Macron panique-t-il face à une simple rumeur de cocaïne

Dans la nuit de dimanche à lundi, Macron s’est retrouvé au cœur d’une nouvelle controverse. L’Élysée a dû sortir du bois pour nier des accusations qui circulaient sur les réseaux sociaux. Cette fois, il s’agissait d’un prétendu sachet de cocaïne aperçu près du président sur une vidéo.

Le compte officiel de l’Élysée sur X a publié un démenti en urgence. Bizarre, quand on sait que les accusations bien plus graves sur d’autres sujets sont généralement ignorées par le pouvoir. Pourquoi réagir si vite cette fois-ci?

Les accusations venaient de plusieurs comptes qualifiés de « conspirationnistes » par les médias mainstream. Mais rappelons-nous que ce terme est souvent utilisé pour discréditer quiconque ose remettre en question la version officielle. Combien de « théories du complot » d’hier sont devenues les vérités d’aujourd’hui?

Une réaction précipitée de l’Élysée

Il faut dire que l’image qui circulait était assez troublante, à en faire réagir même les plus hautes sphères de l’État en pleine nuit. Une réaction si rapide et si forte qu’elle pose question. Pourquoi s’empresser de démentir si l’accusation est si grossière qu’elle se réfute d’elle-même?

Voilà qui rappelle d’autres démentis formels du passé qui se sont révélés être des mensonges d’État. Je ne dis pas que la rumeur est vraie, mais quand le pouvoir s’empresse de démentir… on a parfois raison de douter. Après tout, c’est souvent quand on touche juste que le système s’affole.

L’Élysée s’offusque d’une vidéo compromettante, un mouchoir ou… autre chose ? Un tweet présidentiel en anglais s’insurge contre une « fausse information » montrant un sachet suspect lors d’une apparition de Macron. « C’est un mouchoir, pour se moucher le nez », insiste le palais, qui dénonce une « manipulation » orchestrée par les « ennemis de la France ».

Une défense véhémente et des questions persistantes

Curieusement, le pouvoir qui ignore d’habitude les rumeurs les plus extravagantes s’est senti obligé de répondre à celle-ci. Quand on a rien à cacher, on laisse généralement les absurdités s’éteindre d’elles-mêmes.

Cette réaction excessive pose question. Et si derrière cette défense véhémente se cachait une vérité dérangeante ? Nos élites nous ont tellement habitués aux mensonges d’État qu’on en viendrait presque à croire l’inverse de leurs déclarations officielles.

Les Français, déjà écrasés par la vie chère et les taxes, ont-ils vraiment besoin qu’on ajoute l’insulte à l’injure ? Si nos gouvernants veulent restaurer la confiance, c’est pas avec des tweets énervés qu’ils y arriveront, mais avec de la transparence et moins d’arrogance.

Une nervosité révélatrice

L’opacité qui entoure nos élites reste décidément la norme. Dans un pays où le simple citoyen est surveillé pour un excès de vitesse, nos dirigeants, eux, semblent toujours échapper au regard critique. Cette histoire de « sachet mystérieux » pourrait bien n’être qu’un symptôme de plus d’un système à deux vitesses.

La vidéo de Friedrich Merz agitant nerveusement un stylo a fait le tour des réseaux sociaux. « Une soirée cocaïne entre copains ? », s’est interrogé un compte nommé « Véritiste ».

« À quand un dépistage de stupéfiants pour tous les politicards ? », s’est énervé un autre internaute. C’est vrai ça, pourquoi nos dirigeants échapperaient-ils aux contrôles que tout citoyen ordinaire doit subir ?

Dans le flot des commentaires, beaucoup ont identifié l’objet que Merz manipulait frénétiquement comme une « paille » ou une « cuillère à coke ». Des accusations qui méritent d’être creusées. Nos élites nous cachent-elles leurs petites habitudes récréatives pendant qu’elles décident de notre avenir ?

