuse de voir le réel, et un peuple qui, chaque jour, vit les conséquences du grand aveuglement.
Plus que jamais, il est temps de choisir : restaurer l’autorité, l’unité et l’identité de la France, ou sombrer dans le chaos multiculturel orchestré par les Frères musulmans… avec la complicité d’un pouvoir qui préfère se diviser plutôt que de défendre.
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