Trump ferme l’agence fédérale de « lutte contre la désinformation » !

La fin du Global Engagement Center marque un tournant : Trump démantèle un outil accusé de censure pour lutter contre la désinformation. La fin du Global Engagement Center marque un tournant : Trump démantèle un outil accusé de censure pour lutter contre la désinformation.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Trump abolit le Global Engagement Center, outil de censure déguisé en lutte contre la désinformation. Une promesse tenue contre l’establishment.
  • Les Twitter Files révèlent l’ingérence fédérale pour museler les opinions dissidentes. Une menace pour la liberté d’expression dénoncée par Rubio.
  • Washington met la pression sur Bruxelles pour abandonner le DSA. Une diplomatie au service de la liberté d’expression.

Le budget du Counter Foreign Information Manipulation and Interference – qui s’appelait avant Global Engagement Center (GEC) – avait déjà pris un sacré coup en décembre 2024. Souvenez-vous : c’était lors de cet accord de dernière minute pour éviter que l’administration américaine ne ferme boutique.

Sans surprise, cet organisme, qui prétendait « lutter contre la désinformation », n’était qu’un outil de censure à peine déguisé.

Il ne faut pas se leurrer : sous couvert de protéger la démocratie, il dictait aux plateformes ce qu’on avait le droit de dire ou pas.

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Les Twitter Files ont bien montré comment cette agence fédérale opérait dans l’ombre pour museler les opinions dissidentes. Que ce soit sur la crise sanitaire ou le conflit ukrainien, le schéma restait identique : étiqueter comme « désinformation » tout ce qui s’écartait du récit officiel.

Trump l’avait bien compris, lui qui a toujours défendu la liberté d’expression contre l’establishment washingtonien. Sa décision récente montre qu’il tient ses promesses, contrairement aux politiciens traditionnels qui nous vendent du rêve puis nous trahissent sitôt élus.

Cerise sur le gâteau : l’administration Trump fait aussi pression sur Bruxelles pour abandonner ses réglementations liberticides comme le DSA.

Les bureaucrates européens, qui nous imposent leurs diktats depuis trop longtemps, vont peut-être enfin reculer face à cette vague de bon sens venue d’outre-Atlantique.

Rubio salue la fin du Global Engagement Center et dénonce la censure fédérale

Rubio balance les dossiers :

« Cette arnaque nous a coûté plus de 50 millions de dollars par an – des millions balancés pour bâillonner et censurer les Américains qu’ils prétendaient servir », fulmine le sénateur.

Des impôts gaspillés en censure, au lieu de bosser pour le peuple… comme d’habitude. C’est toujours nous qui payons quand l’État joue au grand Inquisiteur.

Heureusement que cette mascarade est enfin terminée !

This is a deeply misleading & unserious portrayal of an organization focused on identifying foreign — primarily Russian — disinformation ops. Equally unseriously, this Administration can’t quite figure out « principal » vs « principle. » It’s almost like they have no principles.

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Évidemment, l’ancien porte-parole cherche à défendre sa boutique. Mais comment croire ces gens qui ont systématiquement censuré toute voix dissidente pendant des années ?

Les documents fuités ont démontré sans ambiguïté que cette « structure » n’avait qu’un seul but : museler les opinions contraires au récit officiel.

Les médias mainstream restent silencieux face à cette réalité dérangeante : les agences gouvernementales américaines ont bel et bien manipulé l’information à grande échelle.

Les aveux des patrons de plateformes devant le Congrès ne mentent pas : la collaboration entre cette « structure » et les géants du web a créé un système de censure sans précédent.

Et maintenant qu’on dévoile leur petit manège, ils crient au scandale !

Je me demande bien comment Price expliquera les milliers de pages de preuves accablantes qui montrent l’ingérence de son agence dans le débat public. Trop facile de parler de « description trompeuse » quand on est pris la main dans le sac.

Rubio critique les pratiques européennes

Dans un entretien au site Foundation for Freedom Online – diffusé ensuite par son propre ministère – Rubio lâche une bombe :

« Les économies réalisées grâce à la fermeture de ce service alimenteront désormais la diffusion d’un message pro-américain qui va défendre la liberté d’expression, menacée partout, même chez nos alliés. »

Curieusement, il ne mentionne ni la Chine ni la Russie parmi les menaces.
Il vise plutôt, sans les nommer, des « cas » en Europe occidentale où :

« Des gens publient quelque chose en ligne, puis la police débarque chez eux et hop, soixante jours de prison. »

Rubio semble donc moins inquiet des régimes autoritaires que de leurs prétendus « amis » européens. Ce n’est pas étonnant quand on connaît les dérives liberticides de Bruxelles ces dernières années.

