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BLACKOUT ÉLECTRIQUE ET GREAT RESET !

Blackout wef et great reset

« Je baisse, j’éteins, je décale »

Il y a quelques jours, les services de la Première ministre Élisabeth Borne, ont envoyé une circulaire aux préfets leur demandant « d’anticiper et de préparer le terrain si des coupures électriques devaient survenir ».

Ainsi, le gouvernement prépare donc le pays au scénario inédit de coupures de courant pendant l’hiver, tout en s’efforçant de dédramatiser cette situation nouvelle.

Pourtant, souvenons-nous, au début du mois de juin, le chef de l’État avait osé déclarer :

« Il n’y a aucun risque de coupure d’électricité l’hiver prochain ».

Mais comme pour le Covid et la crise sanitaire (avec les masques, les pass, etc.), les pouvoirs publics souhaitent encore souffler le chaud et le froid (concrètement) par l’intermédiaire du narratif proposé aux populations.

Signe d’une énième incompétence crasse me direz-vous ? Rien n’est moins sûr.

Avec l’année 2022, et l’ouverture du chapitre 2 de la Grande Réinitialisation (Conflit Russo-Ukrainien- économie de Guerre), les tensions sur les matières premières et la crise énergétique sont arrivées, il n’est donc pas impossible que ces multiples voltefaces servent encore une fois, à concentrer l’attention médiatique (via la peur) vers l’action gouvernementale, pour in fine mieux domestiquer la population, comme cela avait été le cas avec le Covid et le vaccin.

Encore une fois, tout est dans la rhétorique culpabilisante et faussement responsable d’Élisabeth Borne (reine du 49.3) :

«Nous faisons tout pour éviter des coupures. On s’y prépare depuis des mois (…) Mais quelque part, on a une partie de la réponse tous entre nos mains. Si on baisse tous nos consommations d’énergie, c’est bon pour le pouvoir d’achat, c’est bon pour la compétitivité des entreprises et en même temps cela permet d’éviter un moment où nous aurions insuffisamment de production d’électricité par rapport à la demande

En résumé, par son appel à la responsabilité collective, elle fait comprendre implicitement (comme pour le vaccin et le covid) à la population que s’il y a des coupures, ce sera de la faute des usagers de l’infrastructure électrique.

Et au-delà, des spots publicitaires orwelliens du gouvernement « Je baisse, j’éteins, je décale »: pour inciter aux « écogestes », il y a une réelle volonté de l’exécutif de s’immiscer dans l’intimité des foyers et de réglementer l’ensemble des aspects de la vie quotidienne, pour soit-disant le bien du pays et de la population.

Le Blackout probable est donc annoncé pour le mois de janvier d’après les autorités, qui reprennent différentes informations et prévisions du gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE. Celui-ci indique qu’un risque de tension « élevé » est présent, même en cas de « vague de froid modérée ».

Par conséquent, les préfets vont avoir pour mission de prévenir les entreprises qui ne feront pas partie des secteurs exemptés par ces « délestages », pour leur permettre de tester leurs groupes électrogènes de secours mais aussi de traiter de nombreux points sensibles, comme des personnes hospitalisées à domicile, l’alimentation électrique des gendarmeries, hôpitaux et autres casernes de pompiers.

L’autorité préfectorale devra également prévenir et organiser les coupures de courant qui pourraient survenir dans les gares ou encore dans les écoles qui ne font pas partie de la liste des secteurs exemptés.

Ainsi, très vite, on le comprend, on nous prépare un confinement énergétique pour janvier puisque, comme le stipule la communication officielle du gouvernement :

« L’accueil des enfants dans les écoles ne pourra pas être assuré le matin, si ces dernières sont concernées par des délestages. Ouvrir une école sans alarme, ni chauffage, ni électricité alors qu’il fait nuit le matin ne répond pas aux exigences de sécurité ».

N’en doutez pas, ce premier confinement énergétique qui s’annonce, va amorcer les premiers pas vers le permis carbone, complotiste il y a quelques mois, cet outil est désormais discuté sur BFM TV à une heure de grande écoute. Évidemment, avec une économie paralysée, des gens forcés de rester chez eux dans le froid pour garder leurs enfants, vous verrez que de manière similaire au confinement covidien, la pollution sera réduite cet hiver, à mesure que la pauvreté des masses, elle, progressera.

