Les géants pharmaceutiques font pression sur Donald Trump pour qu’il échelonne l’application des taxes d’importation sur les médicaments. Leur objectif? Amortir le choc financier et s’octroyer du temps pour rapatrier leur production.
Trump va annoncer mercredi un arsenal massif de taxes douanières qui frappera tous les pays (pas seulement 10-15 nations avec des déséquilibres commerciaux) comme il l’a confirmé dimanche. Enfin un chef d’État qui défend ses intérêts et ceux de son peuple, au lieu de se laisser marcher dessus par la mondialisation sans limites!
Le milliardaire ne se contente pas de demi-mesures. Et il a bien raison! Alors que nos dirigeants européens continuent de plier l’échine devant la Chine et autres géants économiques, Trump prépare un coup de tonnerre avec son plan de « tarifs réciproques ». Une approche simple mais redoutable: vous taxez nos produits? On vous taxe en retour!
Ce plan ambitieux montre tout le contraste avec nos leaders actuels qui préfèrent augmenter les impôts de leurs citoyens plutôt que de protéger l’emploi national. Quand on pense qu’à l’Élysée, on trouve encore le moyen de nous parler de « rayonnement international » pendant que nos usines ferment les unes après les autres…
Ce n’est pas un hasard si l’ancien président avait réussi à redresser l’économie américaine lors de son premier mandat, avant que la pandémie ne vienne tout chambouler. Sa méthode? Prendre des mesures concrètes au lieu de grandes déclarations vides. Et sa stratégie de réciprocité commerciale est on ne peut plus juste: pourquoi continuer à commercer librement avec des pays qui surprotègent leurs marchés?
Les géants pharmaceutiques négocient des délais
Le président ne devrait finalement pas annoncer de mesures précises concernant d’éventuelles taxes sur les labos pharmaceutiques ce mercredi. Comme d’habitude, les annonces concrètes sont repoussées, alors que les lobbys pharmaceutiques continuent sans doute leur travail d’influence en coulisses. Ces mêmes laboratoires qui ont engrangé des milliards pendant la crise sanitaire semblent encore une fois bénéficier d’un traitement de faveur.
L’administration préfère temporiser, un choix plutôt inhabituel pour Trump qui aime généralement frapper fort. Mais sur ce dossier des médicaments, même lui semble marcher sur des œufs.
D’après mes informations, plusieurs réunions se sont tenues la semaine dernière à ce sujet entre des représentants de l’industrie et des proches conseillers du président. Le sujet des prix des médicaments reste explosif aux États-Unis, où des millions d’Américains peinent à se soigner correctement à cause des tarifs exorbitants pratiqués.
Les stratégies de l’industrie pharmaceutique face aux taxes
Les géants pharmaceutiques acceptent déjà leur défaite : face aux futures taxes de Trump sur les médicaments, ils négocient simplement leur mise en place progressive. Comme d’habitude, ces multinationales ne s’inquiètent pas vraiment – elles répercuteront juste ces 25% sur notre porte-monnaie. Encore une fois, ce sont les consommateurs américains qui trinqueront, mais franchement, qui s’en étonne encore?
Malgré leurs réticences, les grandes entreprises pharmaceutiques multinationales s’attendent désormais à l’inévitabilité des tarifs douaniers américains visant les produits médicaux. Elles espèrent plutôt négocier une augmentation progressive vers les 25% de droits de douane menacés par le président, au lieu d’une application brutale et immédiate de ce taux.
Les défis de la relocalisation pour l’industrie pharmaceutique
Les grandes firmes pharmaceutiques possèdent des usines partout dans le monde, principalement aux États-Unis, en Europe et en Asie. Mais rapatrier davantage de production vers le sol américain représente un investissement colossal. Le lobby PhRMA ne s’en cache pas : il faut compter entre 5 et 10 ans et la bagatelle de 2 milliards de dollars pour construire une nouvelle usine aux USA. Et pourquoi ? À cause des normes réglementaires draconiennes, bien sûr.
