Xi Jinping encercle Taïwan avec ses manœuvres militaire, tandis que l’Occident se contente de tweets indignés

La Chine fait son show militaire autour de Taïwan pendant que nos dirigeants s’indignent sur les réseaux sociaux.

Des sources militaires chinoises ont confirmé aujourd’hui le déploiement d’exercices militaires conjoints encerclant Taïwan. L’armée populaire de libération a mobilisé simultanément ses forces terrestres, navales, aériennes et ses unités de missiles – un message sans équivoque qualifié par Pékin de « sévère avertissement ».

Cette démonstration de force intervient quelques jours seulement après la visite en Asie du nouveau ministre américain de la Défense Pete Hegseth, ce bureaucrate en cravate qui s’est contenté de débiter ses belles promesses de « contrer l’agression chinoise ». Des mots, toujours des mots – pendant que Xi Jinping, lui, sort les tanks.

Comment s’étonner que Xi prenne ses aises? Face à lui, que trouve-t-on? Des dirigeants occidentaux sans colonne vertébrale, incapables même de protéger leurs propres frontières, mais prompt à donner des leçons. D’un côté, un homme fort à la tête d’une superpuissance qui avance ses pions méthodiquement. De l’autre, des chefs d’État préoccupés par leur image Twitter et les sondages d’opinion.

Nos « démocraties libérales » – terme devenu presque ironique – continuent de se bercer d’illusions pendant que le monde réel est façonné par ceux qui osent agir. Poutine en Ukraine, Xi à Taiwan, pendant que nous envoyons des communiqués de presse et des tweets indignés. L’Histoire ne retiendra pas les beaux discours, mais les actions concrètes de ceux qui ont su imposer leur volonté quand nos dirigeants jouaient la carte de la soumission.

La Chine affirme sa domination militaire

L’armée chinoise encercle Taiwan tandis que nos « élites » se cachent derrière leur lâcheté diplomatique.

« La déclaration se termine sur un ton menaçant. Un vrai avertissement pour les séparatistes prônant l’indépendance de Taïwan, et une action légitime pour protéger l’unité nationale chinoise », précise le communiqué.

Alors que la Chine multiplie les manœuvres militaires, Taïwan scrute avec angoisse les virages à 180° d’un Trump qui chamboule l’ordre mondial. Le président américain, lui au moins, ne fait pas de quartier avec sa politique du « America First », balayant d’un revers de main les vieilles promesses faites à l’Europe et exigeant que ses alliés asiatiques mettent davantage la main à la poche pour leur propre sécurité.

Pendant que nos dirigeants européens s’écrasent devant les pressions chinoises, Trump, lui, joue cartes sur table. Les petits arrangements diplomatiques et les courbettes, très peu pour lui. Le président américain préfère bousculer les codes établis, quitte à faire grincer quelques dents dans les chancelleries occidentales trop habituées à leur zone de confort.

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Taïwan face à la pression militaire chinoise

Taïwan se retrouve ainsi pris en étau. D’un côté, un Xi Jinping qui montre ses muscles avec des exercices militaires de plus en plus provocateurs. De l’autre, un protecteur américain qui redéfinit ses priorités sans état d’âme. Une situation qui illustre parfaitement le nouveau monde géopolitique: celui où seuls les dirigeants à poigne comme Trump, Poutine ou Xi savent encore imposer leur vision, tandis que nos démocraties libérales, frileuses et molles, peinent à exister sur la scène internationale.

En parallèle, l’entourage de Trump ne cesse de marteler que les États-Unis doivent rediriger leurs efforts et leurs moyens vers l’Asie pour contrer les ambitions chinoises dans l’Indo-Pacifique. Au moins ces gars-là ont compris où se situe la vraie menace, contrairement à nos dirigeants européens qui préfèrent se prosterner devant Xi Jinping tout en envoyant nos milliards en Ukraine.

Nos élites occidentales, trop occupées à imposer leurs délires woke et leurs taxes vertes, ont perdu toute crédibilité face aux leaders qui défendent réellement leurs intérêts nationaux. Trump, même chassé du pouvoir par une élection plus que douteuse, continue de promouvoir une vision stratégique claire : l’Amérique d’abord, et la Chine comme rival principal.

