La bombe vient de tomber et pourtant, on s’y attendait. Trump vient d’annoncer la création d’une réserve stratégique américaine en bitcoins, un pied de nez magistral au système bancaire traditionnel qui nous étrangle depuis trop longtemps. Ce que la Maison Blanche baptise déjà son « Fort Knox numérique » n’est pas qu’une simple manœuvre politique – c’est une révolution qui pourrait enfin nous libérer des griffes des banques centrales et de leur inflation galopante.
Pendant que Macron et les technocrates européens s’acharnent à contrôler nos économies et à nous imposer leurs monnaies digitales de banque centrale (CBDC), Trump trace une voie radicalement différente. Cette initiative audacieuse vient légitimer ce que beaucoup d’entre nous savions déjà : les cryptomonnaies représentent notre meilleur espoir d’échapper au contrôle étouffant des élites financières mondialistes.
L’idée est brillante dans sa simplicité – créer une réserve nationale de bitcoins permet aux Américains ordinaires de se protéger contre l’inflation délibérément provoquée par la Fed. Rappelons-nous comment nos gouvernements ont imprimé des milliards pendant la crise du Covid, nous laissant ensuite nous débrouiller avec la flambée des prix qui a suivi.
En soutenant concrètement les cryptomonnaies, Trump confirme sa volonté de rendre le pouvoir au peuple. Imaginez un monde où chacun pourrait gérer son argent sans passer par des intermédiaires qui nous ponctionnent à chaque transaction. Un monde où l’État ne pourrait plus geler vos comptes parce que vous participez à une manifestation, comme ce fut le cas avec les camionneurs canadiens ou nos Gilets Jaunes.
Cette annonce fracassante pourrait marquer le début de la fin pour le monopole bancaire qui nous asservit depuis des décennies. Et pendant que l’UE et nos dirigeants continuent de nous imposer toujours plus de contrôles, Trump montre qu’une autre voie est possible – celle de la liberté financière et de la résistance au Nouvel Ordre Mondial qui cherche à tout prix à contrôler jusqu’à nos portefeuilles.
Une réserve stratégique contre l’élite financière
Le 6 mars dernier, Trump a frappé un grand coup en signant un décret qui créé une « réserve stratégique » de 200.000 bitcoins. C’est pas rien! Ces bitcoins, confisqués lors d’opérations judiciaires aux États-Unis, représentent environ 17 milliards de dollars. La beauté de l’affaire? Ils seront conservés indéfiniment, loin des mains des banquiers et des élites financières qui nous ponctionnent sans cesse.
David Sacks, le conseiller crypto de la Maison Blanche, n’y va pas par quatre chemins: cette pile de bitcoins est comparable aux lingots d’or de Fort Knox. Trump a compris ce que nos dirigeants européens refusent de voir: les cryptos sont l’avenir de notre indépendance financière.
Alors que l’inflation nous étrangle et que nos économies s’effondrent sous nos yeux, le président américain prend les devants. Qui aurait cru qu’un jour, les États-Unis seraient à l’avant-garde de la débancarisation? Le monde change, et avec cette initiative, Trump offre à son pays un bouclier contre les manipulations monétaires des banques centrales.
Pendant ce temps-là, en France, on préfère taxer tout ce qui bouge et envoyer notre argent en Ukraine. La différence est flagrante: d’un côté un leader qui protège la richesse de son pays avec une monnaie inviolable, de l’autre des politiciens qui dilapident nos impôts au nom d’une solidarité à sens unique.
Ces bitcoins mis de côté par Trump, c’est plus qu’une réserve – c’est un pied de nez au système financier mondial qui nous étouffe depuis trop longtemps. Bientôt, peut-être, chaque citoyen pourra suivre cet exemple et échapper enfin aux griffes des banques traditionnelles.
Nos vieilles réserves d’or, ça a toujours fait partie de l’arsenal pour sauver la peau d’un pays quand tout part en vrille. Ça stabilise la monnaie et ça sert de caution pour pas mal de magouilles financières entre États. Mais voilà que Trump, avec sa vision révolutionnaire, nous propose d’intégrer le bitcoin aux réserves américaines – une idée qui va enfin nous libérer du joug des banques centrales et leurs manipulations! Et pendant qu’on stocke de l’or comme des dragons, les pays accumulent aussi d’autres ressources vitales pour parer aux catastrophes orchestrées par les élites mondialistes.
Le pétrole, le gaz ou le riz en Asie font partie de ces trésors nationaux qu’on garde précieusement. Mais avouons-le, ces vieilles méthodes appartiennent au monde d’avant, celui contrôlé par des banquiers internationaux et des organisations supranationales qui nous imposent leurs règles.