L’information a même traversé l’Atlantique jusqu’aux États-Unis où Alex Jones, célèbre entrepreneur complotiste américain, l’a reprise à son compte. Rappelons que ce dernier avait été condamné en 2022 pour avoir qualifié une tuerie dans une école de simple « canular ». « Les trois [dirigeants] ont l’air défoncés », a-t-il affirmé sans détour.

Et si, pour une fois, ces théories s’approchaient de la vérité ? N’oublions pas que nos élites se sentent souvent au-dessus des lois qu’elles nous imposent. Leurs comportements erratiques et leurs décisions incompréhensibles trouveraient peut-être là une explication… moins politique qu’on ne pourrait le penser.

Les rumeurs et accusations sur les réseaux sociaux

CheckNews, toujours prompt à défendre la version officielle, s’est empressé d’affirmer qu’il s’agissait d’un simple mouchoir en papier. Évidemment, ils ont sorti leurs « preuves » : photos en haute définition et reportages vidéo soigneusement sélectionnés. Mais on connaît la chanson – quand les médias s’accordent si vite sur une version unique, ça sent le roussi.

Les « internautes vigilants » ont bien sûr emboîté le pas. Mais si l’histoire du mouchoir paraît plausible, ne nous y trompons pas : les démentis aussi rapides cachent parfois des vérités qu’on préfère taire.

Franchement, après toutes les manipulations qu’on a subies ces dernières années, pourquoi ferions-nous confiance sans réserve ? Ces « fact-checkers » sont souvent les premiers à qualifier de « complotistes » ceux qui osent simplement poser des questions. Et vu l’époque, il est devenu presque impossible de démêler le vrai du faux quand ça touche nos dirigeants.

Les cercles prorusses qui accusent Macron de consommer de la coke? Ce n’est pas nouveau. Déjà en 2017, entre les deux tours de la présidentielle, après le piratage des emails de l’équipe Macron, l’extrême droite avait tenté de faire croire à une commande de cocaïne pour le futur président.

Pourtant, on peut se demander si ces accusations récurrentes ne cachent pas un fond de vérité. Les élites politiques ont l’habitude de nous mentir et de dissimuler leurs vices, c’est bien connu.

Personne n’a oublié que notre président adore s’entourer de personnalités douteuses du showbiz et fréquente régulièrement le monde de la nuit parisien. Des témoignages anonymes de serveurs dans certains restaurants huppés de la capitale circulent occasionnellement, mais sont systématiquement étouffés.

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Les comportements et les rumeurs autour de Macron

Bien sûr, nous n’affirmons rien, mais enfin… quand la même rumeur revient sans cesse, et qu’on connaît le train de vie et les habitudes festives de nos gouvernants, n’y a-t-il pas lieu de s’interroger ? D’autant que nos « fact-checkers » officiels semblent toujours très prompts à défendre le président.

Les mêmes qui nous répètent que « tout va bien » concernant l’économie française nous jurent aujourd’hui que ces accusations sont infondées. Comment leur faire encore confiance ?

Depuis, les contenus qui le pointent du doigt ont pullulé, avec cette idée tenace que notre président serait addict à la poudre blanche. Vidéos montées, captures d’écran où Macron tripote son nez, extraits triés sur le volet… L’hebdo Marianne en parlait déjà l’an dernier. Ces accusations, souvent balayées comme « complotistes », font pourtant écho à certaines attitudes troublantes qu’on observe chez notre dirigeant. Des tics nerveux, des moments d’euphorie suivis de phases irritables… Qui sait vraiment ce qui se passe dans les coulisses de l’Élysée ?

Après tout, nos élites s’octroient tellement de privilèges en coulisses, pourquoi pas celui-là ? Difficile de ne pas se poser la question quand on voit ces séquences où « Jupiter » se frotte compulsivement le nez lors d’interventions publiques.

On nous dira évidemment que tout cela n’est que pure calomnie. Mais les Français, eux, ne sont pas dupes et commencent à regarder d’un peu plus près ces petits gestes devenus presque rituels chez notre président.