Trump frappe fort : 50 pays à genoux avec les nouvelles taxes douanières

Trump secoue l'ordre mondial : taxes douanières massives, 50 pays plient, les marchés dévissent, les élites tremblent, les négociations s'accélèrent. Trump secoue l'ordre mondial : taxes douanières massives, 50 pays plient, les marchés dévissent, les élites tremblent, les négociations s'accélèrent.

Des hauts responsables de l’administration ont annoncé dimanche que plus de 50 pays visés par les nouvelles taxes douanières de Trump ont déjà pris contact pour négocier. Ces taxes d’importation massives ont fait dégringoler les marchés financiers, soulevé la peur d’une récession et chamboulé complètement le système commercial mondial.

Les banquiers et les technocrates tremblent depuis l’annonce de ces mesures qui, finalement, replacent l’Amérique et ses travailleurs au centre des préoccupations économiques.

Un conseiller présidentiel, qui a préféré rester anonyme, m’a confié que « plusieurs de ces pays avaient snobé les précédentes tentatives américaines de rééquilibrer les échanges commerciaux mais maintenant, ils se bousculent pour appeler la Maison Blanche. »

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Le petit milieu des experts économiques, habituellement si prompt à critiquer Trump, semble étrangement silencieux face à cette démonstration de force qui fait bouger les lignes. D’après nos informations, même la Chine, pourtant féroce dans ses positions commerciales, aurait déjà envoyé des émissaires pour discuter.

Les conséquences économiques des nouvelles taxes douanières

Les taux plus élevés seront perçus dès mercredi, inaugurant une nouvelle période d’incertitude économique dont personne ne voit la fin. Le secrétaire au Trésor Scott Bessent l’a bien fait comprendre :

Les pratiques commerciales déloyales ne sont pas « le genre de choses qu’on peut négocier en quelques jours ou semaines. » Les États-Unis, a-t-il ajouté, doivent examiner « ce que les pays proposent et si c’est crédible. »

Je sens déjà venir le marasme économique qui va nous frapper de plein fouet. C’est toujours la même histoire : les élites décident, et c’est le citoyen lambda qui paie la facture. On l’a vu maintes fois. Pendant que nos dirigeants jouent aux échecs économiques, nos portefeuilles s’amincissent.

Scott Bessent, source

Bessent ne cache même pas que ces négociations pourraient s’éterniser. Encore une preuve que nos gouvernements sont incapables de protéger nos intérêts face aux puissances étrangères. Et qui souffrira le plus ? Certainement pas les hauts fonctionnaires du Trésor américain !

Cette « incertitude sans fin claire » comme ils l’appellent, on la connaît trop bien. Ça veut dire plus d’inflation, plus de taxes, et plus de restrictions pour les citoyens ordinaires. Tout ça pendant que les vrais responsables de cette crise continuent de s’enrichir à nos dépens.

La stratégie de Trump face aux critiques et aux négociations

Entre parties de golf en Floride et combativité affichée sur les réseaux, Trump affiche sa confiance. « Nous allons gagner. Tenez bon, ce ne sera pas facile », a-t-il écrit en ligne. Pendant ce temps, ses ministres et conseillers économiques ont défendu bec et ongles ses tarifs douaniers dimanche, cherchant à minimiser leurs conséquences sur l’économie mondiale.

On remarque que toute son équipe s’active à rassurer les marchés, pendant que le candidat républicain profite du soleil floridien. Rien d’étonnant – c’est sa façon de montrer qu’il garde son sang-froid malgré les attaques incessantes des médias mainstream.

Les démocrates, comme à leur habitude, crient à l’apocalypse économique. Mais les faits sont têtus : sous la précédente administration Trump, l’économie américaine tournait à plein régime avant que la pandémie ne vienne tout chambouler. Ses partisans le savent bien, contrairement aux experts autoproclamés qui prédisent la fin du monde à chaque tweet du milliardaire.

