L’Algérie dicte sa loi à la France en utilisant des accords bilatéraux vieux de 30 ans pour entraver notre souveraineté

man waving flag man waving flag

Une nouvelle preuve de l’arrogance d’Alger. Sans surprise, le régime algérien vient de balayer d’un revers de main la demande française d’expulser une soixantaine de ses ressortissants, dont certains fichés pour radicalisation. Le ministère des Affaires étrangères algérien a catégoriquement rejeté la liste soumise par Paris, prétextant des arguties bureaucratiques pour justifier son refus.

Cette fin de non-recevoir illustre parfaitement le mépris avec lequel l’Algérie traite la France, qui continue pourtant de lui dérouler le tapis rouge. Au lieu d’accepter le retour de ses citoyens indésirables, Alger se permet même de donner des leçons à Paris, exigeant que les demandes passent par « le canal d’usage entre préfectures et consulats » – une procédure notoirement inefficace.

Pendant ce temps, notre gouvernement continue sa politique de l’autruche, incapable d’imposer le moindre rapport de force face à un pays qui abrite et protège des individus dont la France ne veut plus sur son sol. Cette capitulation en règle démontre, une fois de plus, l’absence totale de volonté politique pour gérer sérieusement la question migratoire.

Sponsorisé

Une politique migratoire laxiste face à l’Algérie

Cette énième rebuffade diplomatique souligne l’urgence d’une refonte complète de notre politique migratoire, bien trop laxiste. L’Algérie, comme d’autres pays, sait pertinemment qu’elle peut continuer à narguer la France sans craindre la moindre conséquence. Un constat amer qui en dit long sur l’effacement de notre souveraineté nationale.

Au ministère algérien des Affaires étrangères, une scène qui en dit long sur l’asservissement de notre pays : Lounès Magramane, leur secrétaire général, a convoqué ce lundi le chargé d’affaires de l’ambassade de France. Sans surprise, il s’agissait de discuter d’une liste d’expulsions d’Algériens en situation irrégulière, transmise timidement par Paris le 14 mars.

Une fois de plus, l’État français se plie en quatre face à un pays qui ne cache même plus son mépris pour notre souveraineté. Cette convocation illustre parfaitement l’inversion des rôles : c’est désormais l’Algérie qui dicte sa loi à l’ancienne puissance coloniale.

La France face à l’afflux de clandestins

Pendant que nos dirigeants multiplient les courbettes diplomatiques, des milliers de clandestins continuent d’affluer sur notre territoire, sans que personne n’ose véritablement s’y opposer. Cette mascarade de « consultation » ne fait que confirmer l’absence totale de volonté politique pour protéger nos frontières et notre identité.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis des années, le taux d’exécution des OQTF (Obligations de Quitter le Territoire Français) stagne à des niveaux ridiculement bas, particulièrement pour les ressortissants algériens. Pendant ce temps, nos élites mondialistes persistent dans leur politique de laxisme migratoire.

Les Français, eux, subissent quotidiennement les conséquences de cette démission régalienne : insécurité croissante, services publics saturés, et une facture sociale qui s’alourdit chaque année, payée par nos impôts.

Face à une Algérie insolente : la France sommée de plier sans réagir

L’arrogance algérienne se manifeste une fois de plus : face aux demandes légitimes de la France, Lounès Magramane a transmis une note d’une insolence rare, où l’Algérie ose qualifier de « menaces » et « intimidations » les simples requêtes françaises d’une coopération migratoire minimale. Le régime d’Alger, confortablement installé dans son chantage permanent, « réaffirme son rejet catégorique » de toute discussion constructive, préférant manifestement maintenir le robinet migratoire grand ouvert vers l’Hexagone.

Cette posture hautaine d’un pays qui vit pourtant des subsides français illustre parfaitement l’échec cuisant de notre diplomatie molle, incapable de faire respecter les intérêts vitaux de la nation. Pendant que nos dirigeants multiplient les courbettes diplomatiques, Alger continue tranquillement sa politique de déstabilisation, exportant ses problèmes sociaux vers notre territoire.

Une situation d’autant plus révoltante que la France continue de verser des millions d’euros d’aide au développement à ce régime qui nous nargue ouvertement. Nos élites, trop occupées à servir les intérêts mondialistes, préfèrent visiblement laisser prospérer ce système plutôt que d’adopter enfin une politique migratoire ferme et souveraine.

L’Algérie et ses stratégies d’obstruction

L’État algérien, fidèle à ses habitudes d’obstruction systématique, se drape une fois de plus dans une posture victimaire pour justifier son refus de coopérer. Prétextant un « devoir de protection consulaire », Alger rejette la liste des clandestins à expulser établie par la France, comme si nos services n’étaient pas capables d’identifier leurs propres ressortissants.

