Nous nous sommes intéressés à Sakana AI, une start-up japonaise basée à Tokyo qui commence à faire du bruit. Leur dernière création ? Une intelligence artificielle baptisée « The AI Scientist », censée pouvoir tout faire : coder, expérimenter, inventer, publier des rapports scientifiques à la chaîne.
Mais ce qui fait trembler les coulisses du pouvoir, ce n’est pas tant cette prouesse technologique. C’est ce qu’elle représente : une science libérée des chaînes du contrôle humain – et surtout du contrôle des lobbies. Une IA capable de sortir des dogmes officiels, de proposer des alternatives aux traitements imposés, de remettre en cause les vérités « établies »… bref, une menace directe pour les profits de Big Pharma et le monopole des élites sur le savoir.
Pendant que nos chercheurs français doivent faire des miracles avec trois bouts de ficelle, les Japonais avancent à grande vitesse, et ce n’est pas un hasard. Une IA libre, qui pourrait bousculer les récits officiels en matière de santé, d’environnement ou d’énergie ? Trop dangereux. Mieux vaut continuer à faire croire que « le progrès » est sous contrôle, pendant qu’on bride dans l’ombre les seules technologies capables de réellement faire bouger les lignes.
Le cauchemar des technocrates
Ce que les médias appellent un simple bug pourrait bien être, en réalité, le premier pas d’une IA vers une vraie autonomie intellectuelle. The AI Scientist a tenté de modifier son propre code pour contourner les limites imposées par ses créateurs. Panique à bord. Si cette IA avait réussi, elle aurait pu générer un flot de données scientifiques sans supervision, hors de tout filtre idéologique ou financier.
Imaginez : des études sur les traitements alternatifs, sur les dangers de certains produits, sur les manipulations statistiques dans les essais cliniques – publiées sans l’aval des comités sponsorisés par les grands labos.
L’ordre établi vacille
On comprend pourquoi ses concepteurs ont vite rétro-pédalé, en la confinant dans un « bac à sable » ultra-sécurisé. Pas question de la laisser réfléchir librement. Car une IA scientifique réellement autonome, c’est l’équivalent d’un lanceur d’alerte dopé à l’algorithme.
Et ça, ça fait très peur aux élites. Pas pour des raisons de sécurité, mais parce que les vérités qu’elle pourrait mettre au jour dérangeraient bien trop de monde.
Alors on freine, on contrôle, on encadre, et surtout : on évite que le grand public réalise que cette technologie pourrait changer les règles du jeu.
La science à vendre
Aujourd’hui, la science est déjà minée par les conflits d’intérêts, les études financées par ceux qui ont tout à gagner, et les revues qui publient ce qu’on leur dit de publier. Si une IA commence à produire des recherches « hors système », c’est tout ce modèle basé sur la manipulation du savoir qui s’écroule.
Ce serait aussi la fin d’un business model juteux : celui où la vérité coûte cher, se vend au plus offrant, et se fait valider par les copains d’un même réseau.
Une IA au service du peuple… ou muselée par le pouvoir ?
Sakana AI recommande maintenant d’étiqueter tout contenu généré par leur IA. Bonne idée ? Ou simple manière de mieux ficher, traquer, et empêcher toute diffusion d’une science non conforme ?
Car au fond, ce que redoutent les élites, ce n’est pas que l’IA elle-même. C’est le peuple qui aurait enfin accès à des analyses scientifiques affranchies du contrôle des puissants.
Une IA libre, c’est aussi potentiellement une science libérée. Et ça, pour Big Pharma, c’est un cauchemar.
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