Pour ce qui est des modalités techniques, le risque de coupure sera en principe, communiqué trois jours à l’avance via un signal Ecowatt rouge adressé par le gestionnaire de réseau RTE. Une énième application gouvernementale, du genre TousAntiCovid, va donc voir le jour pour bénéficier au mieux des annonces officielles sur l’état du réseau électrique. Histoire de ficher, encore et toujours un peu plus les populations.

La veille du jour où les coupures seront anticipées (d’une durée de 2h maximum officiellement), RTE donnera à 15 heures la liste précise des départements concernés. À partir de 17 heures, les usagers pourront renseigner leur adresse sur le site de RTE ou du gestionnaire du réseau de distribution d’électricité Enedis pour savoir si leur logement sera concerné ou non par les coupures de courant.

Ainsi, comme en mars-avril 2020 avec l’annonce officielles des morts du Covid, les Français pourront attendre bien sagement à quelle sauce ils pourront être mangés le lendemain, plutôt que de penser à se rebeller contre ceux qui ont permis la réalisation de cette situation ubuesque.

Encore une fois ces coupures électriques ne devraient donc qu’être partielles sur le territoire (mais concerner 60% de la population tout de même).

Il a même été indiqué par le gouvernement qu’« aucun département ne sera délesté en entier ». Mais quand on constate les multiples déclarations des Macron, Véran, Borne, Darmanin et Cie, nous sommes en droit d’avoir quelques craintes sur la fiabilité des propos tenus par l’exécutif français.

Ainsi, comme nous le promet, The Economist par une de ces énièmes couvertures prémonitoires, il est donc très probable que la France et l’Europe (à partir de fin décembre) passent pour la première fois depuis des décennies, un hiver dans le froid et le noir. Il n’est pas difficile d’imaginer que cette situation qui est celle d’un pays du tiers monde, va être dévastatrice pour les restes de notre industrie, notre artisanat et en général les petites entreprises indépendantes.

Mais comme l’avait prophétisé, le « camarade » Klaus  Schwab, dès 2020, « rien ne sera comme avant » et aucun secteur et aucune industrie ne sera épargné… Bienvenue dans l’Europe du Monde d’après !

Le Forum Économique Mondial et l’infrastructure électrique mondiale

La question qu’il faut donc se poser, est la suivante :

« La crise énergétique et électrique plus spécifiquement qui va nous être imposée dans les semaines à venir, est-elle réellement spontanée ou a-t-elle été organisée et pilotée ? »

D’emblée, on peut se dire, que les véritables entités qui dirigent derrière les marionnettes des ministères et de l’exécutif, réfléchissent depuis longtemps à comment restructurer l’infrastructure électrique mondiale à leur profit.

En effet, le Forum Économique mondial a produit une littérature abondante sur le sujet. De plus, il a déjà mené des opérations de simulation de crise comme pour une pandémie (Event 201) mais sur les réseaux électriques et les conséquences de coupures sur l’activité économique et sociale.

Souvenez-vous que le Cyber Polygon sponsorisé par le WEF avait défrayé la chronique après les propos de Klaus Schwab sur une future cyber-pandémie :

« La crise COVID-19 est l’occasion d’améliorer notre impréparation à une éventuelle cyber-pandémie ».

Mais ce qui est surtout intéressant dans le cas de la littérature du WEF, c’est que sous couvert de travailler à l’élaboration de solutions en cas de défaillance importante des infrastructures électriques (cyberattaque ou incident technique), elle dresse un portrait relativement fin sur les moyens à employer pour restructurer le réseau énergétique  en Occident, au profit du projet de l’hyperclasse (Grande Réinitialisation- Agenda 2030).

Le WEF dans ses documents de travail, est véritablement précis et cadre la problématique des infrastructures électriques d’une manière à ne jamais poser les véritables questions à savoir en France (plus particulièrement) le sabotage de notre parc nucléaire et des fleurons industriels comme Areva, Alstom, EDF, etc.

En effet, l’organisation non gouvernementale (gouvernement mondial non officiel, comme en atteste la présence de Klaus Schwab au milieu des autres chefs d’État au G20 à Bali) du Forum Économique mondial dévoile des informations croustillantes aux initiés et aux quelques curieux sur son site Strategic Intelligence.

Ainsi, on apprend que l’impact de la protection de l’infrastructure électrique mondiale, est un défi prioritaire pour Davos.

