USAID/AFP : LA FRANCE AU CŒUR DE LA CORRUPTION DE L’INFORMATION INFILTRÉE PAR LA CIA ! | GPTV

Le 10 février à 12h30, Nicolas Stoquer révèle comment l’AFP, financée par l’USAID et Facebook, verrouille l’information et impose la propagande mondialiste.

L’AFP, organe central du contrôle de l’information

L’Agence France-Presse (AFP) impose un monopole absolu sur la production et la diffusion des dépêches en France et bien au-delà. Chaque jour, les rédactions des grands médias attendent ses publications pour bâtir leurs articles, sans jamais remettre en question la véracité ou les angles imposés. Ce mécanisme assure une uniformisation totale du discours médiatique, annihilant toute diversité d’analyse et verrouillant toute remise en cause du narratif officiel.

L’AFP ne se contente pas d’informer, elle oriente. Ses choix éditoriaux favorisent systématiquement les intérêts des élites mondialistes, de l’Union européenne aux grandes institutions financières et politiques transnationales. Lorsqu’un sujet sert ces agendas, il est amplifié à l’extrême. Lorsqu’un événement dérange, il est minimisé ou tout simplement passé sous silence. Cette propagande institutionnalisée fait de l’AFP le chef d’orchestre d’une machine à désinformer, où la vérité n’a aucune place si elle contredit les objectifs du système.

Le cas le plus flagrant est l’absence totale de couverture médiatique sur la corruption de l’AFP elle-même. Aucune enquête, aucun questionnement dans les grands médias : la machine se protège en bloquant toute remise en cause de son propre rôle. Ce silence complice prouve à quel point l’AFP agit comme une boîte noire de la désinformation, verrouillant l’ensemble du paysage médiatique.

Une agence sous influence étrangère et financée par la censure

L’AFP ne fonctionne pas en vase clos. Derrière son apparente indépendance, elle est largement financée par des acteurs aux intérêts bien définis, qui s’assurent ainsi d’influer directement sur la ligne éditoriale mondiale. Parmi eux, l’USAID joue un rôle central. Officiellement une agence d’aide au développement, elle est en réalité un outil de soft power de Washington, historiquement lié aux opérations d’influence et de déstabilisation orchestrées par la CIA. Son financement de 447 000 euros versé à l’AFP en est la preuve tangible : l’agence française est sous contrôle américain.

Mais l’USAID n’est qu’un des nombreux bailleurs de fonds de la désinformation orchestrée par l’AFP. Facebook, via son programme de « fact-checking », a injecté pas moins de 8 millions d’euros pour garantir la neutralisation des discours dissidents. L’objectif est simple : imposer une vérité officielle et censurer toute analyse qui s’en écarte. Derrière la façade du « fact-checking », l’AFP joue en réalité le rôle de bras armé de la répression médiatique, validant ou discréditant arbitrairement les informations selon les intérêts de ses financeurs.

Cette soumission à des puissances étrangères ne s’arrête pas à l’AFP. En France, 182 ONG reçoivent des financements directs de l’USAID, prouvant l’ampleur de l’infiltration américaine dans la sphère politico-médiatique française. Loin d’être un simple partenaire extérieur, Washington s’assure, par le biais de ces subventions, que la France reste alignée sur ses intérêts stratégiques, et ce, jusque dans la fabrication de l’opinion publique.

Un verrouillage total de l’information pour neutraliser la dissidence

L’AFP ne se contente pas de propager la doxa mondialiste, elle met également en place un mécanisme d’étouffement des voix dissidentes. Grâce à son monopole sur l’information brute, elle empêche tout discours contraire d’émerger dans les médias traditionnels. Les rédactions, dépendantes de ses dépêches, n’ont d’autre choix que de relayer sa ligne sans jamais la contredire. Ce verrouillage empêche l’émergence d’un débat contradictoire et installe une pensée unique où toute critique est immédiatement qualifiée de « complotiste » ou de « désinformation ».

La mécanique est implacable. Dès qu’un sujet sensible menace l’agenda mondialiste, l’AFP met en place un silence médiatique total. Aucune dépêche, aucun article, aucune analyse ne sort dans la presse alignée. Les journalistes, privés de matière première, n’ont tout simplement rien à traiter. C’est ainsi que des scandales majeurs, comme les financements étrangers de l’AFP elle-même, sont totalement occultés. L’opinion publique, privée d’informations factuelles, ne peut même pas imaginer qu’une telle manipulation puisse exister.

Face à ce mur médiatique, seuls les réseaux indépendants permettent aujourd’hui d’accéder à une information libre. YouTube, Telegram, X (Twitter) et d’autres plateformes sont devenus les derniers espaces de réinformation, où les vérités interdites peuvent encore être révélées. Mais cette liberté est menacée en permanence par les initiatives de censure, pilotées par les mêmes institutions qui financent l’AFP. Le combat pour la vérité ne fait que commencer, et il se joue hors des médias traditionnels, sur les derniers bastions de la liberté d’expression.

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