🔥 Les essentiels de cette actualité
- L’OID révèle un coût de 3,4% du PIB dû à l’immigration, pulvérisant le mythe d’une potion magique pour la France.
- Ces milliards pourraient booster le pouvoir d’achat et les services publics, mais financent un système qui ne profite pas aux Français.
- L’immigration ne finance que 86% de ses coûts, le reste est à la charge des contribuables, aggravant les difficultés économiques.
- Les élites vendent l’immigration comme remède miracle, mais c’est un pansement sur une jambe de bois qui sacrifie notre avenir.
Une étude choc de l’Observatoire de l’identité et de la démographie (OID) pulvérise le mythe de l’immigration comme potion magique pour la France.
Alors que le think tank progressiste Terra Nova nous serine qu’accueillir des centaines de milliers de migrants sauverait nos retraites et notre modèle social, les chiffres de l’OID claquent comme une gifle : l’immigration massive plombe notre PIB de 3,4 %.
Un uppercut au dogme migratoire des technocrates.
Une facture salée pour les Français
L’OID sort la calculette : 3,4 % du PIB, c’est une facture colossale que les Français paient pour entretenir un mirage.
Ces milliards pourraient doper le pouvoir d’achat, ressusciter nos territoires abandonnés ou sauver nos services publics à l’agonie.
Mais non, ils financent un système qui profite à qui, au juste ? Sûrement pas à ceux qui galèrent à boucler leurs fins de mois.
Nicolas Pouvreau-Monti, patron de l’OID, a osé poser la question taboue : que serait la France sans ce flux incessant ? Sa réponse est sans appel :
« La réalité actuelle de l’immigration n’est pas l’origine des difficultés structurelles de notre économie, mais elle les aggrave toutes. »
Sans immigration massive, les Français occuperaient les « métiers en tension » qu’on nous dit impossibles à pourvoir.
Résultat ? Une économie boostée de 3,4 % et des recettes fiscales gonflées d’1,5 point de PIB.
Le mensonge de la « richesse » migratoire
On nous bassine depuis des lustres : « L’immigration, c’est une richesse ! » Vraiment ?
Les données de l’OID sont implacables : l’immigration ne finance que 86 % de ce qu’elle coûte à l’État. Le reste ? Ce sont les contribuables qui en supportent la charge, sans avoir été consultés.
Les prestations sociales explosent, les services publics craquent, et notre système social s’asphyxie sous le poids d’un dogme intouchable.
Et l’emploi, ce prétendu bénéfice de l’immigration ? Les chiffres de 2023 sont cruels : seulement 62,4 % des immigrés en âge de travailler ont un job, contre 69,5 % des Français de souche.
En Europe, on frôle le bonnet d’âne, juste devant la Belgique (61,4 %). Pourquoi ? Parce que notre immigration est avant tout familiale, pas économique.
Près d’un tiers des immigrés de 30 à 40 ans n’ont aucun diplôme, et beaucoup finissent dans des jobs précaires – BTP, restauration, gardiennage – que les Français boudent faute de salaires décents.
Le pansement de l’immigration, cache-misère des élites
Les élites nous vendent l’immigration comme un remède miracle, mais c’est un pansement sur une jambe de bois.
Comme le flingue Nicolas Pouvreau-Monti :
« Encourager l’immigration pour éviter la pénurie dans certains secteurs en tension revient à sacrifier la croissance de nos secteurs stratégiques au profit de quelques intérêts corporatistes seulement. »
En clair, on brade notre avenir pour engraisser des patrons qui tirent les salaires vers le bas et des lobbies qui prospèrent sur ce dumping social.
Qui perd ? Les Français, coincés entre chômage, précarité et services publics en ruine.
Un scandale qui doit cesser
Le scandale, c’est que nos technocrates refusent d’affronter le vrai problème : le manque criant de formation et de valorisation des métiers essentiels.
Plutôt que de former nos chômeurs ou de rendre attractifs les secteurs en tension, ils optent pour la facilité : ouvrir grand les vannes de l’immigration.
Une stratégie à court terme qui sacrifice nos industries stratégiques et nos jeunes sur l’autel des profits d’une poignée.
IMPORTANT - À lire
Découvrez chaque mois dans notre revue papier des analyses approfondies sur l'immigration et ses conséquences économiques. L'OID a révélé l'impact négatif de l'immigration massive sur notre PIB, mais ce n'est que la partie émergée de l'iceberg. Nous explorons les dessous de ce phénomène et ses ramifications géopolitiques.
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