🔥 Les essentiels de cette actualité
- Les inhibiteurs nucléosidiques réduisent le risque d’Alzheimer de 6 à 13%. Pourquoi cette info cruciale est-elle ignorée par les médias?
- Le nouveau médicament K9, plus efficace que les INTI, est en essais cliniques. Big Pharma le cache-t-il pour protéger ses profits?
- L’acide carnosique du romarin pourrait inverser les effets d’Alzheimer. Nos priorités de recherche favorisent-elles vraiment la santé publique?
Une étude bouleversante vient de révéler que des médicaments anti-VIH communs pourraient réduire fortement le risque d’Alzheimer. Et comme par hasard, on ne nous en parle pas dans les médias mainstream…
Une nouvelle étude a mis en évidence que les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) – une classe courante de médicaments contre le VIH – pourraient drastiquement réduire le risque de développer cette maladie neurodégénérative.
Selon une analyse de patients âgés de plus de 50 ans, les chercheurs ont découvert que chaque année de traitement par NRTIs diminue le risque d’Alzheimer de 6 à 13%. Ces données proviennent de 270.000 personnes.
Ce genre d’information arrive souvent trop tard pour nos aînés. Pendant que nos taxes servent à des causes douteuses, les vraies avancées médicales qui pourraient sauver nos parents et grands-parents restent dans l’ombre.
Les questions sur le timing de l’étude
Nos chercheurs français excellent dans ce domaine, mais manquent de financements. Sûrement que l’argent va ailleurs… On nous cache peut-être d’autres traitements efficaces qui n’enrichissent pas les grands laboratoires?
Quoi qu’il en soit, cette baisse de 6 à 13% mérite notre attention. J’espère que nos médecins de famille en seront informés rapidement, même si j’en doute. Comme d’habitude, ce sera aux patients de s’informer eux-mêmes.
L’impact mondial de la maladie d’Alzheimer
Plus de 10 millions de personnes dans le monde développent la maladie d’Alzheimer chaque année, a affirmé Jayakrishna Ambati, directeur fondateur du Centre de sciences avancées de la vision de l’Université de Virginie.
L’équipe d’Ambati a découvert que ces médicaments bloquent aussi les inflammasomes, éléments du système immunitaire impliqués dans l’apparition d’Alzheimer. Pas étonnant que les grands labos n’en parlent jamais – un vieux médicament qui pourrait régler plusieurs problèmes d’un coup? Ça ne rapporterait rien à l’industrie pharmaceutique qui préfère nous vendre des traitements hors de prix plutôt que des solutions accessibles. L’argent passe avant notre santé.
« Nous avons mis au point un nouveau médicament appelé K9 qui bloque l’inflammasome. C’est une version plus sûre et plus efficace que les INTI », explique Ambati.
« Ce médicament est en phase d’essais cliniques pour d’autres maladies, et nous prévoyons de le tester aussi contre la maladie d’Alzheimer. »
Les grands labos n’en parleront probablement pas de sitôt, trop occupés à nous vendre leurs dernières trouvailles hors de prix…
Essais cliniques et espoirs pour les malades d’Alzheimer
Espérons que cette fois, contrairement à tant d’autres « découvertes miraculeuses », les autorités sanitaires ne bloqueront pas son développement pour protéger les intérêts financiers de Big Pharma.
Les malades d’Alzheimer et leurs familles n’ont que trop attendu des solutions concrètes.
L’acide carnosique, présent dans le romarin et la sauge, s’est révélé capable d’inverser les effets de la maladie d’Alzheimer chez des souris.
Découverte prometteuse avec l’acide carnosique
Cette découverte a permis de rétablir leur fonction cognitive à des niveaux quasi normaux, tout en réduisant l’inflammation cérébrale responsable de la dégradation des capacités intellectuelles.
Ces résultats, qui méritent plus d’attention que certaines « urgences sanitaires » proclamées par nos autorités, sont intéressants car ils ouvrent la voie à des traitements potentiellement accessibles à tous, sans devoir passer par les grands laboratoires pharmaceutiques.
Alors que l’industrie pharmaceutique propose des solutions coûteuses aux effets secondaires souvent dévastateurs, cette molécule issue de plantes communes pourrait révolutionner le traitement d’une maladie qui touche de plus en plus de nos aînés.
Questions sur les priorités de santé et de recherche
Cette découverte soulève des questions sur les priorités de notre système de santé et nos politiques de recherche.
Combien de remèdes naturels restent ignorés pendant que des milliards sont investis dans des traitements synthétiques aux bénéfices douteux?
Attendons-nous à ce que cette information soit rapidement étouffée ou que l’acide carnosique soit bientôt classé comme « substance à réguler » – car après tout, un remède simple et accessible n’enrichit personne au sommet de notre système.
IMPORTANT - À lire
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