Nouvelle campagne de vaccination Covid en Ehpad : écouler les stocks avant péremption

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Début d’une nouvelle campagne de vaccination Covid en Ehpad, visant les aînés jusqu’au 14 juin. Objectif principal : écouler les stocks avant péremption.
  • Les autorités sanitaires cherchent à rentabiliser les doses achetées à prix d’or, malgré les effets secondaires inquiétants rarement évoqués dans les médias.
  • Les résidents d’Ehpad et les personnes vulnérables ciblées, mais les questions sur l’utilité et la sécurité des vaccins restent sans réponse.

La nouvelle campagne de vaccination Covid a démarré ce lundi et cible les aînés et personnes vulnérables jusqu’au 14 juin.

Après plusieurs mois d’accalmie médiatique sur le front du Covid, revoilà les seringues qui pointent leur nez. Démarre donc une nouvelle campagne de vaccination, et comme toujours, c’est sous couvert de santé publique qu’on tente de justifier le retour de l’aiguille. Officiellement, elle vise nos aînés, les résidents d’Ehpad, et les personnes « vulnérables » – ce concept flou et extensible à volonté, dégainé dès qu’il faut justifier des mesures qui passent de moins en moins dans l’opinion.

Vaccination Ehpad 2025 : priorité aux frigos, pas aux patients

Mais derrière les bons sentiments, l’urgence est ailleurs. Les autorités sanitaires peinent à cacher leur embarras face aux montagnes de doses achetées à prix d’or et qui approchent dangereusement de leur date de péremption. Des milliards d’euros de vaccins risquent de finir à la poubelle si on ne trouve pas rapidement des bras où les injecter. Ce n’est donc plus une campagne de santé publique, mais une course contre la date limite de consommation.

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Et comme par enchantement, les « personnes à risque » redeviennent une priorité nationale. Même les proches de ces publics fragiles sont appelés à se faire vacciner, histoire de vider les congélateurs de l’État. Le message est clair : il ne faut rien gâcher, peu importe si ces doses sont encore utiles, ou même souhaitables.

Un silence assourdissant sur les effets secondaires

Ce retour en douce des campagnes vaccinales intervient alors même que les révélations sur les effets secondaires s’accumulent. Thromboses, myocardites, troubles neurologiques, problèmes menstruels… La liste s’allonge, mais dans les grands médias, c’est silence radio. Des milliers de témoignages affluent sur les réseaux sociaux, relayés par des associations, par des soignants eux-mêmes, mais rien n’y fait : la ligne officielle reste inébranlable.

On comprend mieux pourquoi cette relance se fait discrètement, sans les grandes messes médiatiques des précédentes vagues. Cette fois, il ne s’agit pas d’un « effort collectif » ou d’un « acte citoyen ». Il s’agit de rendre rentable ce qui a été massivement commandé, parfois en plusieurs exemplaires par habitant.

Des questions sans réponse

Ce retour du vaccin anti-Covid soulève d’autres questions tout aussi dérangeantes : où sont passées les promesses d’immunité collective ? Pourquoi continuer à cibler les mêmes populations fragiles si les précédentes doses étaient supposées les protéger ? Et surtout, pourquoi s’obstiner alors que le virus a muté, que sa dangerosité n’a plus rien à voir avec celle de 2020, et que les effets secondaires sont aujourd’hui documentés, même par certains fabricants eux-mêmes ?

Mais le gouvernement, fidèle à ses méthodes, préfère nous répéter que « tout est sous contrôle », que « les gestes barrières restent utiles », et surtout, que la piqûre est « fortement recommandée ». En réalité, c’est le même discours éculé, récité mécaniquement, sans jamais répondre au fond du malaise vaccinal qui grandit dans l’opinion.

Une campagne aux allures d’opération comptable

Alors que l’inflation continue de vider les portefeuilles et que les Français peinent à joindre les deux bouts, nos dirigeants semblent bien plus préoccupés par la rentabilisation de leurs contrats pharmaceutiques que par le bien-être réel de la population. Une chose est sûre : cette nouvelle campagne ressemble davantage à une opération comptable déguisée en mesure de santé publique.