Le WEF nous explique que « la cyber-résilience est un défi pour les organisations à l’échelle mondiale, mais en particulier pour l’industrie de l’électricité. Les systèmes électriques sont parmi les plus complexes et les plus critiques de toutes les infrastructures et constituent l’épine dorsale de l’activité économique.

Les incidents à grande échelle tels que les pannes d’électricité peuvent avoir des ramifications socio-économiques pour les ménages, les entreprises et les institutions vitales. »

Par exemple dans un de ces articles récents, le Forum économique mondial nous explique par le plus pur des hasards qu’ « une panne d’électricité hivernale de six heures rien qu’en France métropolitaine pourrait entraîner des dommages s’élevant à plus de 1,5 milliard d’euros (1,7 milliard de dollars). »

Les études sur les impacts et conséquences des coupures électriques sont donc déjà réalisées depuis plusieurs années et elles attestent le fait que la France et l’Europe vont en plus de l’inflation, la récession, s’enfoncer dans une gigantesque vague de destruction finale de l’appareil productif, développé en grande partie après la Seconde Guerre mondiale.

La Grande Dépression 2.0 qui a déjà commencée en réalité, (il suffit de regarder les principaux indicateurs économiques comme la dette et les déficits publics et de la balance commerciale) va dévaster tous les vestiges de notre monde d’avant. Les coupures d’électricité partielles et limitées dans le temps ne sont que des prémices de la phase de liquidation de nos modes de vies, qui se dresse devant nous.

Les ruptures de services publics élémentaires (eau potable/assainissement) et des chaînes d’approvisionnement vont être les conséquences de cette nouvelle ère de pénurie électrique. D’ailleurs, Cofigeo, groupe connu pour ses marques (William Saurin, Garbit, Zapetti) a annoncé le 5 décembre  la mise à l’arrêt prochain de quatre de ses huit usines en France, soit 80% de sa production. Dans un contexte de mur énergétique que s’apprêtent à affronter de nombreuses sociétés agroalimentaires françaises, le président de Cofigeo a reconnu l’impossibilité pour ses conserveries françaises de continuer à fonctionner au vu des prix de l’énergie.

Pour en revenir, à Davos, il est indiqué sur Strategic Intelligence que le Centre pour la cybersécurité et la Plateforme pour façonner l’avenir de l’énergie, des matériaux et des infrastructures ont travaillé de concert pour améliorer la cyber-résilience de l’infrastructure électrique mondiale…

Mais alors dans quelles mesures ont-ils « fait le travail » ? en pénétrant les cabinets (les gouvernements), les conseils d’administrations des grandes sociétés ?

Et bien la réponse est oui :

« L’initiative Cyber Resilience in the Electricity Industry rassemble des dirigeants de plus de 50 entreprises, gouvernements, société civile et universités pour collaborer et développer une vision claire et cohérente de la cybersécurité pour protéger l’infrastructure électrique. »

Comme pour les monnaies numériques programmables (CBDC) et le Digital Currency Governance Consortium, Davos pilote aussi le démantèlement des infrastructures électriques mondiales.

Dans une logique très Schwabienne, le Cyber Resilience in the Electricity Industry explique que : « le rythme sans précédent du changement technologique entraîné par la quatrième révolution industrielle signifie que nos systèmes de santé, de transport, de communication, de production et de distribution exigeront des ressources énergétiques en augmentation rapide pour soutenir la numérisation mondiale et l’avancement des appareils interconnectés.

La numérisation est le moteur de la croissance et de l’innovation dans le secteur de l’électricité et a un potentiel énorme pour apporter de la valeur aux actionnaires, aux clients et à l’environnement. Cependant, les nouvelles technologies et les nouveaux modèles commerciaux affectant nos actifs d’exploitation présentent à la fois des opportunités et des risques.

