Le 21 janvier à 12h30, Nicolas Stoquer dénonce les grâces préventives accordées par Biden à Fauci et ses alliés, une attaque directe contre l’État de droit américain.
Fauci et Milley protégés à vie par Biden
Joe Biden a frappé fort en accordant des grâces préventives inédites à ses proches collaborateurs. Ce geste sans précédent offre une impunité totale à des figures clés de son administration et marque désormais un tournant historique pour les États-Unis. Cette décision, motivée par la peur du retour en force de Donald Trump, ébranle les fondations mêmes de l’État de droit américain.
Joe Biden a offert une protection judiciaire éternelle à plusieurs piliers de son administration. Ces grâces préventives couvrent des personnalités telles que le général Mark Milley, Anthony Fauci, et des membres de la commission d’enquête sur l’assaut du Capitole. Ces figures, considérées comme les bêtes noires des trumpistes, sont désormais intouchables.
Le cas de Fauci est emblématique. Architecte de la gestion du Covid-19, il est accusé d’avoir manipulé l’opinion publique et caché des informations cruciales. Avec cette grâce, toute tentative d’investigation future est annihilée. Cette décision enterre toute transparence et valide une gestion opaque des crises sous l’administration Biden.
Le général Mark Milley, de son côté, incarne la défiance des élites militaires envers Trump. Accusé d’avoir contourné le président en exercice pour servir ses propres intérêts, il devient intouchable grâce à cette immunité. Biden verrouille ainsi la possibilité de tenir ses alliés responsables de leurs actions.
Biden panique face au retour de Trump
Biden agit dans l’urgence. Trump a promis de mener une purge contre ceux qu’il accuse de trahison et de corruption. Les grâces préventives démontrent une panique palpable au sein du camp démocrate, qui craint des représailles judiciaires.
La grâce préventive pour les membres de la commission d’enquête sur le 6 janvier 2021 en est un exemple flagrant. Ces responsables, chargés d’accuser Trump et ses partisans, bénéficient désormais d’une protection totale. Biden s’assure que cette commission, pilier de sa guerre contre Trump, ne puisse jamais être remise en cause.
Ce geste montre également l’ampleur de la rupture démocratique. Biden ne cherche pas seulement à protéger ses alliés, mais à verrouiller l’avenir judiciaire pour museler ses opposants. C’est une démonstration de force brutale contre tout ce qui pourrait remettre en question l’héritage de son administration.
Une attaque frontale contre l’État de droit
La grâce préventive, telle que pratiquée par Biden, constitue une attaque directe contre la justice américaine. En offrant une immunité totale à ses proches avant même qu’ils ne soient accusés, il contourne le principe fondamental selon lequel chacun doit répondre de ses actes. C’est une insulte aux bases mêmes de la démocratie.
Historiquement, la grâce présidentielle est utilisée pour corriger des erreurs ou accorder une clémence après un jugement. Biden transforme cet outil en un bouclier pour couvrir ses alliés politiques. Cette pratique établit un précédent extrêmement dangereux et ouvre ainsi la voie à une impunité généralisée pour les élites.
Cette décision montre également l’ampleur des secrets à protéger. Qu’ont donc à cacher ces personnalités pour nécessiter une telle mesure ? Les critiques parlent d’une tentative désespérée de dissimuler des scandales liés à la gestion du Covid-19, à des abus de pouvoir militaires ou à des manœuvres douteuses contre Trump. Biden ne protège pas seulement des hommes, il étouffe des vérités.
La démocratie américaine vacille
Avec cette décision, Biden sape l’intégrité des institutions américaines et exacerbe la polarisation politique. Les républicains, galvanisés par cette attaque contre l’État de droit, promettent une revanche historique. La démocratie américaine vacille sous le poids de ces décisions arbitraires et destructrices.
En gravant dans le marbre l’impunité de ses alliés, Biden impose une logique de guerre judiciaire. Cette escalade compromet l’avenir même de la justice aux États-Unis. Les démocraties ne survivent pas quand les dirigeants se placent au-dessus des lois. Le précédent créé par Biden ouvre une boîte de Pandore qui pourrait détruire la confiance des citoyens dans leur système.