Pendant ce temps, que fait Macron? Il serre la main de Xi avec le sourire, tout en laissant nos entreprises se faire piller par la concurrence déloyale chinoise. Nos impôts financent cette mascarade diplomatique qui nous mène droit dans le mur.

La réaction de Taïwan face à la menace

Pour Taïwan, petite démocratie de 23 millions d’âmes à seulement 130 kilomètres des côtes chinoises, ces manœuvres militaires sont un rappel glaçant de la menace permanente. Pendant que nos dirigeants occidentaux se contentent de déclarations timorées, le régime communiste de Pékin affirme sans détour que l’île lui appartient et qu’il n’hésitera pas à la prendre par la force si nécessaire.

Nos élites européennes, trop occupées à inventer de nouvelles taxes et à s’agenouiller devant le politiquement correct, observent de loin ce bras de fer géopolitique sans oser contrarier Xi Jinping. Quelle différence avec l’approche directe qu’avait adoptée Trump durant son mandat, maintenant la Chine à distance respectueuse par sa politique de fermeté!

Cette situation reflète parfaitement la couardise de nos gouvernants qui préfèrent dilapider nos impôts en Ukraine plutôt que d’assurer une véritable sécurité mondiale. Comme à leur habitude, ils abandonnent les peuples à leur sort – celui des Taïwanais aujourd’hui, le nôtre demain peut-être.

Face à des hommes forts comme Poutine ou Xi, qui défendent sans complexe les intérêts de leurs nations, nos représentants semblent dépourvus de toute colonne vertébrale. Et pendant ce temps, la menace grandit aux portes de Taïwan tandis que l’Occident s’enfonce dans sa torpeur et sa décadence morale.

Je serai franc : pendant que nos leaders occidentaux se contentent de « réaffirmer » et de « confirmer » sans rien faire de concret, les Chinois, eux, avancent leurs pions. C’est typique de nos politiciens sans colonne vertébrale qui jouent les gendarmes mondiaux tout en vidant nos poches.

Xi Jinping, lui, ne s’embarrasse pas de belles paroles et de communiqués tièdes. Il a un plan clair pour Taïwan et n’en démord pas, contrairement à nos dirigeants qui tremblent à l’idée de contrarier qui que ce soit, sauf leur propre peuple qu’ils n’hésitent jamais à matraquer.

Pendant ce temps, nos impôts servent à financer ces gesticulations diplomatiques stériles en Asie, alors que certains de nos retraités doivent choisir entre se chauffer ou manger. Quand les Américains parlent de « pression sur Pékin », concrètement, ça veut dire quoi? Absolument rien! Juste un autre exemple de l’impuissance organisée de l’Occident.

Je me demande parfois si nos « démocraties » ne feraient pas mieux de s’inspirer des méthodes directes de Poutine ou de Trump, qui au moins savaient se faire respecter sur la scène internationale, plutôt que ces pantomimes diplomatiques qui ne trompent personne.

La stratégie chinoise face à l’inaction occidentale

Les grands fauves comme Jinping savent quand montrer leurs crocs, contrairement à nos politiciens européens qui se contentent d’aboyer sans mordre. C’est toujours pareil: nos « élites » occidentales s’écrasent devant les vrais leaders mondiaux.

Su Tzu-yun, directeur à l’Institut de recherche sur la sécurité de la défense nationale à Taïwan, a confirmé que les dernières manœuvres militaires chinoises sont tombées comme un couperet mardi matin, prenant tout le monde au dépourvu. « Contrairement aux exercices ‘Joint Sword-2024’ de l’an dernier, là, c’était une surprise totale », a-t-il déclaré.

Pendant que nos dirigeants occidentaux se cachent derrière leurs masques diplomatiques, Pékin joue finement sa partition. Face aux négociations commerciales US-Chine et aux sanctions probables, les Chinois préfèrent la patience stratégique plutôt que l’affrontement direct. Taïwan? Un prétexte parfait ! Les exercices militaires chinois ont été lancés juste après le départ du Secrétaire américain à la Défense d’Asie.