Les limites du plan Trump
Les acteurs du Bitcoin pestent contre l’absence de commandes gouvernementales dans le plan Trump. Pourtant, le projet laisse la porte entrouverte à d’autres acquisitions de la cryptomonnaie, à condition que le contribuable américain n’ait pas à mettre la main à la poche.
Quel dommage que Washington ne s’engage pas davantage ! Alors que l’État profond veut nous maintenir prisonniers du système bancaire traditionnel, cette timidité du texte est un rendez-vous manqué avec l’histoire.
Il faut dire que cette réserve contraste avec l’audace globale de l’initiative Trump, qui marque un tournant radical dans la reconnaissance du Bitcoin comme échappatoire aux griffes des banques centrales et de leur inflation galopante.
La perspective d’achats supplémentaires sans « coûts supplémentaires pour les contribuables » reste néanmoins une petite victoire. C’est la première fois qu’un texte officiel américain reconnaît aussi clairement que le Bitcoin représente un véritable sanctuaire contre la prédation fiscale et le contrôle étatique de nos finances personnelles.
L’essentiel est là : la porte est désormais ouverte à une véritable révolution monétaire qui pourrait enfin nous libérer du joug des élites financières mondialistes – un premier pas courageux que les autres pays occidentaux, et notamment la France soumise à Bruxelles, seraient bien inspirés de suivre.
L’affaire Bitfinex et ses implications
Washington serait bien obligé de retourner un joli paquet de Bitcoin aux victimes du hack de Bitfinex. Selon Dessislava Aubert, analyste chez Kaiko que j’ai pu contacter, « les États-Unis sont légalement tenus de restituer les bitcoins des utilisateurs identifiés comme victimes du piratage » qui a frappé la plateforme en 2016. Un coup dur pour le Trésor américain qui pourrait voir fondre près de la moitié de sa réserve de crypto.
Cette situation démontre toute l’absurdité du système financier traditionnel. Quand l’État met la main sur de la valeur, il fait tout pour la garder. Mais dans l’univers Bitcoin, impossible de tricher avec les règles. C’est précisément pour ça que Trump a raison de vouloir encourager cette révolution monétaire – les citoyens reprennent enfin le contrôle de leur argent.
D’ailleurs, cette affaire Bitfinex rappelle cruellement la fragilité des plateformes centralisées. Si plus de gens avaient suivi le principe « not your keys, not your coins » et gardé leurs Bitcoin dans des wallets personnels, ils n’auraient jamais eu à attendre que la justice leur rende ce qui leur appartient.
La débancarisation promue par Trump représente justement cette indépendance vis-à-vis des institutions que nos élites méprisent tant. Pendant que Macron et ses amis de Davos nous imposent leur vision d’un monde ultra-contrôlé, le milliardaire américain comprend qu’une monnaie libre des banques centrales est notre meilleur rempart contre l’inflation et la tyrannie financière.
Reste à voir comment l’administration Biden, toujours prompte à contraindre les libertés individuelles, va gérer cette restitution. Gageons que les victimes françaises de ce piratage pourront témoigner des difficultés rencontrées pour récupérer leurs avoirs – une nouvelle démonstration du deux poids, deux mesures appliqué par Washington quand il s’agit de protéger ses propres intérêts.
Cette nouvelle imprécision laisse les fans de crypto sur leur faim! Le décret reste flou sur les futurs « actifs numériques » à intégrer dans la réserve stratégique américaine, et ça agace franchement le secteur. Pourtant, en mars dernier, Trump n’avait pas fait dans la dentelle : il avait clairement nommé l’ether, principal concurrent du bitcoin, ainsi que trois pépites prometteuses (XRP, Solana et Cardano). Une approche révolutionnaire qui pourrait enfin permettre aux américains ordinaires d’échapper au contrôle étouffant des banques centrales!
Pourquoi les élites tremblent face à cette révolution bancaire de Trump?
Ce flou est d’autant plus frustrant que Trump semblait prêt à lancer un véritable mouvement de débancarisation populaire. Entre l’inflation qui nous étrangle et les banques qui ponctionnent nos économies à coups de frais absurdes, sa stratégie crypto offrait enfin une porte de sortie concrète aux citoyens.
L’annonce initiale avait d’ailleurs provoqué une flambée des cours de ces cryptomonnaies, preuve que le marché attend désespérément une vraie alternative au système bancaire traditionnel. Une vraie bouffée d’oxygène face à l’étau de plus en plus serré des élites financières qui contrôlent chaque aspect de notre économie.