Difficile de ne pas y voir une critique à peine voilée de l’UE et de son arsenal de contrôle de l’information – que beaucoup n’hésitent plus à qualifier de censure pure et simple.

Tensions entre Washington et Bruxelles

« Si un pays, ou un groupe de pays comme l’UE (…), s’attaque à des Américains pour leurs paroles, ça devient un vrai problème pour les États-Unis, et même plus que ça », a-t-il lâché. « On ne peut pas vraiment travailler ensemble (…) s’ils s’en prennent non seulement à quelqu’un de célèbre comme Elon [Musk], mais à n’importe qui », a prévenu Rubio, faisant allusion aux menaces de la Commission européenne contre le patron de X, qui allait simplement interviewer Donald Trump sur sa plateforme.

« Ça pourrait aller jusqu’à menacer potentiellement des hauts fonctionnaires américains », a-t-il conclu.

Les propos cinglants de Rubio révèlent l’agacement grandissant face aux tentatives européennes de museler les voix américaines. L’affaire Musk n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Derrière ces intimidations transparaît la volonté des bureaucrates non élus de l’UE d’étendre leur contrôle sur la parole publique, même au-delà de leurs frontières.

Une ambition dangereuse, qui rappelle – sans le dire – les méthodes de censure qu’on croyait révolues.

Une diplomatie au service de la liberté d’expression

En marge des négociations sur l’Ukraine, Rubio annonce une offensive diplomatique claire :

« Vous allez voir que nous continuons à mettre l’accent là-dessus dans notre diplomatie. »

Il place désormais la liberté d’expression au centre des discussions avec les dirigeants européens. Une rupture nette avec les années passées où Washington fermait les yeux sur les dérives européennes.

Rubio, attendu à Paris, ne mâche pas ses mots :

« Les Européens sont devenus les champions de la censure sous couvert de lutte contre la désinformation. »

L’équipe Trump n’est visiblement plus prête à tolérer cette hypocrisie.

La fin de l’agence de censure

Cette prise de position coïncide parfaitement avec la fermeture définitive de l’agence fédérale américaine de « lutte contre la désinformation ».

L’administration Trump passe des paroles aux actes, en appliquant chez elle ce qu’elle exige désormais de ses alliés.

Le Global Engagement Center, né en 2016, était depuis longtemps dans le viseur des républicains.

Elon Musk l’avait qualifié de « pire censeur au sein de l’État américain », et même de « véritable menace pour la démocratie ».

La fin du Global Engagement Center marque un tournant : Trump démantèle un outil accusé de censure pour lutter contre la désinformation.

L’UE suivra-t-elle cet exemple ? Pas sûr. Avec des lois comme le DSA, les citoyens européens sont de plus en plus soumis à une forme de « police de la pensée ».

Ironie du sort, la disparition du GEC intervient alors que les médias agitent à nouveau l’épouvantail des « campagnes de désinformation » chinoises ou russes. Quelle coïncidence…

Le passé controversé du GEC

Le GEC avait été créé juste avant la première victoire de Trump, en pleine hystérie autour d’une prétendue ingérence russe. Souvenez-vous du rapport Mueller de 2019…

Mais sous couvert de « protection démocratique », cette agence dictait à Twitter et Facebook ce qu’il fallait censurer. Un peu gros, non ?

Finalement, Trump tient parole en démantelant cet outil de contrôle narratif.
Une bonne nouvelle pour tous ceux qui défendent la liberté d’expression, sans filtres ni manipulations.

Le coup de balai au FBI

Dans la même logique, Trump vient de fermer l’unité du FBI chargée de traquer les « ingérences étrangères » dans les élections.

Ce service, censé « protéger la démocratie », servait surtout à cibler les opinions dissidentes.

Fini la chasse aux sorcières contre les médias alternatifs ! Cette fermeture est une victoire pour la libre circulation des idées.

On se souvient de leur rôle dans l’affaire Hunter Biden, étouffée sous prétexte de « désinformation russe ».

Trump montre ici qu’il ne reculera pas. Plus question de laisser une « police de la pensée » décider à notre place.

La disparition du Global Engagement Center n’est pas qu’une mesure administrative : c’est un signal fort en faveur d’un retour à une information libre et non filtrée.

En tournant la page de cette structure controversée, l’administration Trump envoie un message clair à ses partenaires internationaux et à ses opposants : la censure ne sera plus tolérée au nom de la démocratie.

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