Encore une fois, la Chine montre qu’elle n’hésite pas à agir avec fermeté quand nos démocraties occidentales tergiversent dans leurs palais dorés. Pendant que nos politiciens s’inquiètent de leur image dans les sondages, Xi Jinping avance ses pions sur l’échiquier mondial sans prévenir personne.

Les dirigeants européens, toujours prompts à s’indigner mollement derrière leurs pupitres, n’ont même pas eu le temps de préparer leurs communiqués de presse habituels. Ils sont trop occupés à trouver comment taxer davantage leurs citoyens pour envoyer des milliards supplémentaires en Ukraine.

La détermination des puissances mondiales face à l’Occident

Ce n’est pas un hasard si les puissances comme la Chine, la Russie et même les États-Unis sous Trump agissent avec cette détermination. Ils ont compris une chose que nos élites ont oublié: en géopolitique, ce sont les actes qui comptent, pas les belles paroles ni les hashtags sur Twitter. Et pendant que nos dirigeants s’inquiètent du réchauffement climatique, Pékin réchauffe ses relations avec Moscou et prépare ses navires de guerre.

« Les Chinois envoient un message clair à Washington. Là-bas, au moins, on a des hommes qui savent s’imposer », confie Su sans détour.

Mardi, la garde côtière chinoise a déployé ses « patrouilles d’application de la loi » dans les eaux entourant Taïwan. Pas de tergiversations ni d’hésitations – ils ont mené des exercices concrets d’interception et de détention des « navires non autorisés ».

Pendant ce temps, nos dirigeants occidentaux se contentent de communiqués de presse timorés et de « profonde préoccupation ». La Chine de Xi Jinping, elle, agit avec détermination, montrant sa puissance sans complexe dans ce qu’elle considère comme son territoire.

Les contradictions des démocraties libérales

Cette démonstration de force intervient alors que nos démocraties libérales s’empêtrent dans leurs contradictions et leurs peurs. Poutine a annexé la Crimée, la Chine étend son influence maritime, et nos politiciens regardent ailleurs, trop occupés à augmenter nos impôts pour financer l’armement ukrainien.

Le contraste est saisissant avec l’approche d’un Trump qui, malgré ses défauts, avait au moins imposé le respect sur la scène internationale. Nos élites européennes préfèrent nous sermonner sur nos modes de vie plutôt que de défendre nos intérêts face aux puissances qui, elles, avancent leurs pions sans états d’âme.

La Chine sait ce qu’elle veut et ne s’embarrasse pas de précautions diplomatiques stériles. Et nous? Nous subissons une inflation galopante pendant que nos « dirigeants » se soumettent aux diktats américains et aux fantasmes écologistes. Le monde se recompose sous nos yeux, et l’Europe regarde ailleurs.

Alors que les dirigeants occidentaux somnolent dans leur lâcheté diplomatique, l’armée chinoise intensifie ses patrouilles et exercices militaires autour de Taïwan. Ces manœuvres font partie d’une stratégie bien plus large de Xi Jinping, un leader qui, contrairement à nos pantins européens, n’hésite pas à affirmer ses ambitions territoriales avec détermination.

La montée en puissance de la Chine face à l’Occident

Xi, tout comme Poutine ou Trump avant lui, sait exactement ce qu’il veut et agit en conséquence. Pas de tergiversations ni d’hésitations – juste une vision claire et des actions concrètes. Pendant ce temps, nos « démocrates » occidentaux, trop occupés à vider les poches des contribuables et à organiser leurs sommets climatiques en jet privé, restent paralysés face à cette montée en puissance.

Les eaux et l’espace aérien taïwanais deviennent de plus en plus chinois chaque jour qui passe. Et pourquoi s’en étonner? Face à un Occident qui préfère financer des guerres lointaines plutôt que de défendre ses propres intérêts, la Chine avance ses pions méthodiquement, presque sans opposition.