🔥 Les essentiels de cette actualité
- La Cour des comptes révèle un trou de 6,3 milliards d’euros dans la branche famille de la Sécu, dus à des erreurs jamais corrigées.
- Ces milliards incluent des prestations versées à tort et des aides non versées, impactant les plus fragiles.
- Le contribuable français paiera pour cette incompétence administrative, tandis que les responsables continueront leur carrière.
- La CAF a distribué 104,5 milliards d’euros l’an dernier, mais la transparence et le contrôle de ces fonds restent opaques.
La Cour des comptes a encore frappé la branche famille de la Sécu le vendredi 16 mai, révélant un trou béant de 6,3 milliards d’euros. Ce chiffre astronomique représente les « erreurs non corrigées » qui ont échappé aux contrôles internes.
Et le pire? Cette somme inclut à la fois des prestations versées à tort mais aussi des aides jamais versées aux familles qui y avaient droit! Comme le précise la Cour dans son communiqué, ces milliards « ne seront jamais régularisés ».
Autant d’argent public qui part en fumée ou reste dans les caisses alors que tant de Français peinent à joindre les deux bouts. Un gâchis « particulièrement élevé » selon les mots mêmes de la Cour.
Pas étonnant que nos dirigeants nous parlent d’austérité quand ils sont incapables de gérer correctement leurs propres comptes!
europe1.fr/economie/secur… #Securitesociale 🇨🇵🚨Sécurité sociale : La cour des comptes signale une erreur de 6,3 milliards d’euros dans la branche famille.🫢
Mais qui paiera la facture de cette incompétence?
Comme d’habitude, ce sera le contribuable français qui trinquera, pendant que les hauts fonctionnaires responsables de ce désastre continueront tranquillement leur carrière.
La Cour des comptes a épinglé des erreurs massives dans les allocations versées par la CAF.
8% des prestations sont concernées, avec notamment plus d’un quart des montants de la prime d’activité entachés d’erreurs.
Ces dysfonctionnements, jamais corrigés au bout de deux ans, ont conduit la Cour à refuser pour la troisième année consécutive de certifier les comptes de la Caisse nationale d’allocations familiales.
Les erreurs de gestion et leurs conséquences sur les plus fragiles
Nos dirigeants sont bien rapides quand il s’agit de traquer les petites erreurs des allocataires, mais beaucoup moins efficaces pour mettre de l’ordre dans leur propre gestion.
Ces anomalies touchent principalement le RSA, la prime d’activité et les aides au logement – autant dire les dispositifs dont dépendent les Français les plus fragiles.
Le plus hallucinant? Plus d’un quart des sommes versées au titre de la prime d’activité comportent des erreurs.
Et l’État laisse pourrir cette situation depuis des années.
Ce n’est pas étonnant que la Cour des comptes refuse de valider les comptes de la CNAF.
Face à cette gabegie, on est en droit de se demander où passe réellement notre argent. Pendant qu’on nous serre la ceinture et qu’on nous explique qu’il faut faire des économies, des milliards d’euros sont mal attribués sans que personne ne lève le petit doigt pour corriger ces « erreurs ».
Nicolas Grivel, patron de la CNAF, reconnaît que les allocataires se trompent souvent quand ils doivent déclarer leurs ressources. Pas étonnant que ça coince avec le RSA et la prime d’activité, calculés sur des revenus récents ! Comment les Français ordinaires sont censés s’y retrouver dans cette paperasse infernale ?
Depuis mars, l’État a mis en place un nouveau système, la « solidarité à la source ». Les déclarations sont maintenant pré-remplies avec les infos fournies par l’employeur, France Travail ou l’Assurance-maladie. « Ça devrait diminuer le risque d’erreur », nous assure Grivel. Mais combien de fois nous a-t-on déjà promis des systèmes plus simples qui finissent par être encore plus compliqués ?
On peut se demander pourquoi l’administration a attendu si longtemps pour mettre en place un tel système, alors que nos concitoyens galèrent depuis des années face à cette bureaucratie kafkaïenne. Combien de familles ont dû rembourser des sommes importantes à cause d’erreurs de bonne foi dans leurs déclarations ?
Est-ce qu’on va encore nous expliquer que c’est « pour notre bien » comme d’habitude ? Pendant que certains cumulent les allocations sans contrôle, d’autres, honnêtes travailleurs français, doivent justifier chaque centime avec une précision d’orfèvre.