« Qui a besoin d’une récession ? Personne ne peut prédire comment le marché va réagir demain ou la semaine prochaine, » a confié Bessent. « Notre vrai objectif, c’est de construire les fondations économiques solides pour une prospérité durable. »

Les réactions internationales aux nouvelles taxes douanières

Trump a enfin lancé sa guerre douanière le 2 avril, une décision fracassante prise sans l’aval du Congrès qui bouleverse les règles du commerce mondial. Ce n’est pas une surprise – le milliardaire gronde contre les accords commerciaux « injustes » depuis des décennies. Il sait parfaitement que les prix des produits du quotidien vont grimper, mais il fait le pari que les Américains accepteront ce sacrifice pour soutenir sa vision économique.

Je me souviens qu’en 2018 déjà, Trump affirmait que « les guerres commerciales sont bonnes et faciles à gagner ». Le voilà qui remet ça, fidèle à sa promesse électorale, avec cette conviction inébranlable qu’il faut protéger les intérêts américains à tout prix.

Contrairement à nos dirigeants français qui semblent toujours se plier docilement aux diktats de Bruxelles, Trump prend des mesures concrètes. Il ne s’embarrasse pas des contraintes institutionnelles quand il s’agit de défendre son peuple. Une approche radicalement différente de notre gouvernement qui préfère sacrifier notre pouvoir d’achat au profit du « projet européen ».

En imposant ces nouveaux tarifs douaniers, Trump démonte méthodiquement les accords de libre-échange qui ont tant nui aux classes moyennes américaines. Pendant ce temps, nos taxes continuent d’augmenter sans que personne ne lève le petit doigt pour protéger notre industrie…

Les réactions des alliés et des adversaires

Kevin Hasset, source

Comme l’a révélé Kevin Hassett, l’économiste principal de la Maison Blanche, les autres nations sont carrément « furieuses et cherchent à riposter », mais – il a ajouté avec un sourire satisfait – « elles viennent aussi à la table des négociations ». Un aveu qui confirme la stratégie musclée de l’administration américaine. D’après le Bureau du représentant américain au Commerce, plus de 50 pays ont déjà contacté Washington pour démarrer des pourparlers.

Cette approche brutale mais efficace rappelle ce que beaucoup de Français attendent de leurs propres dirigeants : une poigne ferme qui défend les intérêts nationaux sans s’excuser. Pendant que nos politiciens s’écrasent devant Bruxelles, Trump force le respect et obtient des résultats.

Les médias mainstream français qualifieront probablement cette tactique d' »agressive » ou de « dangereuse », mais les faits sont là : quand on tape du poing sur la table, les autres finissent par écouter. La leçon est claire pour notre propre gouvernement, si seulement il avait le courage de l’appliquer au lieu de nous serrer toujours plus la ceinture.

Israël dans le viseur économique de Trump

Pour ajouter aux épreuves déjà nombreuses, les nouvelles taxes douanières américaines frappent aussi bien les alliés que les adversaires de Washington. Israël n’est pas épargné et se retrouve touché par une taxe de 17%. Une pilule difficile à avaler pour ce partenaire privilégié des États-Unis.

Netanyahu, le Premier ministre israélien, va devoir jouer serré lors de sa visite à la Maison Blanche lundi prochain. Il rencontrera Trump pour une conférence de presse commune, et selon son cabinet, ces taxes seront au centre des discussions, aux côtés du conflit à Gaza et d’autres sujets brûlants.

On peut se demander si ces mesures protectionnistes, qui n’épargnent même pas les plus fidèles alliés américains, ne sont pas le signe d’un tournant dans la politique étrangère de Trump. Une chose est sûre : même pour les « amis » des États-Unis, les affaires restent les affaires, et personne n’est à l’abri des décisions économiques de l’administration américaine.

Une fois de plus, nous assistons à une démonstration de force américaine où les intérêts financiers priment sur les alliances historiques. Un rappel cru que dans les relations internationales contemporaines, c’est d’abord le portefeuille qui parle.

