BALENCIAGA POURSUIT LES PRODUCTEURS DE LA CAMPAGNE PUBLICITAIRE PÉDOPHILE « TEDDY BEAR BDSM » !

Une campagne publicitaire déclenche un scandale autour de la pédophilie

La société de mode Balenciaga a intenté un procès de 25 millions de dollars contre les producteurs d’une campagne publicitaire pédophile qui incluait des ours en peluche BDSM, une décision de justice en matière de pédopornographie et les livres d’un auteur dont les œuvres représentent des enfants nus et des rituels occultes.

Traduction: « La pub Balenciaga est dégoûtante. Des bambins posant avec des jouets sexuels BDSM et de l’alcool. Cachant à la vue de tous une affaire de la Cour suprême impliquant une loi fédérale sur la pédopornographie… Arrêtez de sexualiser les enfants pour vendre votre horrible merde hors de prix. #Balenciaga. »

La maison de mode (qui, nous le supposons, a dû au moins approuver l’image de l’ours BDSM) poursuit la société de production North Six, Inc. et le décorateur Nicholas Des Jardins pour l’inclusion de documents issus d’une décision de la Cour suprême des États-Unis sur les lois relatives à la pédopornographie, rapporte le NY Post .

Balenciaga poursuit « pour récupérer les dommages substantiels que les défendeurs ont causés dans le cadre d’une campagne publicitaire que Balenciaga leur a demandé de produire », selon le dépôt de la Cour suprême de Manhattan.

Balenciaga affirme que North Six et Des Jardins ont inclus les images des documents judiciaires à son insu – ce qui était « malveillant ou, à tout le moins, extraordinairement imprudent », selon le dépôt. -NY Post

  • « En raison de la mauvaise conduite des Défendeurs, les membres du public, y compris les médias d’information, ont faussement et horriblement associé Balenciaga au sujet répugnant et profondément dérangeant de la décision de justice », lit-on dans la poursuite.
  • « Les défendeurs sont responsables envers Balenciaga de tout préjudice résultant de cette fausse association. »

Alors – les photos d’ours en peluche BDSM (au pluriel) que Balenciaga a évidemment approuvées. Et l’inclusion d’un œuf de Pâques de la Cour suprême qui dit essentiellement que la distribution de pornographie enfantine est légale tant qu’elle n’est pas obscène, aurait endommagé la marque de l’entreprise ? Bien sûr !?!

Traduction : « Tucker Carlson demande ce qui se passe avec l’inquiétante publicité Balenciaga impliquant des enfants. »

La campagne publicitaire présentait également des livres de Michael Borremans, un artiste dont les thèmes incluent des enfants nus et des rituels occultes.

Traduction : « OHHHHH MOOONN DIEU #BALENCIAGA… c’est de pire en pire !!!!!!!!!! ». « Tapez dans le moteur de recherche, « Michael Borremans ». C’est MAL!! »

Traduction : « #Balenciaga avait ce livre de Michael Borremans posé dans le bureau du bureau à côté du modèle roux… regardez ces thèmes les gars… je ne peux pas inventer ça même si j’essayais !!! »

  • Plus de la série de photos :

Traduction : « Moarrr!!! Le livre du bas est « The Cremaster Cycle » de Matthew Barney #Balenciaga. »

La société a présenté ses excuses et a annoncé que les publicités pour les ours avaient été retirées.

« Nous nous excusons sincèrement pour toute offense que notre campagne de vacances a pu causer. Nos sacs en peluche n’auraient pas dû être mis en scène avec des enfants dans cette campagne. Nous avons immédiatement retiré la campagne de toutes les plateformes », a déclaré l’entreprise dans un communiqué sur Instagram, accompagné d’excuses pour avoir « affiché des documents troublants dans notre campagne. »

  • Le photographe Gabriele Galimberti a déclaré dans un post Instagram qu’il n’avait aucun contrôle sur « la direction de la campagne et le choix des objets exposés. »

Déclaration du photographe Gabriele Galimberti :

« À la suite des centaines de courriers et de messages haineux que j’ai reçus à la suite des photos que j’ai prises pour la campagne Balenciaga, je me sens obligé de faire cette déclaration.

Je ne suis pas en mesure de commenter les choix de Balenciaga, mais je dois souligner que je n’avais aucun droit, de quelque manière que ce soit, de choisir ni les produits, ni les modèles, ni la combinaison de ceux-ci.

En tant que photographe, on m’a seulement et uniquement demandé d’éclairer la scène donnée et de prendre les photos selon mon style caractéristique. Comme d’habitude pour un shooting commercial, la direction de la campagne et le choix des objets exposés ne sont pas entre les mains du photographe.

Je soupçonne toute personne encline à la pédophilie de faire des recherches sur le web et d’avoir malheureusement un accès trop facile à des images complètement différentes des miennes, absolument explicites dans leur contenu affreux. Des accusations comme celles-ci sont adressées à de mauvaises cibles, et détournent l’attention du vrai problème, et des criminels.

