Sabotage judiciaire lunaire : des juges empêchent Trump d’expulser des criminels étrangers condamnés pour meurtres

Donald Trump Donald Trump

Une nouvelle bataille judiciaire oppose l’administration Trump à un juge fédéral qui entend empêcher l’expulsion de criminels étrangers reconnus coupables de meurtres et de vols à main armée.

Dans une décision choquante, un magistrat nommé sous l’ère Biden a accusé l’équipe Trump d’avoir « violé une injonction » en tentant de renvoyer six migrants vers le Soudan du Sud, un pays qu’ils ne souhaitaient pas rejoindre.

Ce conflit n’est pas qu’un simple bras de fer judiciaire : il illustre la fracture civilisationnelle entre une Amérique qui veut survivre et un appareil judiciaire aux ordres du mondialisme.

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Un juge qui lit des documents

Un juge contre la volonté d’un peuple

Le juge en question, Brian Murphy, incarne le profil-type du magistrat progressiste. Nommé par l’administration Biden, il défend, contre vents et marées, les principes d’un droit international dégénéré, qui accorde plus d’importance au confort moral de criminels étrangers qu’à la sécurité des citoyens américains.

L’argument invoqué ? Les migrants n’auraient pas eu assez de temps pour « exprimer leurs craintes » avant d’être expulsés. Pourtant, ces mêmes individus avaient été condamnés pour des crimes violents dans plusieurs États américains. Et malgré leur dangerosité avérée, ils ont bénéficié de la protection d’un juge militant, au nom des sacro-saints « droits de l’homme ».

Les juges comme Murphy ne rendent pas la justice. Ils exécutent un programme idéologique. Ils refusent de voir que la criminalité importée gangrène les sociétés occidentales. Ils protègent des délinquants et entravent toute tentative de rétablir l’ordre. Ils ne se posent jamais cette question : pourquoi un État souverain n’aurait-il pas le droit d’expulser les criminels étrangers ?

Trump, seul contre le Système

Depuis son retour au pouvoir en janvier 2025, Donald Trump mène une guerre ouverte contre le chaos migratoire laissé par l’administration précédente. Il ne s’agit pas seulement de sécuriser les frontières, mais de restaurer l’ordre civilisationnel. Cela passe par l’expulsion des illégaux, le démantèlement des réseaux criminels transnationaux et le rejet de l’idéologie cosmopolite qui domine la bureaucratie américaine.

Dans cette affaire, les médias bien-pensants s’empressent de dénoncer une soi-disant « violation des droits ». Mais en vérité, Trump a simplement tenté de faire ce que tout chef d’État digne de ce nom devrait faire : protéger les siens, expulser les menaces, désobéir aux juges corrompus si nécessaire. La Maison Blanche n’a pas mâché ses mots : elle a qualifié Murphy de « juge activiste d’extrême gauche » — et à juste titre.

Car de quoi parle-t-on ici ? De six hommes, originaires de Cuba, du Mexique, du Myanmar, du Vietnam, du Laos et du Soudan du Sud, tous condamnés pour des crimes graves. Ce sont eux que la justice américaine veut protéger. Ce sont eux que les ONG pro-migrants comme Human Rights First veulent maintenir sur le sol américain, au mépris des souffrances infligées aux familles américaines.

Donald Trump

Les ONG au service de l’anti-nation

Le rôle des ONG dans cette affaire est révélateur. Elles ne défendent pas la justice : elles défendent un projet politique, celui de l’effacement des frontières, de l’égalitarisme absolu, du droit à migrer pour tous, y compris les criminels. Elles sont financées par des réseaux mondialistes, elles imposent leur vision progressiste aux peuples, et elles font pression sur les institutions avec la complicité de certains juges.

Le parallèle avec la situation française est saisissant. Combien de décisions judiciaires, en France, empêchent l’expulsion de délinquants sous prétexte de danger dans leur pays d’origine ? Combien de juges s’opposent aux OQTF (Obligations de quitter le territoire français) pour des motifs absurdes ? Combien d’ONG françaises, subventionnées par nos impôts, s’acharnent à défendre ceux qui détruisent nos villes et agressent nos concitoyens ?

Nous vivons la même guerre. Une guerre juridique, médiatique, culturelle. Une guerre menée par une élite déconnectée contre la volonté populaire. Les juges comme Murphy sont les frères jumeaux des magistrats français qui protègent les multirécidivistes plutôt que les honnêtes citoyens.

ONG

Vers une restauration de la souveraineté

Face à cette trahison des élites, Trump a réaffirmé une position de force. Non seulement il a refusé de se soumettre à la décision du juge, mais il a fait savoir que les juges qui entravent la politique d’immigration seraient exposés publiquement. Son chef de cabinet adjoint, Stephen Miller, a confirmé que les migrants étaient déjà en transit, et a dénoncé la décision de Murphy comme une mise en danger de la sécurité du personnel américain.

C’est ce langage-là que les peuples attendent. Un langage clair, de confrontation avec le Système. Il ne s’agit plus de dialoguer avec les traîtres, mais de reprendre en main l’État, d’exposer les responsables, de purger les institutions.

Il y a quelques années, un président comme Trump aurait été isolé. Aujourd’hui, il est soutenu par des millions d’Américains, et respecté par une partie croissante des Européens lucides. En France, beaucoup attendent une figure politique capable d’en finir avec l’angélisme judiciaire, les privilèges des clandestins et la toute-puissance des ONG.

RÉVOLUTION TRUMP : PURGE ET TRANSFORMATION RADICALE DU MONDE EN COURS | LA MATINALE GPTV

La France doit tirer les leçons de l’Amérique

Ce qui se joue aux États-Unis est un miroir de notre propre situation. Si l’on veut redonner un avenir à la France, il faut :

  • rétablir la primauté de la souveraineté nationale sur les traités internationaux ;
  • purger la magistrature de ses éléments les plus idéologiques ;
  • interdire les ONG immigrationnistes de s’ingérer dans les décisions d’expulsion ;
  • et expulser immédiatement tout criminel étranger, qu’importent les protestations de la gauche morale.

La décision de ce juge américain, aussi aberrante soit-elle, a au moins le mérite de montrer ce contre quoi nous devons lutter. Le chaos n’est pas une fatalité. Il est organisé, protégé, défendu par une classe judiciaire hostile aux peuples.

IMPORTANT - À lire

Vous voulez aller plus loin que cet article et comprendre les dessous de cette guerre juridique, médiatique et culturelle menée par une élite déconnectée contre la volonté populaire ? Chaque mois, notre revue papier approfondit l'actualité et décrypte les enjeux géopolitiques, loin de la bien-pensance.

Découvrez des analyses exclusives sur la reprise en main nécessaire de l'État, l'exposition des traîtres et la purge indispensable des institutions. Notre revue vous donne les clés pour comprendre les luttes de souveraineté qui se jouent en France, en écho à la situation américaine.


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