Linky : l’arnaque à grande échelle ?

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Près de 37,2 millions de compteurs Linky installés, mais 2 millions de foyers résistent encore. Découvrez pourquoi.
  • Refuser Linky coûte cher : sanctions financières jusqu’à 10,20€ tous les deux mois. Les résistants seront-ils bientôt contraints de céder ?
  • La Cour de cassation impose Linky : plus de choix pour les usagers. Une directive européenne derrière cette obligation.
  • Les coûts cachés des anciens compteurs : un racket déguisé ? Les Français doivent-ils accepter cette surveillance généralisée ?

Malgré le déploiement massif des compteurs Linky, quelques irréductibles Français continuent de tenir tête à l’installation de ces « mouchards électriques » qu’Enedis impose à nos foyers. Selon les chiffres officiels du gestionnaire de réseau, 37,2 millions d’appareils ont déjà été posés, couvrant 95 % des habitations du territoire.

Deux millions de résistants

Environ deux millions de foyers, d’après 60 millions de consommateurs, refusent encore de se plier à l’injonction en conservant leurs bons vieux compteurs électriques.
Pas étonnant que certains s’opposent à ce dispositif controversé, capable de collecter nos données de consommation en temps réel.
Mais jusqu’à quand pourront-ils résister à cette nouvelle intrusion technologique déguisée en « modernisation indispensable » ?

La liberté de choisir comment on consomme son électricité et qui a accès à ces informations est encore possible… mais pour combien de temps ?
Les autorités trouveront-elles bientôt un nouveau moyen de forcer la main aux derniers réfractaires ?

Sponsorisé

Une surveillance généralisée

En attendant, ces deux millions de foyers préservent un peu de leur indépendance face à un déploiement qui ressemble fort à une surveillance généralisée de nos habitudes domestiques.
Depuis le 1er janvier 2023 et jusqu’à août 2025, les Français qui refusent le compteur Linky bénéficient d’une tolérance temporaire.

La condition ? Transmettre soi-même ses relevés de consommation au moins une fois par an.
Mais attention : cette « générosité » administrative a ses limites.
Ceux qui n’envoient pas leurs auto-relevés se voient sanctionnés financièrement.

La punition est claire : une facture supplémentaire de 10,20 euros (hors taxes) tous les deux mois – une somme qui finit par peser lourd sur le budget des ménages, déjà étranglés par l’inflation.

Les conséquences financières : un levier de coercition

Cette mesure, présentée comme transitoire, soulève des questions :
Que deviendront les opposants après 2025 ?
Seront-ils contraints de céder ou de continuer à payer toujours plus ?

L’État semble avoir trouvé une méthode bien rodée : forcer les citoyens à accepter ses décisions par l’usure financière.
Dès le 1er août, les réfractaires au compteur Linky devront faire face à de nouvelles sanctions financières.

La décision de la Cour de cassation : un coup de massue

La Cour de cassation a récemment tranché en faveur d’Enedis contre deux usagères opposées au compteur.
« Les usagers ne pouvaient s’opposer à l’installation d’un compteur Linky sur leur propriété, procédant de l’exercice, par la société Enedis, de ses prérogatives de gestionnaire d’un réseau public d’électricité rendues impératives pour les usagers par la loi et les termes du contrat réglementé », martèle l’arrêt rendu début avril.

Encore une fois, le citoyen n’a pas son mot à dire.
Cette imposition trouve sa justification dans une directive européenne de 2009 obligeant les États membres à déployer ces systèmes de comptage soi-disant « intelligents ».

Faillite entreprise crise facture impayé pouvoir achat à la baisse

Une souveraineté balayée par Bruxelles

Combien de temps encore allons-nous accepter que notre quotidien soit dicté par des directives que personne n’a votées ?
Entre les hausses de tarifs et l’obligation d’accepter ces compteurs controversés, le porte-monnaie et la liberté des Français sont mis à rude épreuve.

Les coûts cachés des compteurs anciens : un racket déguisé

Refuser un compteur Linky vous coûtera bientôt 6,48 euros supplémentaires tous les deux mois.
C’est ce que révèle une délibération de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) datant de mars dernier.

Cette nouvelle taxe déguisée est justifiée par de prétendus « coûts spécifiques » liés au maintien des anciens compteurs.
Comme si notre refus légitime d’être surveillés jusque dans notre consommation électrique méritait punition !

Les pénalités pour les relevés de compteur : le coup de grâce

Enedis impose désormais des « frais de relevé supplémentaires » de 4,14 euros tous les deux mois à ceux qui ne transmettent pas leurs index de consommation.
Un véritable racket légalisé !

Pendant ce temps, la multinationale engrange des bénéfices considérables sur le dos des Français.
On nous force la main, toujours plus, d’abord par des arguments écologiques, puis par la pression financière.

Conclusion : vers une soumission totale ?

Les Français qui résistent deviennent des vaches à lait.
Après les taxes sur l’essence, l’électricité et le gaz qui explosent, on sanctionne ceux qui veulent simplement conserver leur ancien compteur.

Encore une façon de renflouer les caisses sur le dos des Français, tout en réduisant leur liberté de choix.

Jusqu’à quand accepterons-nous ce chantage financier ?

IMPORTANT - À lire

Vous êtes exaspéré par ces compteurs Linky imposés et les sanctions financières qui pèsent sur ceux qui les refusent ? Notre revue papier approfondit chaque mois les enjeux cachés derrière ces décisions controversées et leurs conséquences sur notre liberté.

Plongez au cœur de l'actualité avec des analyses pointues sur les sujets brûlants qui façonnent notre quotidien. Abonnez-vous dès maintenant à notre revue papier pour comprendre les dessous des cartes et reprendre le contrôle sur votre vie.


Participez au débat, et partagez votre opinion !

Faites avancer la discussion en donnant votre avis à la communauté.