Ces multinationales du médicament, les mêmes qui ont engrangé des profits astronomiques avec leurs vaccins expérimentaux, rechignent donc à relocaliser. Comment s’étonner alors que nos pays occidentaux soient devenus totalement dépendants de l’étranger pour des médicaments essentiels ?
C’est cette même logique qui prévaut en France, où nos dirigeants ont préféré démanteler notre industrie pharmaceutique plutôt que de défendre notre souveraineté sanitaire. La crise du paracétamol n’était qu’un avant-goût.
Des milliards pour l’Ukraine, mais rien pour garantir notre autonomie en médicaments. Voilà une preuve supplémentaire que nos élites préfèrent servir des intérêts étrangers plutôt que ceux de leurs concitoyens.
Les négociations et les stratégies des lobbies pharmaceutiques
Lors des réunions avec l’administration Trump, le puissant lobby PhRMA a plaidé pour une hausse progressive des taxes douanières, étalée sur plusieurs années. Prétexte officiel : laisser le temps aux industriels de s’adapter. Traduction : gagner du temps, préserver les profits, et éviter le traitement de choc pendant que le petit commerce, lui, s’ajuste sans ménagement.
Rien de nouveau : les multinationales, toujours promptes à imposer des règles aux autres, réclament des passe-droits dès que leurs intérêts sont menacés. Leur stratégie est claire : retarder les mesures, maintenir des marges colossales, et faire payer les hausses aux consommateurs. Pendant ce temps, nos factures explosent et l’État regarde ailleurs.
Selon nos sources, les industriels espèrent que les taxes resteront en deçà des 25 % annoncés. Mais dans un climat d’incertitude chronique, chacun marche sur des œufs. Ce ne serait pas la première fois qu’on agite le pire pour nous imposer une version « adoucie » — qui reste tout de même douloureuse pour notre pouvoir d’achat.
L’entourage de Trump semble désormais envisager une application progressive des droits de douane. Une reconnaissance des réalités industrielles ? Peut-être. Mais attention à ne pas crier victoire trop vite : la volonté de relocaliser reste intacte. Trump ne change pas de cap, il ajuste le rythme — à l’inverse de nos dirigeants européens, qui abandonnent nos chaînes de production les unes après les autres.
Les taxes douanières et leurs impacts sur les patients
Les fabricants de médicaments prétendent que les taxes douanières pourraient amplifier les risques de pénuries et limiter l’accès des patients. Mais Trump, lui, persiste et signe : ces frais sont nécessaires.
La réalité? Ces laboratoires pharmaceutiques, qui empochent des milliards sur notre santé, pleurnichent dès qu’on touche à leur business model. Ils menacent de pénuries pour faire peur aux politiques et aux citoyens lambda.
Trump, contrairement à nos dirigeants européens toujours soumis aux lobbys, l’a bien compris. Son objectif est clair et sensé : relocaliser la fabrication de médicaments aux États-Unis. Pourquoi dépendre de pays étrangers, notamment la Chine, pour des produits aussi vitaux ?
Leçons à tirer de la crise sanitaire
Cette stratégie rappelle tristement ce que la France aurait dû faire avant la crise sanitaire. On se souvient tous comment on s’est retrouvés à mendier des masques et des médicaments à l’international, non?
Cette indépendance pharmaceutique que Trump défend, c’est exactement ce que nos pays devraient rechercher au lieu d’envoyer nos milliards à l’étranger. Reprendre le contrôle sur nos approvisionnements stratégiques n’est pas un luxe, c’est une nécessité vitale pour ne plus jamais être à la merci d’autres puissances.
Une source de l’industrie pharmaceutique, qu’on pourrait qualifier de lobbyiste, révèle en coulisses que le secteur mise beaucoup sur les contraintes réglementaires américaines. Leur stratégie? Exploiter les périodes obligatoires de consultation publique prévues par la loi fédérale pour ralentir la mise en place des nouvelles taxes. Les géants de la pharma cherchent visiblement tous les moyens légaux pour retarder le moment où ils devront mettre la main au portefeuille. On connaît la musique – pendant qu’ils gagnent du temps, c’est l’argent du contribuable qui continue d’alimenter leurs profits exorbitants.
