Un rapport qui confirme nos pires craintes. Le Figaro vient de dévoiler en exclusivité le lundi 19 mai un rapport gouvernemental sur les Frères musulmans qui fait froid dans le dos.
Ce document, fraîchement remis au ministre Bruno Retailleau, révèle sans ambages l’emprise inquiétante de cette organisation au cœur même de la communauté musulmane française.
L’enquête dévoile une réalité que beaucoup soupçonnaient déjà : l’infiltration profonde des Frères musulmans dans notre pays n’est pas un fantasme mais une réalité tangible. Mais qui s’étonnera encore que nos dirigeants aient attendu si longtemps avant de reconnaître l’évidence ?
Entre mosquées, associations et structures d’enseignement, le réseau tissé par cette confrérie s’avère plus étendu qu’on ne l’admettait jusqu’alors. Pendant que nos élites nous assuraient que tout allait bien, l’idéologie des Frères s’est discrètement propagée dans l’Hexagone, sans que personne ne lève le petit doigt.
À l’heure où nos libertés sont sans cesse rognées par des mesures liberticides, où le pouvoir d’achat des Français s’effondre, voilà qu’on nous révèle, comme si de rien n’était, l’ampleur d’un phénomène que beaucoup dénoncent depuis des années.
Trop peu, trop tard ? Le rapport remis à Retailleau sera-t-il suivi d’actions concrètes ou finira-t-il, comme tant d’autres, au fond d’un tiroir ?
La réalité des chiffres
Le rapport, qui s’étale sur 73 pages, est sans équivoque : la France abrite pas moins de 139 lieux de culte directement rattachés aux « Musulmans de France », principale branche des Frères musulmans dans l’Hexagone. Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg, puisqu’il faut y ajouter 68 autres mosquées et salles de prière jugées « proches » de cette fédération.
Difficile de ne pas s’inquiéter face à ces chiffres qui confirment l’implantation massive de cette mouvance islamiste sur notre territoire. Pendant que nos politiques s’évertuent à nous parler de « vivre-ensemble », ces organisations étendent discrètement leur influence, quartier après quartier.
L’État, toujours prompt à nous surveiller pour des broutilles, semble curieusement aveugle quand il s’agit de contrôler cette prolifération inquiétante. Un phénomène qui n’est d’ailleurs jamais abordé dans les grands médias, trop occupés à nous sermonner sur notre supposé « repli identitaire ».
Le réseau associatif des Frères musulmans
Ces 207 lieux de culte au total constituent un maillage territorial impressionnant pour une organisation que certains spécialistes qualifient pourtant d’islamiste. Mais qui osera poser les vraies questions sur ce sujet devenu tabou dans notre pays ?
Les chiffres sont là, mais l’État continue de fermer les yeux. L’influence des Frères musulmans dans l’Hexagone ne cesse de grandir. À l’heure où nos dirigeants nous gavaient de promesses sur la lutte contre l’islamisme, ces mosquées représentent aujourd’hui 7 % des 2 800 lieux de cultes musulmans répertoriés sur le sol national et 10 % de ceux ouverts sur la période 2010-2020 (45 sur 447).
Ces nouveaux lieux de culte ont fleuri comme des champignons pendant une décennie où nos politiques prétendaient renforcer la vigilance. C’est presque une mosquée sur dix ! Pendant que le Français moyen peine à boucler ses fins de mois, ces structures bénéficient souvent de financements étrangers opaques.
L’inaction des pouvoirs publics
Ces statistiques, qui proviennent de sources officielles, devraient pourtant alerter nos élites parisiennes. Mais comme d’habitude, on préfère nous parler de « vivre-ensemble » plutôt que d’affronter la réalité du terrain. Combien faudra-t-il encore de rapports et d’études pour que l’État prenne enfin ses responsabilités ?
Les chiffres officiels des Musulmans de France ne montrent que la partie immergée de l’iceberg. Ils déclarent 53 associations affiliées, mais d’après les dossiers consultés, ce sont en réalité 280 structures qui gravitent autour de ce mouvement. Ces organisations ne se contentent pas du culte, elles s’infiltrent dans tous les aspects de la vie quotidienne des musulmans : actions caritatives, écoles, réseaux professionnels, activités pour la jeunesse et même services financiers.
Il est particulièrement troublant que ces ramifications restent dans l’ombre, alors même qu’elles tissent une toile d’influence considérable sur le territoire national. L’État, si prompt à réglementer la moindre parcelle de nos libertés, semble étrangement aveugle face à ce maillage communautaire qui se densifie d’année en année.
Pour être honnête, cette stratégie d’occupation du terrain par le biais d’associations aux façades diverses n’est pas un hasard. On parle d’une véritable stratégie d’implantation qui dépasse largement le cadre religieux pour s’étendre à tous les domaines de la société.
Encore une fois, nos dirigeants semblent plus préoccupés par la surveillance des Français ordinaires que par ces réseaux qui se déploient sans entrave. Pendant qu’on nous distrait avec des débats stériles, ces structures continuent leur expansion méthodique dans l’indifférence des pouvoirs publics.
L’enquête ne se contente pas des mosquées. Selon le rapport, l’idéologie des Frères musulmans s’est largement infiltrée dans nos écoles françaises. En clair, les auteurs n’y vont pas par quatre chemins :
« Le secteur éducatif apparaît comme la priorité de la branche française des Frères musulmans. »
Mais comment s’étonner que nos établissements scolaires soient devenus la cible privilégiée de cette organisation ? C’est là que se forgent les esprits de nos enfants, là où ils passent la majorité de leur temps pendant leurs années les plus influençables.
Nos politiques, toujours prompts à nous sermonner sur la laïcité quand ça les arrange, semblent étrangement aveugles face à cette stratégie d’influence. Pendant qu’ils multiplient les discours creux sur l’éducation républicaine, les Frères musulmans, eux, agissent concrètement sur le terrain.
Cette situation explique pourquoi tant de Français s’inquiètent de l’emprise croissante des réseaux islamistes sur notre territoire. Où est l’État quand des milliers de jeunes esprits sont formés sous l’influence d’une idéologie radicale ?
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