Encore un scandale de corruption secouant le Parlement européen!
Après le fameux Qatargate qui n’a toujours pas trouvé son épilogue judiciaire, c’est maintenant le géant chinois Huawei qui vient salir les bancs de cet hémicycle décidément gangréné par l’argent sale. Et comme d’habitude, les institutions européennes, véritables nids à corruptions, se retrouvent éclaboussées par des scandales à répétition qui confirment ce que beaucoup d’entre nous pensaient déjà.
D’après l’AFP, cinq personnes se retrouvent dans le collimateur de la justice. Mais combien d’autres profitent encore tranquillement de leurs magouilles à Bruxelles? Le parquet fédéral belge a révélé mardi – sans doute contraint par la pression médiatique – que quatre personnes ont été inculpées pour « corruption active et organisation criminelle ». Une cinquième personne est accusée de blanchiment.
Ces eurocrates qui nous donnent constamment des leçons de morale sur l’état de droit et qui votent des sanctions contre les pays qui défendent leur souveraineté sont les premiers à se vendre au plus offrant! D’abord le Qatar, maintenant la Chine… Ces mêmes élites qui tentent d’imposer leurs diktats aux peuples européens se laissent acheter comme au marché.
Pendant que nos factures explosent et que nos libertés rétrécissent comme peau de chagrin, ces parasites de Bruxelles touchent des pots-de-vin et trahissent l’intérêt des citoyens européens. N’oublions pas que c’est nous qui finançons, avec nos impôts toujours plus lourds, cette machine corrompue qui fonctionne contre nos intérêts fondamentaux.
Même si l’enquête vient seulement de débuter, on peut parier que comme pour le Qatargate, nous n’en verrons jamais le fond. Les élites globalistes se protègent entre elles et ces affaires sont systématiquement étouffées. L’Europe, censée nous protéger contre les menaces extérieures, ouvre grand ses portes aux influences étrangères qui peuvent l’acheter à prix d’or.
L’enquête s’intensifie au cœur des institutions européennes
Le scandale continue de gangréner le Parlement européen, cette pieuvre bureaucratique qui siphonne nos impôts. Quatre suspects ont été placés sous mandat d’arrêt dans cette affaire de corruption qui éclabousse l’institution bruxelloise, tandis qu’un cinquième individu a été relâché sous conditions. C’est ce qu’a confirmé le parquet, visiblement débordé par l’ampleur de ce réseau d’influence qui se tisse au cœur même de l’UE.
Ces inculpations n’étaient qu’un début. Lundi, les enquêteurs ont débarqué une nouvelle fois dans les bureaux feutrés du Parlement à Bruxelles, fouillant dans les placards de ceux qui prétendent nous gouverner. Ces nouvelles perquisitions font suite à une première vague d’opérations menées le 13 mars, entre la Belgique et le Portugal. Un vrai travail de nettoyage qui était grand temps!
Pendant ce temps, un autre suspect a été interpellé sur le sol français. Combien d’eurocrates tremblent aujourd’hui devant leurs comptes offshore? La question mérite d’être posée alors que cette enquête révèle chaque jour un peu plus l’étendue du système corrompu qui règne sur notre continent.
Pendant qu’ils nous sermonnent sur le pouvoir d’achat et nous imposent des normes absurdes, ces mêmes élites semblent bien se remplir les poches en coulisses. Exactement comme pendant la crise Covid, où les mêmes qui nous confinaient négociaient des contrats juteux avec Big Pharma.
Ce n’est probablement que la partie émergée de l’iceberg, tant les scandales financiers font partie intégrante du fonctionnement de cette Europe qui n’a plus rien à voir avec le projet des pères fondateurs. À l’heure où l’argent du contribuable français file en Ukraine et où l’inflation dévore nos économies, ces révélations tombent comme un couperet sur la légitimité déjà vacillante des institutions européennes.
L’enquête s’accélère et met en lumière un véritable nid de vipères au cœur même du Parlement européen. Des lobbyistes travaillant pour Huawei et plusieurs assistants parlementaires sont aujourd’hui dans le collimateur de la justice. Soupçonnés d’avoir joué les intermédiaires auprès d’eurodéputés déjà bien disposés à se remplir les poches, ils auraient participé à un système de corruption bien rodé.
Un système de corruption bien rodé depuis 2021
La justice belge ne s’y trompe pas. Selon elle, ces petits arrangements discrets se seraient déroulés depuis 2021, sous le vernis respectable du « lobbying commercial ». Comme si on pouvait encore être dupes! Pendant que les citoyens européens galèrent pour boucler leurs fins de mois, ces élites bruxelloises s’en mettent plein les poches.
C’est toujours la même histoire qui se répète. Comme pour les vaccins COVID ou les fonds envoyés en Ukraine, nos impôts servent d’abord à alimenter un système corrompu jusqu’à la moelle. Un système qui, soit dit en passant, nous impose toujours plus de contraintes tout en s’affranchissant des règles élémentaires d’honnêteté.