Les investissements des géants pharmaceutiques aux États-Unis
Depuis les derniers mois, plusieurs géants pharmaceutiques se ruent vers le marché américain avec des investissements colossaux dans leurs usines sur le sol US. On parle de milliards de dollars déversés par Johnson & Johnson (JNJ.N), Eli Lilly (LLY.N), AstraZeneca (AZN.L) et GSK (GSK.L) – les mêmes qui nous ont vendu leurs « solutions miracles » pendant la crise sanitaire.
Faut croire que ces multinationales du médicament ont flairé le bon filon après leurs profits records récents. Elles accélèrent maintenant la production de leurs blockbusters pharmaceutiques, ces traitements qui rapportent plus que le pétrole.
Ces groupes, déjà grassement subventionnés par l’argent public pendant la pandémie, continuent d’étendre leur emprise. Pendant que nos PME européennes crèvent sous l’inflation et les charges, ces mastodontes bénéficient probablement d’allègements fiscaux considérables pour « relocaliser » leur production.
Le silence des politiques face à l’influence des Big Pharma
Face à ce matraquage industriel des Big Pharma, nos politiques restent étrangement silencieux. À croire que l’industrie pharmaceutique détient un pouvoir d’influence supérieur à celui des citoyens qui les élisent.
Il est loin le temps où l’on nous parlait de « souveraineté sanitaire européenne ». Les usines françaises ferment, pendant que l’Amérique attire ces investissements. Cherchez l’erreur.
Face à l’imminence des nouvelles taxes américaines qui pourraient frapper les produits européens dès mercredi, plusieurs laboratoires pharmaceutiques ont pris les devants. Des mesures inhabituelles ont été mises en place, avec l’envoi anticipé de médicaments par avion vers les États-Unis. Encore une fois, les tensions commerciales impactent directement notre santé et nos approvisionnements, comme si nous n’avions pas déjà assez souffert des pénuries récentes.
Les stratégies des laboratoires pharmaceutiques européens
Plusieurs géants pharmaceutiques européens ont confirmé ce mois-ci que leurs médicaments seraient touchés par d’éventuelles taxes américaines imposées à l’UE. Sans surprise, ces laboratoires ont délibérément installé leurs principales unités de fabrication hors du territoire américain – encore une manœuvre des multinationales pour échapper aux règles nationales tout en maximisant leurs profits sur le dos des malades.
Un haut cadre d’un laboratoire pharmaceutique européen a lâché l’info : il leur faudrait peu de temps pour booster la production de médicaments qu’ils fabriquent déjà aux États-Unis, même si c’est en quantités limitées actuellement. Encore une preuve que ces géants pourraient facilement répondre aux besoins du marché américain, mais préfèrent maintenir la rareté – et les prix élevés. Comme par hasard…
Ces mêmes labos qui nous ont vendu leurs « solutions miracles » pendant la crise sanitaire tardent mystérieusement quand il s’agit d’assurer l’approvisionnement régulier en traitements essentiels. Pourtant, ce dirigeant l’admet lui-même : techniquement, rien ne les empêche d’augmenter rapidement leurs capacités.
À quand une vraie souveraineté pharmaceutique, loin des manipulations de ces multinationales qui jouent avec notre santé? En attendant, les Américains, comme les Européens d’ailleurs, continuent de subir les pénuries et les hausses de prix, pendant que nos taxes financent l’innovation de ces entreprises via des subventions colossales.
Le plus révoltant reste cette transparence soudaine : ils avouent sans honte que tout pourrait aller plus vite. Mais les profits passent visiblement avant les patients. À méditer quand nos politiques nous vantent les « partenariats public-privé » dans le domaine de la santé…
Néanmoins, la relocalisation des chaînes de production médicamenteuse dans les usines américaines existantes – pour les médicaments actuellement fabriqués à l’étranger mais destinés au marché US – prendra minimum deux ans, d’après les industriels interrogés.
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