Le 18 mars à 18h30, Claude Janvier, Philippe Herlin, Jean-Maxime Corneille et Mathieu Goyer seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.
Claude Janvier est un écrivain-essayiste qui se présente comme disciple de Pierre Desproges, célèbre
humoriste connu pour son humour noir et caustique, son non-conformisme et son talent littéraire. Il a récemment publié « Les démasqués – Qui dirige réellement le monde ? ».
Philippe Herlin est un économiste et essayiste, qui publie chez Eyrolles. Il est Docteur en économie du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) en 2012, et il a eu le “Prix Spécial du Jury” du 24e Prix Turgot décerné le 12 avril 2011 pour « Finance : le nouveau paradigme ». Il s’intéresse notamment à l’or et aux monnaies complémentaires telles que le bitcoin.
Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment traduit l’ouvrage « Le charme discret du djihad: L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical ».
Mathieu Goyer est responsable de la section Civitas Paris.
La question de savoir si de petits groupes influents dirigent le monde est un sujet de débat brûlant.
D’une part, des organisations comme BlackRock et Vanguard sont souvent citées pour leur influence considérable dans la finance internationale.
D’autre part, l’idée d’un contrôle numérique des masses soulève des questions sur l’impact de la technologie sur notre liberté et notre vie privée. La digitalisation de l’argent et de l’identité est également un phénomène en pleine expansion, avec des implications profondes pour notre société.
Les familles comme les Rothschild, les Orsini, les Bush, la maison royale britannique, les DuPont, et d’autres acteurs majeurs seront examinés pour comprendre leur rôle dans l’économie mondiale et la politique internationale.
Y a-t-il en effet des groupes restreint qui dirigent le monde ?
Cette thèse est-elle une réalité ou est-ce complotiste ?
Black Rock ou Vanguard représentent-ils la plus grosse partie de la finance internationale ?
Rendez-vous le 18 mars à 18h30, en direct sur GPTV !
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Bite
Il est regrettable que les participants à cette émission n’aient pas compris que l’Etat serait entre les mains du peuple (l’Etat ce serait nous) si la France était une démocratie au lieu d’être une oligo-ploutocratie. Pour eux, l’Etat doit forcément est entre les mains d’une caste de quelques milliers d’individus. Ils s’inscrivent donc dans la servitude volontaire. Je rappelle à tous les droitards et à tous les gauchistes que les quatre fondements de la démocratie sont le RIC constituant, les autres RIC (législatif, abrogatoire, révocatoire, veto), le tirage au sort des représentants et les conventions citoyennes (définies par Jacques Testart). Il n’y a pas de partis politiques dans une démocratie. Ces derniers, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste, dressent les Français les uns contre les autres pour le plus grand profit de cette dernière.
« Etienne de La Boétie (1530-1563) avait remarqué dans son « Discours de la servitude volontaire » (1577) que les peuples s’habituaient à tout, y compris à la tyrannie. À ses yeux, l’habitude est la première responsable des tyrannies. Ce jeune homme avait mis le doigt sur quelque chose de largement sous-estimé. En effet, le cerveau s’habitue à tout type de système, et ce encore plus facilement quand il y est né. Ainsi, il est toujours sidérant de constater comment les humains du XXIème siècle s’habituent au fait de devoir choisir ceux qui voteront les lois auxquelles ils devront obéir, quand bien même elles les mettent à genoux, les dépossèdent de leurs biens, mettent leurs enfants en esclavage ou les mènent à une guerre non désirée. Partout sur terre, les humains naissent dans ce système qui leur demande de choisir des maîtres, et n’ayant connu que cela, ils évoluent dans ce système comme si c’était une fatalité, comme si penser à un autre paradigme revenait à songer à une utopie naïve. Partant de là, il n’est pas exagéré de considérer le régime représentatif, la démocratie parlementaire, comme la servitude volontaire contemporaine. »
Alexis Haupt, philosophe et essayiste français né en 1990.