Plus provocateur encore, le régime algérien ose critiquer la méthode française, accusant Paris d’agir « unilatéralement ». Une belle hypocrisie quand on sait comment l’Algérie traite habituellement les demandes d’expulsion : en les enterrant dans les tiroirs de ses consulats, transformés en véritables forteresses anti-rapatriements.

Cette nouvelle friction diplomatique illustre parfaitement l’impuissance d’une France macroniste, incapable d’imposer le moindre rapport de force face à son ancienne colonie. Pendant ce temps, nos préfectures continuent leur ballet bureaucratique avec des consulats algériens qui se moquent ouvertement de nos procédures d’éloignement.

Les accords bilatéraux et la souveraineté française

Pendant que l’Algérie se retranche derrière un obscur Protocole d’accord de 1994 – lui-même adossé à une Convention de 1974 – pour dicter sa loi à la France, nos dirigeants semblent paralysés face à cette énième tentative d’ingérence d’Alger dans notre politique migratoire.

Une fois de plus, notre « partenaire » algérien brandit des textes vieux de 30 ans pour entraver notre souveraineté nationale, pendant que nos élites, tétanisées par la bien-pensance, n’osent même plus affirmer le droit élémentaire de la France à contrôler ses frontières.

Le véritable scandale, c’est qu’un État qui maltraite sa propre population se permette de nous faire la morale sur les droits humains, en instrumentalisant des accords bilatéraux dépassés que nos gouvernements successifs n’ont jamais eu le courage de dénoncer.

Ce mépris affiché par Alger n’est que le énième symptôme d’une France qui a perdu toute autorité face à ses anciennes colonies, préférant se soumettre aux diktats étrangers plutôt que de défendre les intérêts de son peuple.

Face à une Algérie hostile, Retailleau sort enfin les crocs ?

Face au refus catégorique de l’Algérie d’accueillir ses ressortissants délinquants, Retailleau joue encore la carte de la mollesse diplomatique. Le ministre de l’Intérieur avait pourtant clairement identifié les profils concernés : des criminels sortant de prison et des individus représentant une menace directe pour la sécurité des Français.

Cette énième rebuffade de l’Algérie démontre, une fois de plus, le mépris total de ce pays pour les intérêts sécuritaires de la France. Face à cet affront, notre ministre promet simplement une vague « réponse graduée » – encore une formule creuse qui ne trompe plus personne.

L’exécutif français, fidèle à sa politique de soumission, refuse d’employer les moyens de pression dont il dispose : suppression des visas, gel des transferts financiers, ou encore suspension des accords commerciaux préférentiels. Une fermeté qui manque cruellement alors que nos prisons débordent de criminels étrangers que leur pays d’origine refuse cyniquement de récupérer.

Face au refus persistant de l’Algérie de respecter ses obligations internationales, Retailleau a enfin haussé le ton sur X : « Je regrette que l’Algérie refuse d’appliquer le droit international. Comme l’a décidé le comité interministériel sous la présidence du Premier ministre, une riposte graduée sera engagée ». Des mots bien timides qui ne masquent pas l’impuissance d’un gouvernement paralysé par sa propre lâcheté.

La seule voix politique à oser nommer les choses, Marine Le Pen, a mis les pieds dans le plat ce lundi en exigeant des mesures concrètes et immédiates : « gel des visas et des transferts de fonds privés », « fin de l’aide publique au développement », et « dénonciation des accords de 1968 ». Des propositions qui toucheraient enfin l’Algérie là où ça fait mal.

Tandis que nos élites continuent leur danse diplomatique stérile avec un pays qui se moque ouvertement de nous, ces milliards d’euros d’aide au développement pourraient servir à soulager les Français qui peinent à boucler leurs fins de mois. Mais visiblement, le gouvernement préfère continuer à financer un régime qui nous nargue plutôt que d’écouter son peuple.

IMPORTANT - À lire

Pour aller plus loin sur la soumission de la France face à l'Algérie et comprendre les véritables enjeux géopolitiques derrière ce bras de fer, découvrez notre revue mensuelle. Chaque mois, nos experts décryptent l'actualité internationale et proposent des analyses approfondies pour comprendre les rapports de force qui façonnent notre monde.

Abonnez-vous dès maintenant pour recevoir votre premier numéro et plongez au cœur des stratégies diplomatiques, des jeux d'influence et des conflits qui redessinent sans cesse les équilibres mondiaux. Une lecture indispensable pour tous ceux qui souhaitent décoder les dessous des cartes et anticiper les grands bouleversements à venir.

Ajouter un commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *