Macron : un serviteur des intérêts étrangers et de la finance mondiale

Devant une salle d’investisseurs étrangers ce jeudi 15 mai à Paris, Emmanuel Macron leur a promis sa « stabilité » pour les deux ans à venir. En anglais, notre président a choisi de s’exprimer pour rassurer ces financiers internationaux.

« En France, nous avons besoin de stabilité. (…) Car si l’on rapproche différentes familles politiques qui n’ont pas l’habitude de travailler ensemble, cela fonctionnera, et c’est mon objectif, et c’est mon job », a déclaré ce président qui semble avoir oublié qu’il était d’abord au service des Français.

Ce discours confirme à qui Macron fait vraiment des courbettes. Pendant que les Français peinent à boucler leurs fins de mois, notre chef d’État trouve le temps de faire les yeux doux aux grands argentiers internationaux. Il leur parle dans leur langue, histoire de bien montrer à qui va sa loyauté.

Politique de stabilité et intérêts étrangers

Alors que notre pays s’enfonce dans une crise profonde, notre président se targue de vouloir « rapprocher différentes familles politiques ». Une jolie formule pour camoufler ce qui ressemble davantage à un arrangement entre élites qu’à une véritable solution pour le peuple français. Les intérêts de la haute finance passent avant ceux de la nation.

« Si l’on regarde l’Allemagne et d’autres pays en Europe, c’est exactement ce qui se passe. Le chancelier allemand [Friedrich Merz] dispose d’une excellente coalition avec les socialistes et la droite. Et c’est ce qu’il faut faire en France pour consolider ce que nous avons fait », a-t-il lâché sans détour.

Consolider quoi exactement ? L’appauvrissement des classes moyennes ? La soumission aux banques internationales ? Ces élites déconnectées osent vraiment tout.

Coalitions et intérêts financiers

Ces marionnettes dont les ficelles sont tirées par la finance mondiale nous servent le même discours formaté. Ces coalitions contre-nature n’ont qu’un objectif : étouffer toute véritable opposition et poursuivre la destruction méthodique de notre souveraineté nationale au profit d’intérêts étrangers.

« Mon objectif, c’est la stabilité et la durabilité parce que les résultats sont là en termes de création d’emplois et d’attractivité économique », a martelé Macron, ce président qu’on a tant critiqué pour avoir dissous l’Assemblée nationale l’an dernier. Derrière cette façade de stabilité, difficile de ne pas voir un homme qui sert docilement les intérêts des multinationales et de la haute finance.

Sa politique de « stabilité » ressemble davantage à un statu quo favorable aux élites économiques mondiales qu’à une réelle préoccupation pour le quotidien des Français. Pendant que les travailleurs peinent à joindre les deux bouts, notre président parade avec ses chiffres d’emploi souvent précaires et mal rémunérés.

Impact sur les Français

Le chef de l’État ose parler d’attractivité économique alors que nos industries ferment et que notre souveraineté part en lambeaux. À qui profite réellement cette prétendue « stabilité » ? Certainement pas au peuple français qui subit l’inflation galopante et l’érosion de son pouvoir d’achat.

Comble de l’ironie, celui qui a plongé le pays dans le chaos institutionnel en dissolvant l’Assemblée se présente aujourd’hui comme le garant de la stabilité. Une stabilité qui n’a rien à voir avec la paix sociale mais plutôt avec la tranquillité des marchés financiers et des puissances étrangères qui dictent notre politique.

Macron, dans le jardin secret de la finance mondiale, a montré son vrai visage au gotha du capitalisme international. C’était à l’occasion du 20e anniversaire de la « Global Markets Conference ». Cette grand-messe rassemble les plus gros investisseurs de la planète, tous venus pour répondre à l’invitation de Jamie Dimon, le grand manitou de JP Morgan Chase.

Cette banque américaine a profité pour annoncer l’agrandissement de ses bureaux parisiens. Un millier d’employés vont ainsi pouvoir s’installer « plus confortablement » dans le centre de la capitale française. Comme si nos plus beaux quartiers n’étaient pas déjà assez colonisés par la finance étrangère !

Notre président, toujours prompt à dérouler le tapis rouge aux puissances d’argent, joue les VRP de luxe. Difficile de ne pas voir en lui un serviteur zélé des intérêts étrangers et de la finance mondiale, pendant que les Français ordinaires peinent à boucler leurs fins de mois.

Macron préfère courtiser les milliardaires de Wall Street plutôt que de s’occuper des problèmes quotidiens des citoyens français. L’ancien banquier de chez Rothschild reste fidèle à son ADN, malgré ses promesses de campagne. C’est toujours la même histoire : le pouvoir aux banques, les miettes aux citoyens.