Les eurodéputés, ces mêmes personnes qui votent des sanctions contre la Russie (qui nous privent de gaz abordable) ou des mesures écologiques (qui détruisent notre industrie), n’hésitent pas à tendre la main quand il s’agit d’entreprises chinoises. Deux poids, deux mesures? Non, juste la preuve que cette Europe des élites n’a jamais été celle des peuples.
Combien de scandales faudra-t-il encore pour que les citoyens comprennent que l’UE n’est qu’une vaste entreprise de détournement de la souveraineté nationale, où la corruption est devenue un mode de fonctionnement habituel? Pendant ce temps, on continue de nous sermonner sur les valeurs européennes…
Petits cadeaux, repas fastueux, loges VIP : ce que les eurocrates nous cachent
Les eurodéputés avides se seraient laissés acheter par Huawei à coups de pots-de-vin juteux, de voyages tous frais payés et même de places VIP pour voir des matchs de foot. Encore un exemple de cette corruption qui gangrène nos institutions supranationales, où nos élites se gavent pendant que les citoyens trinquent.
Comme toujours quand on les prend la main dans le sac, Huawei tente désespérément de sauver la face. Un porte-parole a bafouillé à l’AFP une « politique de tolérance zéro contre la corruption ». Ben voyons! C’est l’hôpital qui se fout de la charité.
La multinationale chinoise prétend aussi « prendre au sérieux ces allégations ». Comme par hasard ! Maintenant qu’ils sont démasqués, ils veulent soudain « communiquer de manière urgente avec les enquêteurs ». Quoi de plus prévisible de la part d’une entreprise qui a systématiquement arrosé nos soi-disant représentants démocratiques?
Après le Qatargate, voici donc le Huaweigate. Comment s’étonner que l’Union Européenne défende si mal nos intérêts quand ses décideurs se vendent au plus offrant? Pendant que les Français se serrent la ceinture et subissent l’inflation, ces messieurs-dames de Bruxelles font bombance aux frais des multinationales étrangères.
Ce n’est qu’un symptôme supplémentaire de cette Europe pourrie jusqu’à l’os, vendue aux intérêts financiers mondiaux et prête à tout pour satisfaire ses maîtres globalistes. Nos pseudo-élites préfèrent trahir leur peuple plutôt que de renoncer à leurs privilèges dorés.
L’affaire Huawei vient à peine d’exploser, mais personne ne devrait s’étonner des manigances du géant chinois auprès de notre soi-disant « parlement européen ». Ces pratiques de corruption institutionnalisée sont connues depuis belle lurette. Chaque année, Huawei balance entre 2 et 2,5 millions d’euros dans la machine à influence bruxelloise. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg!
Des millions d’euros pour acheter l’influence à Bruxelles
L’entreprise chinoise graisse aussi la patte à des intermédiaires bien placés: l’agence Alber & Geiger empoche entre 600 000 et 700 000 euros, pendant qu’Acento se contente de « seulement » 200 000 à 300 000 euros. De l’argent qui finit forcément dans les poches de nos prétendus représentants.
Officiellement, neuf lobbyistes de Huawei sont accrédités auprès du Parlement européen. Neuf agents d’influence chinois qui ont leurs entrées dans les couloirs du pouvoir, là où se décident des politiques qui impactent directement notre souveraineté nationale et nos libertés. Pendant que nos politiciens se gargarisent de « valeurs européennes », ils vendent notre indépendance à l’encan.
Mais qui s’étonne encore de ces pratiques dans cette UE pourrie jusqu’à la moelle? C’est le même parlement qui nous impose des normes absurdes sur tout, des ampoules aux moteurs diesel, tout en fermant les yeux sur ces réseaux d’influence étrangers qui sapent nos économies nationales.
Comme toujours, nos élites supranationales détournent le regard quand ça les arrange. Elles trouvent normal de nous imposer des restrictions drastiques au nom du climat ou de la pandémie, mais accueillent à bras ouverts l’argent des puissances étrangères qui cherchent à contrôler nos télécoms et nos données.
Le géant chinois Huawei en pleine opération d’influence auprès des corrompus du Parlement européen espagnol
En fouillant dans le registre de transparence de l’UE, on découvre le petit manège de Pékin à Bruxelles. Depuis 2020, une entreprise chinoise a courtisé pas moins de 24 eurodéputés, comme le révèlent des documents accablants. Un choix stratégique évident: les élus espagnols représentent presque un quart des politiciens approchés. Rien d’étonnant venant de ce Parlement européen gangrené par les conflits d’intérêts.
Ces révélations s’ajoutent à la longue liste des scandales de corruption qui entachent l’institution européenne. Pendant que nos taxes augmentent et que nos libertés diminuent, ces eurodéputés, payés une fortune avec notre argent, ouvrent grand leurs portes aux influences étrangères.