Et pendant ce temps, le coût réel de cette campagne – pourtant qualifiée de « gratuite » – continue de peser sur les finances publiques. Il faut le rappeler : la gratuité n’est qu’une façade, car ce sont nos impôts qui financent l’achat, le stockage, la distribution et l’administration de ces vaccins.

La stratégie du frigo vide

L’an dernier déjà, les autorités sanitaires avaient sorti la même carte : une campagne express juste avant l’été, soi-disant motivée par une reprise de la « circulation virale ». Drôle de coïncidence quand on sait que les dates de péremption des stocks approchaient elles aussi dangereusement…

En réalité, on assiste à un scénario qui se répète. On agite les peurs, on exhume le vieux discours de la responsabilité collective, et on appelle à la solidarité… sauf que cette fois, les Français sont fatigués, méfiants, voire franchement réfractaires.

Ehpad : premières cibles de la campagne vaccinale 2025, comme toujours

Les pensionnaires d’Ehpad, d’USLD ou de résidences autonomie n’ont même plus besoin de se déplacer. Ils recevront leur dose directement dans leur structure, avec l’enthousiasme qu’on imagine. D’ailleurs, ces établissements sont systématiquement les premiers à être visés à chaque nouvelle relance vaccinale. On ne demande pas leur avis, on administre, et on coche les cases.

Une aubaine pour les laboratoires qui cherchent à écouler leurs lots restants, et une méthode bien rodée pour ne pas perdre une seule fiole.

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Le réseau vaccinal reste surarmé

Pour le reste de la population, le maillage des points d’injection reste spectaculaire. Médecins généralistes, pharmaciens, infirmiers libéraux, sages-femmes, hôpitaux… Tous sont prêts à dégainer le sérum, malgré une demande en chute libre.

Et pourtant, les effets secondaires commencent à faire l’objet de révélations officielles dans plusieurs pays européens. Personne n’en parle sur les plateaux télé, mais les documents internes de certains fabricants – désormais rendus publics suite à plusieurs procès – montrent des risques bien plus élevés que ceux initialement communiqués.

Une campagne qui patine

Malgré tous les efforts de relance, les chiffres parlent d’eux-mêmes. En 2024, à peine 450 000 Français s’étaient fait vacciner lors de la campagne de renouvellement avant l’été, selon le ministère de la Santé. Une goutte d’eau, comparée aux millions de doses en attente d’écoulement.

Et pourtant, la propagande continue, avec les mêmes éléments de langage usés jusqu’à la corde : « le vaccin protège », « les gestes barrières sauvent des vies », « restons vigilants »… Mais plus personne n’écoute. Pire, ceux qui posent des questions sont immédiatement catalogués comme complotistes ou irresponsables.

Jusqu’où ira-t-on ?

Combien de temps encore va-t-on nous demander de tendre le bras sans poser de questions ? Combien de rappels, de boosters, de versions « actualisées » faudra-t-il pour que l’on admette que la stratégie vaccinale actuelle est un échec ?

Ce n’est pas en forçant, en mentant par omission ou en recyclant des discours dépassés que l’on regagnera la confiance du public. Ce n’est pas non plus en usant les Ehpad comme des laboratoires à ciel ouvert que l’on fera preuve d’humanité.

La campagne de vaccination Ehpad 2025 confirme ce qu’on soupçonnait : la santé publique passe après la gestion des stocks. Derrière le vernis du « geste citoyen », on trouve des piqûres administrées en mode automatique, sans débat, dans des établissements où l’on vaccine d’abord, et où l’on demande après. Ce n’est plus de la prévention, c’est de la logistique pharmaceutique. Et pendant ce temps, la confiance s’effondre, dose après dose.

IMPORTANT - À lire

Derrière les campagnes vaccinales, une logique comptable qui soulève bien des questions. Notre revue papier vous propose chaque mois des analyses approfondies pour décrypter l'actualité au-delà des discours officiels.

Effets secondaires, stratégies d'écoulement des stocks, pression sur les Ehpad... Nos dossiers détaillés vous donnent les clés pour comprendre les enjeux cachés de ces campagnes de vaccination.


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