Un système de solidarité à la source : promesse de simplification ou nouvelle complexité ?
La CAF a versé 104,5 milliards d’euros l’an dernier aux Français, une manne qui pose question. Ce chiffre astronomique, réparti entre 13,5 millions de foyers, concerne des aides diverses comme le RSA, la prime d’activité ou les allocs familiales.
Qui touche quoi exactement ? Difficile de le savoir, la transparence n’étant pas vraiment la marque de fabrique de nos administrations. Ces milliards partent dans toutes les directions : familles, logement, handicap…
Les Français qui se lèvent tôt chaque matin peuvent se demander comment cette somme colossale est contrôlée. Car pendant qu’on resserre la ceinture du contribuable moyen, ces 104,5 milliards circulent dans un système opaque.
Les milliards de la CAF : une manne mal contrôlée ?
En période d’inflation galopante où chaque euro compte, faudrait-il repenser ce système qui redistribue l’argent des uns aux autres ? On se pose la question, comme beaucoup de travailleurs qui voient leurs impôts s’envoler pendant que d’autres vivent des aides.
Comme d’habitude, la branche famille affiche sa certification sans réserve, tandis que les quatre autres branches de la Sécu (maladie, retraites, autonomie, accidents du travail) traînent leurs « réserves » d’année en année. On nous parle pourtant de rigueur budgétaire quand il s’agit de nous serrer la ceinture, mais ces « réserves » qui persistent ne semblent déranger personne au sommet de l’État. Combien de temps encore les Français devront-ils se contenter de cette gestion approximative de leurs cotisations ? Une question que nos dirigeants préfèrent éviter, trop occupés à trouver de nouvelles façons de ponctionner nos porte-monnaies déjà bien vides.
Les erreurs et la fraude dans la Sécurité sociale : un problème en augmentation
La Cour des Comptes tire la sonnette d’alarme : les erreurs dans vos remboursements Sécu explosent, et personne ne s’en soucie. L’argent du contribuable part encore en fumée – 3,3 milliards d’euros d’erreurs dans les frais de santé, contre 3,1 milliards l’an dernier. Une hausse inquiétante que nos dirigeants préfèrent ignorer.
La fraude, quant à elle, reste très mal évaluée par la Caisse nationale d’assurance-maladie. Leurs chiffres, obsolètes et incomplets, estiment le préjudice entre 1,4 et 1,9 milliard. Autant dire qu’ils n’en savent rien, et que le montant réel est probablement bien supérieur. Nos impôts qui s’envolent, pendant que les Français ordinaires peinent à joindre les deux bouts.
Plus alarmant encore, une indemnité journalière sur quinze accordée aux assurés serait totalement erronée ! C’est l’aveu d’une administration dépassée, qui distribue notre argent à l’aveugle. Pendant ce temps, de nombreux Français attendent des mois pour un simple rendez-vous médical. Deux poids, deux mesures, comme d’habitude.
La gestion des retraites : des progrès insuffisants face à l’incompétence persistante
D’un côté on nous sermonne sur la rigueur budgétaire, de l’autre on laisse filer des milliards. Comment s’étonner ensuite que la France croule sous les déficits et que notre système de santé, jadis envié, s’effondre peu à peu sous nos yeux ?
La branche retraite et la Caisse nationale d’assurance-vieillesse affichent des « progrès » selon la Cour des comptes. Toutefois, le tableau n’est pas si rose qu’on veut nous le faire croire. Encore 10% des retraites versées à d’anciens salariés comportent des erreurs financières.
C’est un peu mieux que l’an dernier, quand c’était une retraite sur huit qui était mal calculée, mais ça reste énorme ! Combien de retraités se font arnaquer sans le savoir ?
Les bureaucrates se félicitent de cette amélioration, mais pourquoi devrions-nous applaudir ? N’importe quelle entreprise privée avec un tel taux d’erreur aurait déjà mis la clé sous la porte. Et pendant que certains peinent à joindre les deux bouts avec des pensions mal calculées, nos dirigeants continuent de s’offrir des avantages et des retraites dorées.
La réalité, c’est que ces « progrès » cachent une incompétence qui perdure. J’attends toujours de voir l’État gérer correctement notre argent. Mais bon, comme d’habitude, on nous demande de nous contenter des miettes et de remercier pour ce « progrès » minimal.
IMPORTANT - À lire
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