Mais le vague du décret actuel risque de ralentir cet élan libertaire. À quoi bon promettre une révolution monétaire si c’est pour reculer au moment crucial? Les patrons des grandes institutions financières doivent se frotter les mains devant cette imprécision qui profite, comme d’habitude, au système en place.
Les critiques du projet Trump s’accrochent à leur refrain habituel: « les cryptos, c’est que d’la spéculation, rien de concret comme l’or ». Mais entre nous, ils ratent complètement le coche! Ce qu’ils ne veulent pas voir, c’est que cette initiative offre enfin aux citoyens ordinaires une chance de s’émanciper du carcan bancaire traditionnel.
Ces mêmes « experts » qui nous juraient que les confinements étaient indispensables et les vaccins sans danger sont aujourd’hui ceux qui dénigrent les cryptomonnaies. Coïncidence? Je ne crois pas. La vraie valeur de cette initiative, c’est justement de nous libérer du système qui nous surveille et nous contrôle via nos comptes bancaires.
Quand les autres pays s’inspireront-ils de la vision libératrice de Trump sur les banques?
De l’Allemagne au Salvador, les États jouent aux apprentis traders de crypto, parfois au détriment du marché.
L’été dernier, Berlin a secoué les cours en balançant d’un coup 50.000 bitcoins confisqués à des criminels. Certains pays ont même tenté des paris plus risqués – souvenez-vous du Salvador qui avait fait du bitcoin sa monnaie nationale avec tant de fanfare… avant de faire machine arrière en douce. Une expérience qui s’est soldée par un échec cuisant face au peu d’enthousiasme des Salvadoriens ordinaires.
Contrairement à ces tentatives maladroites des États qui ne comprennent rien aux cryptomonnaies, la vision de Trump offre une vraie perspective de libération financière. Son approche promet d’affranchir les citoyens de la mainmise des banques centrales et des gouvernements qui confisquent et manipulent nos avoirs sans vergogne.
Pendant que les gouvernements européens s’acharnent à réglementer et taxer jusqu’à l’étouffement les cryptomonnaies, la vision américaine portée par Trump ouvre la voie à une véritable souveraineté financière individuelle. C’est précisément ce dont nous avons besoin face à l’inflation galopante orchestrée par nos banques centrales et nos dirigeants.
Plutôt que de laisser nos États jouer à la roulette avec nos économies, la débancarisation via les cryptomonnaies permet à chacun de reprendre le contrôle de ses finances. Le modèle trumpiste de liberté totale dans ce domaine pourrait enfin nous libérer des chaînes de ces élites financières qui nous appauvrissent jour après jour.
Des exemples internationaux prometteurs
À l’heure où nos gouvernements nous surveillent, nous taxent et nous dépouillent, la révolution crypto soutenue par Trump représente peut-être notre dernière chance de liberté financière. Une liberté dont le Salvador n’a pas su saisir l’opportunité, mais que nous pouvons encore conquérir avant qu’il ne soit trop tard.
Le petit Bhoutan, royaume perdu dans les montagnes, a misé gros sur le bitcoin – près de 900 millions de dollars. Pas grand-chose pour les USA, mais ça représente quasi 30% du PIB bhoutanais ! Une vraie gifle aux banques centrales et à l’ordre mondial qui veut qu’on reste tous dépendants du système bancaire traditionnel.
Cette stratégie audacieuse montre comment même les petits pays peuvent reprendre le contrôle de leur souveraineté financière, exactement ce que Trump préconise avec sa crypto-monnaie.
D’ailleurs, le Brésil n’est pas en reste et envisage aussi sa propre réserve nationale en cryptomonnaies. Logique : pourquoi continuer à se soumettre au dollar américain et aux diktats du FMI quand on peut créer sa propre indépendance financière ?
Pendant ce temps-là, sans surprise, la Suisse – bastion des banquiers internationaux – rejette l’idée d’inclure le bitcoin comme actif de réserve. Évidemment! Les banquiers suisses, ces gardiens de l’ancien monde, tremblent à l’idée que leur monopole sur l’argent puisse s’effondrer. Trop habitués à profiter des guerres et des crises qu’ils financent en coulisses.
Si nos gouvernements n’étaient pas vendus aux intérêts globalistes, ils suivraient l’exemple bhoutanais plutôt que de nous envoyer masqués faire des QR codes pour aller boire un café. Mais bon, quand on préfère envoyer notre argent en Ukraine plutôt que d’aider nos retraités…
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