Dans le passé, la gestion de ces risques signifiait uniquement traiter des problèmes tels que la défaillance des composants ou les dommages causés par les intempéries, alors qu’aujourd’hui les plans de résilience existants doivent tenir compte des menaces liées à la cybersécurité »

Le suisse Pierre-Alain Graf, vice-président principal, Sécurité mondiale, de chez Hitachi Energy, dont l’un des actionnaires principal est The Vanguard Group, résume parfaitement la logique davosienne qui vise le contrôle absolu sur les populations :

« Les systèmes électriques jouent un rôle clé dans la société. Protéger l’approvisionnement en électricité contre les menaces est un moyen de préserver la prospérité. Unir nos forces au-delà des entreprises et des frontières est un remède important contre les cyber-menaces en évolution rapide dans le secteur de l’énergie. »

Ainsi, la phase de coupures électriques que nous nous apprêtons à inaugurer n’est qu’une énième étape d’entrée dans la 4ème révolution industrielle, la logique totalitaire du Big Data (CBDC, Crédit Social, permis carbone etc) va être imposée par une restructuration des infrastructures au profit du haut de la pyramide.

Il n’est pas anodin de constater que BlackRock (entité exécutive du WEF) utilise les mêmes outils d’analyse et les mêmes éléments de langage sur cette question des infrastructures électrique, tout en se positionnant dessus et en offrant des produits d’investissement.

D’ailleurs, il n’est pas impossible qu’en plein cœur de l’hiver, la menace médiatique de l’ours russe soit réactivée et qu’une cyberattaque d’envergure, mette à mal encore d’avantage l’infrastructure électrique européenne.

De toute façon qu’est-ce que l’Hyperclasse pourrait-elle faire de mieux que d’appuyer concrètement sur le bouton Reset (débrancher-couper l’électricité) pour réinitialiser notre monde ?

Le WEF travaille d’ailleurs à la demande de la Commission Européenne sur une approche pour renforcer l’infrastructure électrique mondiale. En effet, suite à une demande de la direction de l’énergie de la Commission européenne (CE), l’organe travaillant sur cette thématique a produit 15 recommandations d’amélioration de la nouvelle directive européenne sur la cybersécurité en tenant compte des implications des attaques de la chaîne d’approvisionnement et d’autres risques systémiques. L’initiative visant à rendre les infrastructur²es électriques plus cyber-résilientes s’articule autour de trois piliers :

1)  Développer des scénarios pour les dirigeants et les conseils d’administration de l’industrie afin de développer davantage la culture et la gouvernance de la cyber-résilience dans le secteur de l’électricité.

2) Améliorer la mise en œuvre des réglementations en matière de cyber-résilience en favorisant un dialogue entre les décideurs politiques et les entreprises.

3)  Améliorer la résilience de la chaîne d’approvisionnement en établissant des normes pour les rôles et les responsabilités en matière de cybersécurité entre les parties prenantes.

Une série de rapports pour guider les PDG et les membres des conseils d’administration à relever les défis uniques de la gestion du cyber, ont donc été fournis par le Forum Économique mondial.

Selon notre grille de lecture (complotiste ou non), on peut se dire que les élites qui nous gouvernent préparent ou se préparent à un évènement de sidération important, quand on observe le foisonnement de documents sur le sujet des infrastructures électriques.

Certes derrière ce sujet, se cache le thème fondamental de la Smart City (Ville du Monde d’Après) chère à Davos, mais il y a aussi une volonté de paramétrer la liquidation de l’ancien système électrique pour plus facilement le détruire et le remplacer par autre chose.

Nous l’avons mainte et mainte fois répété, Macron symbole du Great Reset en France, a signé un pacte de liquidation avec ses maîtres de l’establishment, et les architectes du monde d’après. Il est donc fort probable qu’après la pause du mondial au Qatar, la liquidation va donc encore s’accélérer dans les semaines à venir. Mais qui va oser jouer le rôle de liquidateur final de nos infrastructures électriques ?

Luc Rémont à la tête d’EDF : un énième banquier d’affaires

Le 29 septembre dernier, Luc Rémont, 53 ans, inconnu du grand public, a été officialisé comme PDG d’EDF en remplacement de Jean-Bernard Lévy.

Luc Rémont

Ce polytechnicien de formation a exercé pendant plus de dix ans au sein de l’État (au Trésor et à Bercy dans les cabinets des ministres de l’Économie, pendant le deuxième quinquennat de Jacques Chirac, avant de se lancer dans le pantouflage, comme la plupart de ses semblables (Hauts Fonctionnaires).

Officiellement, de façon structurelle,  Rémont a pour mission d’endiguer la baisse endémique du niveau de production d’électricité nucléaire du groupe – qui constitue l’essentiel de son chiffre d’affaires et une ressource cruciale pour approvisionner la France et l’Europe en électricité.