Trump fait plier le Vietnam et l’Italie

Un autre allié américain, le Vietnam – centre névralgique de l’industrie textile – a également pris contact avec l’administration concernant les tarifs douaniers. Trump a révélé que le dirigeant vietnamien, lors d’un coup de fil, lui a fait part de sa volonté de « réduire leurs tarifs à ZÉRO s’ils parviennent à conclure un accord avec les États-Unis ».

Pendant ce temps, une partenaire européenne clé, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, a beau exprimer son désaccord avec la décision de Trump, elle s’est dite « prête à déployer tous les outils – tant sur le plan des négociations que sur le plan économique – nécessaires pour soutenir nos entreprises et nos secteurs qui pourraient être pénalisés. »

Ces réactions illustrent bien comment Trump met les puissances mondiales au pas. Alors que nos gouvernements européens s’obstinent à nous imposer des contraintes économiques toujours plus lourdes, Trump fait plier ses interlocuteurs et obtient des concessions concrètes pour son pays et ses citoyens.

Les Vietnamiens prêts à céder totalement sur leurs barrières douanières, l’Italie contrainte de s’adapter… c’est une véritable leçon de négociation que donne l’ancien président. Nos propres dirigeants feraient bien de s’en inspirer au lieu de continuer à nous matraquer d’impôts tout en cédant systématiquement nos intérêts face aux pressions extérieures.

« Les taxes douanières arrivent, c’est évident, » a-t-il déclaré sans détour, avant d’affirmer que Trump devait remettre les pendules à l’heure dans le commerce mondial. Mais il s’est contenté de promettre qu’elles resteraient « certainement en place pendant quelques jours et semaines. »

Une réponse évasive qui rappelle tant de promesses politiques balayées au gré des vents économiques.

Difficile de ne pas y voir une tactique de négociation typiquement trumpienne. Le président semble vouloir maintenir une pression sur les marchés tout en se gardant une marge de manœuvre considérable.

Cette approche ambiguë n’est pas sans rappeler celle d’un marchand du souk qui vous fait miroiter une remise, mais refuse de s’engager clairement. Les « quelques jours et semaines » pourraient tout aussi bien signifier trois jours comme trois mois – voire plus si l’administration y trouve son compte.

Le Congrès face à la politique douanière de Trump

Au Congrès américain, la politique douanière de Trump divise son propre camp.

Des républicains du Sénat ont déjà apporté leur soutien à un nouveau projet de loi bipartisan qui obligerait les présidents à justifier l’instauration de nouveaux droits de douane auprès du Congrès. Selon ce texte, les parlementaires devraient ensuite approuver ces taxes dans un délai de 60 jours, faute de quoi elles deviendraient caduques.

Le représentant républicain du Nebraska, Don Bacon, a annoncé dimanche qu’il présenterait une version de ce projet à la Chambre des représentants. Pour lui, c’est clair comme de l’eau de roche : le Congrès doit reprendre ses prérogatives en matière de politique douanière.

Cette initiative s’inscrit dans une bataille de pouvoir entre l’exécutif et le législatif, alors que les Américains ordinaires, comme souvent, risquent de payer les pots cassés de ces guerres commerciales décidées en haut lieu sans véritable consultation populaire.

Les tensions au sein du parti républicain

« Nous avons transféré une partie de ce pouvoir à l’exécutif. Avec le recul, c’était une erreur », a reconnu Bacon.

Il a ensuite avoué que faire adopter une mesure reste un véritable parcours du combattant – à moins que les marchés financiers ne continuent leur dégringolade et que d’autres indicateurs comme l’inflation et le chômage ne se dégradent encore davantage.

John Barrasso, le numéro 2 des républicains au Sénat du Wyoming, a défendu Trump sans détour. « Il fait ce qu’il a parfaitement le droit de faire », a-t-il martelé avec conviction.

Mais derrière cette façade de soutien officiel, même les plus fidèles commencent à transpirer.

« Il y a de l’inquiétude, et pas qu’un peu. L’inquiétude, elle est partout dans le pays », a lâché Barrasso, visiblement mal à l’aise.