De même, je n’ai aucun lien avec la photo où apparaît un document de la Cour suprême. Celle-ci a été prise dans une autre série par d’autres personnes et a été faussement associée à mes photos.

Traduction : « Balenciaga a rompu ses liens avec @kanyewest à cause d’un tweet. Pourtant, ils s’attendent à ce que nous « acceptions leurs excuses » après qu’ils se soient fait prendre à sexualiser des enfants ? Ils ne s’excusent pas parce qu’ils sont désolés. Ils s’excusent parce qu’ils se sont fait prendre. »

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Source : ZeroHedge

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0 réponse

  1. Ils poursuivent certes mais ils poursuivent pour des prétextes totalement bidon, dors et déjà démontés avant même de passer devant un tribunal.

    Ils tentent de faire croire que le photographe a agi seul :
    1-Tous les produits représentés sur la photo ont été imposés au photographe.

    2-La mise en scène a été intégralement validée par la production au préalable (au sein même de Balenciaga), sans enfant, avec une photo de mannequin enfant AVANT validation de la production du siège de Balenciaga.

    3-Balenciaga voudrait nous faire croire que le photographe faisait les photos seul, dans sa cuisine, de son propre chef, sans gens de la marque à ses côtés pour lui imposer leurs exigences, c’est débile .

    4-Tous les objets non-Balenciaga de la mise en scène ont été loués par Balenciaga près d’un spécialiste de la location de ces effets à destination de la pub et du cinoche.
    Donc le livre de pédo a été loué par Balenciaga et nul autre.

    5-Balenciaga dès le premier jour est liée à la famille des satanistes revendiqués et déjantés coutumiers des mises en scènes pédo-satanistes, la famille Rothschild dont chacun faisant des recherches peut retrouver les photos officielles de leurs sauteries pédo-satanistes.

    [Rien de chelou aux délires de tarés dans ce milieu de la pub.
    Un de mes potes créa s’amusait à mettre en scène sont gosse de moins de 5 ans avec des stups à la bouche dans son book, « c’est badass » …c’est mal signifie c’est bien dans certains milieux déjantés ayant le cerveau à l’envers.
    A force de taper de la CC et tout ce qui passe en ayant un gros salaire déconnectant de toutes les réalités, on ne touche plus le sol.
    En même temps ils sont sélectionnés spécialement pour être naturellement prédisposés à être des crétins sans limites « mais qui en jettent et se la pètent » …
    Rien de grave pour eux, jamais jamais, y compris déplacer le cadavre de gamins noyés à cause de leur père passeur pour le mettre en scène comme victime des sales blancs, comme nous l’avons vu avec Aylan.
    Pour rappel, des journalistes et des photographes socialistes ont été condamnés à mort à Nuremberg, c’est eux qui ont manipulé l’opinion publique pour l’agiter et la rendre tarée.
    Si qui que ce soit conteste cette digression je balance les noms des personnes, agences du haut du pavé concernées et les photos à l’appui.
    S’il y a des domaines dans lesquels certains milieux sont des nuls c’est bien la sécurité informatique, un enfant de 12 ans pourrait piller leurs sites « privés » avec une main dans le dos.
    C’est pas nouveau, ils sont nuls en absolument tout, sauf en tox, manipulations et « effets de mode », là ils sont champions.
    Personnalité propre zéro, ces machins sont eux-mêmes la caricature des courants de mode, c’est dans ces milieux qu’on verra les premiers clients des jupes pour homme ou quelconque mode de déjanté, juste parce que ça pète et ça leur donne une personnalité visuelle en substitut de la « personnalité personnelle » qui leur fait défaut.
    C’est juste des emballages vides, ou du moins remplis des dernières modes et de rien d’autre, il n’y a aucun socle chez-eux, que des modes consommables . Ils vous citeront de mémoire tous les groupes à la mode des années 90 mais seront incapables de vous citer le moindre philosophe antique.]

    Les Faits se sont passés en France :
    Un tribunal normal traiterait Balenciaga comme des quérulents, dénonciations calomnieuses, atteinte à l’honorabilité du photographe etc… et surtout les condamnerait lourdement rien que pour cela !

    Si c’était un Jean-Michel smicard habitant Roubaix osant écrire sur un blog à 10 vues/jour : « il y a trop de diversité » ce qui est un fait, les mêmes kapos tarés de la secte des Jacobins enverraient 20 policiers l’arrêter dans les 24H et le condamneraient sans pitié !
    Tout le monde le sait.

    La même’ secte de Jacobins dont une immense proportion est affiliée au GODF est capable de rechercher à l’international et d’envoyer en taule des gens pour « recherches historiques interdites » mais elle tolére que des Cohn Bendit, Matzneff, Pierre Bergé, ou Frédéric Mitterrand fassent la promotion publique de la pédophilie.
    Qui commande cet « ordre professionnel », Alain Bauer, Alain Jakubowicz, l’ultra-gauche ou le code pénal, code civil ? Nous avons tous la réponse depuis au moins 50 ans !
    (secte dont les dossiers ont fuité de façon officielle et se retrouvent en deux clics)

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