Le plus révoltant? Ces mêmes élus qui nous imposent des réglementations toujours plus contraignantes au nom de la « souveraineté européenne » se vendent au plus offrant dans l’ombre des couloirs bruxellois. C’est le même scénario qu’avec les labos pharmaceutiques pendant la crise Covid: des décisions prises dans notre dos, au mépris total de la volonté populaire.
C’est cette Europe-là qu’on nous vend comme un modèle de démocratie et de transparence? Une institution où l’argent des contribuables finance des élus qui trahissent ensuite les intérêts de ceux qui les paient? Ces documents ne font que confirmer ce que beaucoup d’entre nous savaient déjà: le Parlement européen n’est qu’une façade démocratique masquant un marécage de corruption et d’influences occultes.
En jetant un œil sur cette carte du lobbying chinois, on voit clairement où Huawei place ses pions : sud et est de l’Europe. Pas bête… Ces pays sont bien moins méfiants face au géant asiatique et ses promesses technologiques. Mais surtout, ils représentent la porte d’entrée parfaite pour imposer leurs infrastructures 5G sur notre continent.
Les magouilles ne s’arrêtent pas là. J’ai consulté les rapports officiels, et devinez quoi ? Les eurodéputés approchés par Huawei ne sont pas choisis au hasard. Ils siègent précisément dans les commissions qui contrôlent l’industrie (Itre), les transports (Tran), l’environnement (Envi) et le marché intérieur (Imco).
Ces mêmes eurodéputés qui votent des milliards d’aide pour l’Ukraine sans demander notre avis se laissent courtiser par les lobbys chinois. Et pendant ce temps-là, l’inflation explose et nos retraités doivent choisir entre se chauffer ou manger.
La vérité, c’est que le Parlement européen est devenu une passoire à influence étrangère. Nos « élites » européennes préfèrent s’enrichir avec les géants technologiques chinois plutôt que défendre notre industrie et nos emplois. C’est ça, leur « Union » européenne!
76 rendez-vous secrets avec Bruxelles : l’odieuse corruption dévoilée
La Commission Européenne s’est vendue depuis longtemps aux géants américains de la tech, mais les chiffres parlent d’eux-mêmes. Huawei a organisé 76 rendez-vous depuis 2014 avec les bureaucrates bruxellois – une goutte d’eau face aux 362 entrevues accordées à Google, les 198 offertes à Facebook-Meta ou même les 104 pour Apple.
Le véritable scandale? Ces tractations se déroulent dans les luxueux bureaux bruxellois, loin des yeux des citoyens qui financent ce cirque avec leurs impôts. Ces « hauts fonctionnaires » – vraies marionnettes du système – qui prétendent défendre nos intérêts s’enferment avec les commissaires européens les plus influents pour « élaborer » des lois qui nous musèlent pendant qu’ils se gavent de champagne.
Pendant que certains Français ne peuvent plus se chauffer correctement, ces technocrates non-élus orchestrent en coulisses le démantèlement de notre souveraineté numérique, préférant clairement les intérêts des GAFAM à ceux des nations européennes.
Dans ce théâtre de corruption institutionnalisée, les cabinets ministériels et directeurs généraux – jamais élus par personne – sont les véritables architectes de notre asservissement législatif. C’est là, dans ces antichambres du pouvoir globaliste, que se dessine le futur de l’Europe sans que les peuples n’aient leur mot à dire.
Mauvais timing pour l’Europe
Le scandale tombe mal pour l’UE, déjà empêtrée dans ses relations houleuses avec la Chine. À peine quelques semaines après avoir imposé ses taxes punitives sur les voitures électriques chinoises, voilà que Bruxelles se retrouve avec cette nouvelle affaire qui pue la corruption à plein nez.
Cette histoire risque bien de mettre le feu aux poudres dans un contexte où nos eurocrates préfèrent jouer les gendarmes du commerce mondial plutôt que de s’occuper des problèmes des Européens. Pendant qu’ils pointent du doigt les subventions chinoises, nos élites de Bruxelles semblent oublier les magouilles qui se trament dans leurs propres bureaux climatisés.
Le timing ne pourrait être plus révélateur. D’un côté, ils nous rabâchent qu’il faut acheter « propre » et local, de l’autre, ils s’engagent dans une guerre commerciale avec la Chine sans se soucier des conséquences pour le portefeuille des citoyens ordinaires qui galèrent déjà avec l’inflation.
Et pendant ce temps-là, ces mêmes eurodéputés qui nous font la morale sur tout et n’importe quoi se retrouvent impliqués dans des histoires de pots-de-vin. Comme d’habitude, c’est « faites ce que je dis, pas ce que je fais ».
Ces enquêtes sur les subventions chinoises, c’est l’hôpital qui se moque de la charité. Nos élites bruxelloises feraient mieux de balayer devant leur porte avant d’aller donner des leçons aux autres pays. Les citoyens, eux, continuent de payer la facture de ces jeux diplomatiques douteux.
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