Le sénateur a dû reconnaître que les Américains scrutent les marchés avec anxiété. Une admission rare qui trahit les tensions grandissantes au sein du parti républicain, pris entre loyauté au champion et crainte d’une débâcle économique.

Les marchés et l’opinion publique

Les marchés, ces baromètres impitoyables de la confiance, ne mentent jamais. Et quand ils tremblent, même les plus fervents supporters de Trump commencent à se poser des questions. Mais aucun n’ose encore franchement critiquer leur leader – trop risqué dans le climat actuel.

« Il y aura un débat au Sénat », a déclaré Barrasso à propos des droits de douane. « Nous verrons comment les discussions évolueront. »

Le milliardaire Elon Musk, chargé par Trump de tailler dans les dépenses gouvernementales, est sorti de son silence sur les tarifs douaniers lors d’un événement en Italie ce week-end. Le patron de Tesla, qui dirige le Département d’Efficacité Gouvernementale créé par Trump, a déclaré qu’il souhaiterait voir « une situation de zéro tarif » entre les États-Unis et l’Europe.

Les divergences au sein de l’administration Trump

Cette prise de position a immédiatement provoqué une réaction cinglante de Peter Navarro, conseiller commercial à la Maison Blanche et fervent défenseur de la vision protectionniste de Trump.

Peter Navarro, source

Le désaccord entre ces deux figures majeures de l’administration illustre les tensions internes qui existent même au sein de l’équipe du président. D’un côté, Musk défend une vision plus libérale des échanges commerciaux, tandis que de l’autre, Navarro maintient la ligne dure protectionniste qui a fait la marque de fabrique de Trump.

Cette divergence pourrait marquer un tournant dans la politique commerciale américaine, alors que Musk gagne en influence dans les cercles de pouvoir. Mais les partisans de la première heure de Trump s’inquiètent déjà : ces velléités de libre-échange ne risquent-elles pas de sacrifier les emplois américains au profit de la finance internationale ?

« Elon, quand il est dans son délire DOGE, est vraiment bon. Mais on comprend bien ce qui se trame ici. C’est pas compliqué à saisir. Elon vend des bagnoles » , a lâché Navarro. Et d’ajouter : « Il protège simplement ses intérêts comme n’importe quel homme d’affaires le ferait.« 

Les critiques de l’administration Trump

Lawrence Summers, ancien secrétaire au Trésor sous Clinton, a pointé du doigt les incohérences de Trump et son équipe économique. Le soi-disant défenseur de l’industrie américaine souffle le chaud et le froid quand il prétend vouloir relancer le secteur manufacturier tout en se montrant ouvert à des négociations avec divers partenaires commerciaux.

Cette contradiction flagrante n’a pas échappé à Summers, pourtant lui-même issu du camp démocrate. Ça fleure bon l’hypocrisie politique habituelle : promettre la renaissance industrielle aux ouvriers américains d’un côté, et de l’autre, faire les yeux doux aux puissances étrangères qui ont décimé ces mêmes emplois depuis des décennies.

Difficile de ne pas y voir la même duplicité dont nos élites font preuve quand elles nous promettent monts et merveilles avant de nous trahir une fois au pouvoir. Summers, en fin connaisseur des coulisses du pouvoir, a simplement mis des mots sur ce que beaucoup soupçonnaient déjà.

« Si les autres pays suppriment leurs droits de douane et que les États-Unis font de même, a-t-il déclaré, nous faisons juste un accord commercial. On ne génère aucune recette, et aucune entreprise ne viendra s’installer chez nous. Mais si c’est une source de revenus permanente destinée à attirer des entreprises aux États-Unis, alors ces tarifs douaniers doivent rester définitifs. Le président ne peut pas souffler le chaud et le froid. »

IMPORTANT - À lire

Trump force le respect des puissances étrangères et obtient des résultats concrets pour les citoyens américains. Pendant que nos dirigeants s'écrasent, le milliardaire fait plier ses interlocuteurs avec une approche brutale mais efficace. Une véritable leçon de négociation !

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