Le 27 mai 2025, Bruxelles a officiellement approuvé un plan de défense de 170 milliards de dollars, prétendument pour répondre à la menace russe.
Ce fonds, baptisé SAFE (Security Action For Europe), permettra aux pays membres et associés (dont l’Ukraine) de contracter des prêts massifs afin d’acheter des armes, soutenir l’industrie de la défense, et réarmer l’Europe continentale.
Autrement dit : les peuples paieront deux fois. D’abord, par les impôts et les dettes contractées pour financer ces projets. Ensuite, par les conséquences dramatiques que ce réarmement entraîne : montée des tensions, guerre prolongée, inflation, insécurité intérieure. Tout cela sans qu’aucun citoyen n’ait été consulté.
Pendant ce temps, les hôpitaux ferment, les agriculteurs crèvent, les familles s’appauvrissent, et les frontières restent grandes ouvertes à une immigration incontrôlée.
L’illusion de la sécurité : une guerre qui n’est pas la nôtre
L’UE justifie ce plan par un argument simpliste : la Russie est une menace. Pourtant, aucun pays européen n’a été attaqué, aucune armée russe ne défile à Varsovie, à Paris ou à Berlin. Il s’agit d’un conflit localisé, complexe, dans lequel l’Europe joue un rôle de figurant bruyant sans aucune stratégie propre. Tout est dicté depuis les tours vitrées de Bruxelles par des commissaires non élus et idéologiquement obsédés par une confrontation avec Moscou.
Mais l’Europe n’est pas l’Ukraine. Et l’Europe n’est pas l’OTAN. Surtout, l’Europe n’est pas une armée, ni une nation. C’est un conglomérat bureaucratique sans légitimité populaire.
Ce fonds de 170 milliards n’est pas un acte de défense : c’est une déclaration de guerre camouflée, faite au nom des peuples mais sans leur accord.
Une fuite en avant militariste : l’empire européen est en marche
Avec ce plan SAFE, la Commission européenne franchit une ligne rouge : l’Union devient une puissance armée, capable de lever des fonds, de financer des industries de l’armement, et de distribuer des prêts militaires à des pays tiers. Une armée européenne déguisée, sans uniforme, sans drapeau, mais financée avec notre argent, pour des objectifs qui ne sont pas les nôtres.
Et ce n’est qu’un début. Le plan SAFE s’inscrit dans un programme encore plus vaste : ReArm Europe, qui autorise les États membres à dépenser jusqu’à 730 milliards de dollars en armement, en assouplissant les règles budgétaires européennes.
Pendant que les Français, les Italiens, les Allemands peinent à boucler leurs fins de mois, des centaines de milliards sont déversés dans le béton, l’acier, les missiles et les chars. Une économie de guerre pour une guerre absurde, contre un ennemi fantasmé.
Qui profite ? L’élite, comme toujours
Ce n’est pas l’ouvrier du Nord, le paysan de Provence ou la mère de famille polonaise qui profitera de ce fonds. Ce sont les multinationales de l’armement, les lobbies de l’industrie militaire, les grands groupes transnationaux.
Bruxelles ne défend pas les peuples, elle défend ses sponsors, ses idéologues, et sa propre survie. Elle construit un empire technocratique, militarisé, détaché des volontés nationales. Un empire sans racines, sans patrie, sans âme.
On nous parle d’union, mais on ne voit que la division. On nous vend la paix, mais on prépare la guerre.
La vraie paix viendra de l’Ouest et de l’Est réunis
Dans ce brouillard européen, les seules voix raisonnables ont toujours été celles de Donald Trump à l’Ouest et de Vladimir Poutine à l’Est. Deux hommes d’État, patriotes, fermes mais pragmatiques, qui comprennent que la paix ne se construit pas avec des tanks, mais avec des accords, du respect et une vision multipolaire du monde.
Trump l’a prouvé : sous sa présidence, le monde est plus stable. Il a compris que l’Amérique doit être forte mais pas envahissante, et que l’Europe doit se défendre elle-même, sans être l’esclave de Bruxelles.
Poutine, lui, défend les intérêts russes — comme tout chef d’État digne de ce nom. Il ne cherche pas la destruction de l’Europe, mais son respect. Ce qu’il combat, ce n’est pas l’Occident, mais l’idéologie globaliste qui gangrène l’Occident. Ce n’est pas la France qu’il rejette, mais la Commission européenne. Pas l’Allemagne, mais la décadence woke.
Le vrai rempart, c’est le peuple enraciné
Ce n’est pas à Bruxelles que se joue l’avenir de l’Europe. Ce n’est pas dans les réunions des commissaires, ni dans les chiffres des prêts militaires. C’est dans les villages, les provinces, les traditions. C’est dans la famille, la patrie, la foi.
Réarmer l’Europe ? Oui, mais moralement. Spirituellement. Identitairement. Réarmer les âmes, pas les usines d’obus.
Ce n’est pas une industrie de mort qui sauvera notre civilisation, mais un réveil des peuples contre les élites mondialistes.
Bruxelles a choisi : les peuples doivent résister
Ce plan de 170 milliards pour la défense montre clairement que Bruxelles ne pense plus aux citoyens. Au lieu d’aider les familles, de protéger nos frontières ou de soutenir nos agriculteurs, l’Union européenne préfère investir dans les armes et prolonger un conflit qui ne nous concerne pas directement.
Les peuples européens n’ont pas voté pour ça. Ils veulent la paix, la sécurité, la stabilité. Pas une Europe militarisée dirigée par des technocrates déconnectés.
Il est temps de dire stop. De reprendre le contrôle. De défendre nos vraies priorités : nos nations, nos traditions, nos libertés.
C’est à nous, peuples d’Europe, de refuser cette dérive. Et de bâtir une Europe fidèle à ses racines, fière de son identité, et libre de choisir son avenir.
IMPORTANT - À lire
L'Europe se militarise, les peuples trinquent. Pendant que Bruxelles débloque 170 milliards pour des armes, les vraies priorités sont oubliées. Découvrez chaque mois les dessous de l'actualité et les enjeux géopolitiques qui façonnent notre avenir.
Ne laissez pas les élites mondialistes décider pour vous. Notre revue papier approfondit les sujets brûlants et vous donne les clés pour comprendre le monde. Des analyses exclusives, sans langue de bois, pour résister à la propagande et défendre nos nations.