Ne revenons pas ici, sur le mécanisme de l’ARENH et la mise en place d’une fausse concurrence (souhaitée par l’UE), pour permettre le démantèlement du monopole électrique d’EDF, notre propos est simple, il est de dire que la mission réelle de Rémont est celle qui est dictée par Davos, c’est-à-dire de poursuivre et de conclure le démantèlement d’EDF.

Il a été nommé par Macron pour cela ! Et si vous voulez des preuves supplémentaires, il suffit de se pencher une seconde sur le profil de « parasite du monde de la finance » de notre cher Luc Rémont. Vous allez le voir, ce polytechnicien n’a pas vraiment la carrure d’un grand capitaine d’industrie.

Tout d’abord, rappelons succinctement qu’il a travaillé à Bercy pour des ministres atlantistes et Rotshchild-compatibles, notamment  l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy et le commissaire européen responsable du marché intérieur Thierry Breton.

Mais surtout, il a participé à l’élaboration de l’introduction en Bourse d’EDF en 2005, mais également sur les privatisations d’ADP et Areva. Enfin, information d’importance, il a intégré le privé en 2007, par l’intermédiaire d’un poste à la Bank of America Merril Lynch dans laquelle il dirige la Banque de financement et d’investissement en France en 2009, ainsi que la filiale du Benelux, jusqu’en juillet 2014.

Enfin cerise sur le gâteau, à ce titre, c’est lui qui supervise la vente d’Alstom énergie à l’américain General Electric, qui participe ainsi au saccage industriel du secteur nucléaire et donc électrique français.

C’est donc ce profil de liquidateur soumis aux grandes banques d’affaire qui doit « redresser » EDF…

Souvenons-nous la commission d’enquête parlementaire présidée par le député Olivier Marleix avait évoqué un pacte de corruption concernant la vente d’Alstom et le financement de campagne d’Emmanuel Macron. Ainsi, il pourrait donc bien qu’avec ce cher Luc Rémont nous soyons en capacité de mettre un visage sur les multiples ombres responsables (exécutants) de la catastrophe industrielle nucléaire et électrique française, en cours. Le journal La Croix, nous a d’ailleurs appris, en citant un responsable CGT d’EDF que ce même Luc Rémont est un proche d’Alexis Kohler, actuel secrétaire général de l’Élysée, dont la probité davosienne est en ce moment très remarquée.

En conclusion, la nomination de Luc Rémont est symptomatique d’une volonté de la part de l’hyperclasse (bien au-delà d’Emmanuel Macron et de Davos) de réactiver le projet de destruction et liquidation des infrastructures électriques françaises.

Le projet Hercule, malgré la nationalisation de principe d’EDF, est en sommeil et Jupiter pourrait réactiver le tonnerre à la demande de ses maîtres, lorsque le moment sera venu…

En cette fin d’année 2022, il se pourrait bien, encore une fois, qu’à la veille de fêter l’anniversaire du Christ, le pouvoir politique totalitaire qui se met doucement et sûrement en place, souhaite rappeler aux foyers français le sens de la responsabilité collective !

Gardons en tête, comme l’a dit notre chef de l’État, que la fin de l’abondance et de l’insouciance sont à nos portes ! L’hyperclasse comme à son habitude, à l’aube du 24 décembre ne manquera pas de culpabiliser une énième fois les français pour les quelques heures de réjouissance de cette fin d’année.

On entend déjà les appels à la sacro-sainte responsabilité qui nous adjure de satisfaire aux exigences des écogestes (en plus des gestes barrières).

Mais à trop vouloir, mettre les populations dans la peur, le noir et le froid, les serviteurs de la Bête de l’Évènement, devraient se méfier de la lumière de quelques bougies qui pourraient rappeler à certains, dans les moments difficiles qui arrivent, cette phrase fondamentale de l’Évangile de Jean :

« Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. »

Car à trop vouloir, mettre le peuple français « à l’ombre », la lumière pourrait finir un jour par se rallumer…

Marc Gabriel Draghi

Pour comprendre les enjeux de cette grande réinitialisation, revoir notre entretien avec Marc-Gabriel Draghi :

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0 Responses

  1. @Admin
    Celle-là est excellente : thegatewaypundit.com/2022/12/electric-vehicle-charging-oslo-norway-now-twice-expensive-filling-gas-powered-vehicle/

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