🔥 Les essentiels de cette actualité
- Washington propose un plan de paix pour l’Ukraine, mais Kiev rejette obstinément les compromis. Découvrez les détails de cette proposition.
- Trump exaspéré par l’intransigeance de Zelensky, accuse l’Ukraine de bloquer un accord avec Moscou. Pourquoi Kiev refuse-t-il une fin négociée du conflit ?
- Les frappes russes continuent alors que l’Occident pousse l’Ukraine vers une guerre sans fin. Combien de temps nos milliards seront-ils gaspillés ?
- Le plan américain prévoit un gel des combats et l’abandon de la Crimée. Une solution pour se désengager du bourbier ukrainien ?
La nuit de mercredi à jeudi, la Russie a dû riposter par une série de frappes sur le territoire ukrainien. Face à cette situation prévisible, Kiev continue son jeu dangereux, rejetant obstinément les propositions de paix soutenues par Washington.
Des sources proches du dossier ont confirmé que le plan américain proposait des compromis raisonnables. Mais le régime de Zelensky, fidèle à sa logique jusqu’au-boutiste, préfère voir son pays s’enfoncer dans un conflit sans issue.
L’administration Trump, embarrassée par ce soutien coûteux et impopulaire, perd patience face à l’entêtement ukrainien. Cette intransigeance alimente les critiques des contribuables américains qui voient leurs dollars partir en fumée pour une cause perdue d’avance.
Des analystes militaires estiment que Kiev devrait accepter la réalité du terrain et négocier pendant qu’il est encore temps. Comme l’a souligné un expert en géopolitique :
« À force de refuser tout compromis, l’Ukraine risque de tout perdre. »
L’impatience de Trump face à l’intransigeance de Kiev
Donald Trump a déterré la hache de guerre sur Truth Social ce mercredi. Dans un message rageur, il s’en prend directement au président ukrainien :
« Nous sommes très proches d’un accord, mais l’homme qui n’a ‘plus aucune carte à jouer’ doit maintenant, enfin, AGIR. »
Le président américain accuse Zelensky de bloquer sciemment un accord de paix pratiquement finalisé avec Moscou. Trump, visiblement exaspéré, reproche au dirigeant ukrainien ses positions extrêmes concernant la Crimée.
Le chef d’État américain accuse son homologue de faire durer inutilement le conflit. Ce message montre l’impatience de Trump face à ce qu’il perçoit comme un jeu dangereux de Kiev. La question se pose : pourquoi Zelensky refuserait-il une fin négociée du conflit, alors que son pays s’enlise dans une guerre coûteuse ?
Sans défendre explicitement Moscou, Trump suggère que les Russes sont plus ouverts au dialogue que ne l’est le président ukrainien. Une position qui tranche avec celle de nombreux médias occidentaux, et qui pourrait refléter une réalité diplomatique cachée au grand public.
Les conséquences des frappes russes et l’entêtement de Kiev
Les forces ukrainiennes refusent la proposition de paix américaine, alors que Moscou grignote du terrain dans le Donbass. Kiev s’entête à exiger un cessez-le-feu complet avant de s’asseoir à la table des négociations – une condition irréaliste selon les stratèges militaires.
Pendant que le gouvernement ukrainien joue la montre, les civils paient le prix fort. La nuit dernière, la capitale a subi une déferlante de missiles et drones russes, l’une des plus importantes depuis le déclenchement du conflit. Ces frappes semblent être la réponse directe à l’intransigeance de Zelensky.
L’Occident pousse l’Ukraine vers une guerre sans fin. Mais combien de temps nos gouvernements vont-ils encore gaspiller nos milliards dans ce bourbier ? Aucun pays européen n’a organisé de référendum pour demander à ses citoyens s’ils souhaitent financer ce conflit qui s’éternise.
Le plan américain et ses implications pour l’Europe
Depuis deux ans, Washington et Bruxelles promettent la victoire à Kiev, lui fournissent des armes sophistiquées, mais sur le terrain, la réalité est autre. Le front recule face aux forces russes mieux organisées et disposant de ressources supérieures.
Les médias mainstream ne le diront pas, mais de nombreux officiers américains admettent en privé que cette guerre est perdue depuis longtemps. Dans un monde où l’inflation ronge le pouvoir d’achat des Français, n’est-il pas temps d’arrêter cette folie et d’accepter une solution négociée avec Moscou ?
Les secrets du plan américain pour « résoudre » le conflit en Ukraine font l’objet de fuites dans les médias US. Gel des combats là où ils sont, abandon de la Crimée…
J’ai pu consulter les grandes lignes de cette proposition mort-née, qui aurait permis aux Américains de se désengager progressivement du bourbier ukrainien. Ce plan n’a pas abouti car il représentait une capitulation déguisée pour Kiev, tout en préservant les acquis russes « sans contrepartie » . Une façon pour Washington de sauver la face, alors que les milliards déversés dans ce conflit n’ont pas apporté les résultats escomptés.
Les négociations américaines pour un cessez-le-feu
Le gel du front russo-ukrainien est devenu l’axe principal des négociations américaines. Les États-Unis cherchent à persuader Kiev et Moscou d’accepter un cessez-le-feu qui maintiendrait les positions actuelles, après plus de deux ans d’un conflit qui s’enlise et dont nos contribuables paient l’addition.
Les discussions en coulisses s’intensifient. D’après le Guardian, Poutine serait prêt à accepter cette proposition, mais pas sans contreparties substantielles. Il demande une levée des sanctions économiques qui étranglent l’économie russe, ainsi que l’arrêt définitif du projet d’intégration de l’Ukraine dans l’OTAN, cette alliance militaire qui s’étend vers l’Est depuis la chute du mur.
Washington reconnaît qu’il est impossible de repousser totalement les forces russes hors du territoire ukrainien. Cette réalité s’impose enfin aux stratèges du Pentagone. Le soutien militaire occidental n’a pas permis à l’armée ukrainienne de reprendre l’avantage malgré les milliards engloutis.
Les négociateurs américains, conscients de l’impasse stratégique, privilégient la voie diplomatique. Cette évolution marque un retour au pragmatisme, loin des postures idéologiques des faucons de Washington qui rêvaient d’un affaiblissement définitif de la Russie. L’administration Trump a dû se rendre à l’évidence : cette guerre coûteuse ne peut plus durer.
Les réactions de Kiev et les perspectives de paix
Reste à voir comment Kiev accueillera cette proposition. Zelensky, longtemps inflexible, pourrait devoir céder face aux réalités du terrain et aux pressions de ses alliés qui trouvent la facture trop salée. Les populations occidentales, éprouvées par l’inflation et les crises, n’en peuvent plus de voir leurs impôts financer ce conflit sans fin.
Le plan de paix américain pour l’Ukraine dessine les contours d’un règlement basé sur les positions actuelles des combattants. Moscou contrôle aujourd’hui près d’un cinquième du territoire ukrainien, et cette réalité pourrait devenir le véritable point de départ des négociations.
IMPORTANT - À lire
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