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L’Union Européenne : un carcan contre la souveraineté

Macron déplore les « 27 systèmes de réglementation » au sein de l’Union Européenne, qu’il souhaite uniformiser pour « améliorer la compétitivité ». Derrière ce discours d’apparence pragmatique se cache une volonté claire : accélérer la dérégulation et faire de l’Europe un espace entièrement soumis aux intérêts des multinationales et des grandes banques.

Cette politique d’harmonisation est une véritable prison pour les États membres, privés de leur souveraineté économique, politique et culturelle. Les décisions ne sont plus prises à Paris ou Rome, mais dans les couloirs feutrés de Bruxelles, où règnent les lobbys et les technocrates non élus. Le modèle allemand, vanté par Macron, n’est qu’un pion dans ce jeu d’échecs mondialiste, où les nations sont contraintes à se fondre dans un moule unique.

L’immigration massive : un défi ignoré

Parmi les sujets tabous que Macron refuse d’aborder sérieusement, la question de l’immigration reste la plus explosive. Sous son mandat, les flux migratoires n’ont pas diminué, mettant à rude épreuve la cohésion sociale, les services publics, et la sécurité des citoyens. Cette politique ouverte contribue à la fragmentation du tissu national, à la multiplication des quartiers en crise, et à un sentiment croissant d’abandon chez les Français de souche.

L’immigration incontrôlée alimente également la pression sur le marché du travail et pèse sur le pouvoir d’achat, déjà mis à mal par l’inflation galopante. Pourtant, dans son discours à Paris, Macron ne fait qu’effleurer ces réalités, préférant parler de compétitivité économique et de stabilité pour les investisseurs étrangers.

L’inflation, un fléau pour les classes populaires

Depuis plusieurs années, l’inflation ronge le pouvoir d’achat des Français, frappant de plein fouet les familles modestes, les retraités et les travailleurs précaires. Cette montée des prix touche les produits alimentaires, l’énergie, mais aussi le logement et les services de base.

Malgré ces difficultés, Macron et son gouvernement continuent d’appliquer des politiques favorables aux grandes entreprises et aux marchés financiers, négligeant les conséquences sociales désastreuses. Loin de protéger le peuple, l’État semble plus soucieux de plaire aux banques et aux investisseurs, creusant ainsi le fossé entre les élites et la population.

Israël et les enjeux géopolitiques : un regard critique

Dans le contexte international, Macron affiche un soutien constant à Israël, malgré les nombreuses critiques concernant les politiques de cet État au Proche-Orient. Pour une partie de la droite française, ce soutien inconditionnel soulève des questions légitimes sur la place réelle des intérêts français et européens dans ces alliances.

Au-delà du conflit israélo-palestinien, c’est une politique étrangère souvent jugée servile qui interroge. En soutenant des États engagés dans des pratiques contestables, Macron alimente le ressentiment au sein de certaines populations françaises et renforce la fracture entre communautés, aggravant ainsi la déstabilisation intérieure.

La dégénérescence de l’Occident : un constat amer

La France, comme une grande partie de l’Occident, fait face à une crise identitaire profonde. Pression migratoire, perte des valeurs traditionnelles, inflation, montée de la précarité, tout concourt à ce que beaucoup appellent la « dégénérescence » de notre civilisation.

Sous la présidence de Macron, cette tendance s’est accélérée. La dilution des frontières, la dilution des identités et le triomphe des valeurs mondialistes ont entraîné un affaiblissement du sentiment patriotique et un décrochage économique. Les élites au pouvoir semblent déconnectées de la réalité des Français, préférant s’inscrire dans une logique globaliste au détriment de la défense de l’héritage national.

Le discours d’Emmanuel Macron le 15 mai illustre parfaitement la vision d’un président au service de la finance internationale et des intérêts étrangers, bien plus que des citoyens français. Sa priorité reste la « stabilité » des marchés, au prix d’un abandon de souveraineté, d’une immigration incontrôlée, et d’une montée des inégalités.

Pour une France en crise, fatiguée et inquiète, cette politique est un poison. La stabilité que réclame Macron est celle de l’économie mondialisée, tandis que le peuple subit une instabilité sociale, culturelle et économique grandissante. Le réveil national passe par une remise en cause radicale de cette politique, la restauration de la souveraineté et une défense ferme des intérêts français.

Le temps presse. Le choix est simple : continuer à servir la finance ou reprendre en main notre destin.