🔥 Les essentiels de cette actualité
- Macron promet une « vision » économique mais les Français attendent des actes concrets face à la chute du pouvoir d’achat.
- Le président vante la « place de la France » à l’international, mais dilapide l’argent des contribuables dans des causes lointaines.
- Un référendum en vue ? Une stratégie de diversion pour masquer les vrais problèmes comme l’insécurité et l’immigration.
- Macron s’improvise médiateur dans le conflit ukrainien, compliquant les négociations et coûtant cher aux contribuables.
Ce mardi, Macron s’est une nouvelle fois propulsé sous les projecteurs pour un énième grand oral : deux heures de questions-réponses face aux Français.
Notre président, qui semble préférer les discours aux actes concrets, promet de nous dévoiler sa « vision » économique. Comme si l’on avait besoin de plus de belles paroles après six ans de pouvoir d’achat en chute libre et d’impôts qui nous étranglent.
Entre deux phrases soigneusement préparées par ses conseillers, il ne manque pas de nous vanter la « place de la France » à l’international. Une place qui, apparemment, consiste à s’agenouiller devant Bruxelles et à dilapider l’argent du contribuable dans des causes qui ne nous concernent même pas.
Ce nouveau numéro de communication ressemble aux précédents : beaucoup de promesses, zéro solution concrète pour les Français qui galèrent au quotidien.
Promesses creuses et spectacle médiatique
Macron revient se mettre en scène sur TF1 ce mardi soir, entre promesses creuses et spectacle médiatique. Il nous sert son habituel numéro face à des « personnalités » triées sur le volet, comme Sophie Binet de la CGT ou le musclé Tibo InShape, censés représenter… le peuple ?
Le discours devrait permettre au Président de dissiper les zones d’ombre sur la position française à l’international. Enfin, c’est ce qu’on nous promet. Comme d’habitude, on nous servira probablement un discours bien ficelé pour masquer une politique qui nous coûte toujours plus cher. Mais combien de promesses non tenues faudra-t-il encore avaler ?
Le tout, bien sûr, servi avec ce petit accent présidentiel dont il a le secret, pendant que nos portefeuilles, eux, continuent de s’alléger au rythme d’une inflation galopante. Les Français attendent des actes concrets, pas des beaux discours.
Le référendum : une stratégie de diversion ?
Souhait de longue date du président, ce référendum pourrait bientôt demander l’avis des Français sur des questions brûlantes : la fin de vie, actuellement débattue à l’Assemblée, le gouffre sans fond de notre modèle social ou encore le millefeuille administratif de nos territoires.
L’occasion parfaite pour Macron de faire croire qu’il consulte enfin le peuple, après des années à gouverner d’en haut. Mais combien parmi nous croient encore à ce cirque démocratique orchestré par l’Élysée ?
On se souvient trop bien des précédentes « consultations » qui n’ont jamais empêché le pouvoir de faire exactement ce qu’il voulait. Pendant ce temps, nos retraites fondent comme neige au soleil et nos services publics s’effondrent.
Ce énième coup politique arrivera-t-il à détourner notre attention des vrais problèmes du pays ? Le pouvoir d’achat en chute libre, l’insécurité grandissante, et une immigration que personne n’ose plus questionner.
Si Emmanuel Macron propose finalement un référendum, il est fort à parier qu’il ne le fera jamais sur les trois sujets pour lesquels les Français veulent être consultés.
Les précédents référendums : une leçon de démocratie bafouée
Il y a 19 ans, la France organisait son dernier référendum national. La question ? Approuver ou non le traité constitutionnel européen. Les Français avaient clairement tranché avec un « non » massif à 54 %. Mais qu’importe la volonté populaire ! Les élites politiques ont quand même ratifié ce traité par la suite, se moquant éperdument du choix démocratique.
Cette trahison démocratique reste encore gravée dans les mémoires. Comment s’étonner que les Français aient perdu foi en leurs institutions ? Le message était clair : votez tant que vous voulez, nous ferons ce que bon nous semble.
Le pouvoir n’a même pas eu la décence de respecter ce vote historique. Les technocrates de Bruxelles et leurs complices à Paris ont simplement contourné la décision populaire, démontrant à quel point l’Union Européenne se construit contre les peuples, jamais avec eux.
Ce mépris affiché pour la démocratie explique en partie pourquoi tant de nos compatriotes se détournent aujourd’hui des urnes. À quoi bon voter quand votre voix est ignorée dès qu’elle ne correspond pas aux désirs de ceux qui nous gouvernent ?
Nos caisses pillées : où part vraiment VOTRE argent ?
Depuis cette annonce, tout le monde y va de sa petite théorie. La suppression de l’abattement fiscal des retraités ? Évidemment, ce sont toujours les mêmes qui trinquent ! Le ministre des Finances a beau répéter qu’il n’y aura pas « de nouveaux impôts », personne n’est dupe. On connaît la musique.
Macron devrait bientôt nous livrer les « grandes lignes » de son fameux projet économique. Traduction : préparez-vous à serrer encore la ceinture pendant que l’élite continue de se gaver. Un tour de passe-passe comme il les aime tant, qui ne manquera pas d’être applaudi par ses fidèles.
Et cerise sur le gâteau, François Bayrou attend son tour pour nous expliquer pourquoi c’est pour notre bien. Les mêmes recettes qui appauvrissent la France depuis des années, servies avec un nouveau packaging. Mais combien de temps les Français accepteront-ils encore de se faire plumer ?
Il dit précisément l’inverse mdr.
Macron, médiateur improvisé dans le conflit ukrainien
Le Président temporise sur la rencontre Ukraine-Russie, exigeant d’abord un « cessez-le-feu ». Ce dimanche, Macron a encore joué les médiateurs de salon en insistant pour qu’un cessez-le-feu soit établi avant la rencontre prévue à Istanbul. Une condition qui risque bien de faire capoter les négociations entre Kiev et Moscou.
Alors que Poutine avait proposé et que Zelensky avait accepté de se rencontrer jeudi prochain en Turquie, voilà que notre président s’en mêle avec ses préalables. Comme si nos impôts ne finançaient pas déjà assez ce conflit qui dure depuis trop longtemps !
On peut légitimement se demander pourquoi l’Élysée cherche à compliquer une initiative diplomatique qui pourrait enfin aboutir à quelque chose de concret. Mais bon, quand on a l’habitude de dicter sa loi aux Français, pourquoi s’arrêter aux frontières ?
Guerres : Ukraine, Palestine… quand l’Occident danse sur nos cadavres
Cette diplomatie de façade ne trompe plus personne. Pendant que notre président multiplie les déclarations creuses sur l’Ukraine, l’inflation continue de vider les portefeuilles des Français. J’ai même vu hier le prix du pain augmenter dans ma boulangerie habituelle !
« Discussions directes », « cessez-le-feu de 30 jours »… Ces formules diplomatiques sonnent bien dans les médias mainstream, mais elles masquent une réalité bien différente : Macron, comme ses prédécesseurs, n’a aucune influence réelle sur ce conflit.
Le vrai problème, c’est que cette posture va encore coûter cher aux contribuables français. Car derrière ces appels au dialogue se cachent souvent de nouvelles promesses d’aide financière et militaire. Et devinez qui va payer la facture ?
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