LE FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL DE DAVOS PRÉSENTE SON « NOUVEAU SYSTÈME »

Les coulisses du sommet de Davos 2023

La conférence du Forum économique mondial (WEF) semble se concentrer sur ce que l’élite mondialiste peut apprendre des échecs de son récit sur la « pandémie »…

DAVOS

La rencontre annuelle du Forum économique mondial a donc démarré.

Des politiciens, des géants du monde des affaires, des « philanthropes » et toutes sortes de monstruosités élitaires se réunissent pour un week-end au cours duquel ils se disent à quel point ils sont intelligents et font empirer le monde en général.

Mais qu’y a-t-il au menu cette année ?

Voici les cinq principaux sujets de discussion, selon le site web du WEF. (Voyez si vous pouvez remarquer un modèle) :

  1. Répondre aux crises énergétique et alimentaire actuelles dans le contexte d’un nouveau système pour l’énergie, le climat et la nature
  2. S’attaquer à l’économie actuelle, caractérisée par une forte inflation, une faible croissance et un endettement élevé, dans le cadre d’un nouveau système d’investissement, de commerce et d’infrastructure.
  3. Faire face aux vents contraires actuels du secteur dans le cadre d’un nouveau système d’exploitation des technologies de pointe pour l’innovation et la résilience du secteur privé.
  4. S’attaquer aux vulnérabilités sociales actuelles dans le contexte d’un nouveau système pour le travail, les compétences et les soins.
  5. Faire face aux risques géopolitiques actuels dans le cadre d’un nouveau système de dialogue et de coopération dans un monde multipolaire.
european green deal Davos

Rien de tout cela n’est nouveau. Un « nouveau système » pour l’énergie est un « new deal vert », un « nouveau système » pour la coopération internationale est un certain type de gouvernance mondiale, et un « nouveau système » pour l’investissement et le commerce couvre de nombreux sujets, y compris la monnaie numérique.

Comme je l’ai dit, rien de nouveau, mais c’est toujours rafraîchissant de le voir imprimé, sans effort pour le cacher.

Il est également intéressant de noter que les expressions « nouvelle normalité », « grande remise à zéro » ou « reconstruire en mieux » ne figurent nulle part sur la page, alors que c’est manifestement de cela qu’il s’agit.

Une petite victoire pour les médias alternatifs, qui ont manifestement suscité une prise de conscience suffisante pour que ces phrases soient désormais considérées comme trop entachées pour être utilisées.

En fait, la confrérie du WEF s’inquiète clairement de perdre le contrôle du récit, comme le souligne cet article, il y a quelques jours :

Les plus grands résolveurs de problèmes du monde doivent élaborer de meilleurs récits.

Elle fait valoir :

Les gens sont plus convaincus par les informations présentées dans un récit, car un bon récit facilite le traitement de l’information. Ceux qui tentent de résoudre les défis les plus pressants du monde doivent en tenir compte.

L’article entier est essentiellement une façon très longue de dire « nous devons dire de meilleurs mensonges ».

Nous devons désigner les véritables antagonistes : les politiciens irresponsables, les scientifiques achetés et certaines entreprises qui ne sont pas à la hauteur des exigences de la transition vers le net zéro.

Nous devons également cesser de prétendre qu’il existe un débat sur les faits du changement climatique. Un faux équilibre est un phénomène qui se produit lorsqu’un organe d’information ou un autre média présente une question comme faisant l’objet d’un débat, alors qu’il n’y a pas de débat réel ou de désaccord entre les experts sur la question.

L’auteur parle du changement climatique, mais ses arguments concernant le rejet de la responsabilité et la fermeture du débat s’appliquent à tous les domaines.

Il faut s’attendre à un changement des « méchants narratifs » cette année, ainsi qu’à un accent accru sur la positivité et l’« unité ». L’unité signifie probablement que l’on tentera de ramener certains des éléments marginaux et dominants poussés vers l’alternative par le récit de Covid (comme ils l’ont fait avec l’Ukraine).

Ailleurs – et sur une note connexe – il est probable que l’on parle de censure – ou, pardon, de «l utte contre la désinformation » – comme l’indique cet article du WEF datant d’il y a 6 jours, intitulé :

Sécurité numérique : Appliquer les droits de l’homme dans le monde numérique.

Sécurité numérique : Appliquer les droits de l'homme dans le monde numérique.

L’article détaille les « défis » auxquels est confrontée la « Coalition mondiale pour la sécurité numérique » du WEF dans ses efforts pour s’attaquer aux abus et l’exploitation sexuels des enfants, le terrorisme et les discours de haine, la désinformation et les contenus liés à l’automutilation et au suicide.

Remarquer que les « discours de haine » et la « désinformation » sont mélangés aux crimes réels. Pour citer Sesame Street, « une de ces choses n’est pas comme l’autre ». Mais ce n’est pas une surprise à l’ère du « légal mais nuisible ».

Pour être clair, ces personnes ne se soucient d’aucune de ces choses. Pas du tout.

Justice

Leurs entreprises exploitent les enfants, leurs organismes publics financent le terrorisme et leurs médias crachent des informations erronées à raison de 50 mots par minute.

Ils ne s’intéressent vraiment qu’au contrôle. Dans le cas présent, cela signifie contrôler l’internet – plus précisément, contrôler ce que vous êtes autorisé à dire et à entendre sur l’internet.

Un autre axe de discussion potentiel, mis en évidence à quelques endroits, sera la promotion d’une action plus directe. Ce qu’ils semblent appeler des « solutions tangibles ».

Amnesty International

Le directeur d’Amnesty International, qui sera présent, a demandé aux participants de Davos de se concentrer sur les points suivants :

Des solutions tangibles dont nous savons déjà qu’elles fonctionnent, plutôt que d’opter pour la protection à tout prix du système économique mondial existant.

Soulignant que « l’heure est à l’action » et non aux « gestes vides », et reprenant simultanément le message du « nouveau système ».

La phrase « solutions tangibles » est répétée dans l’article « narratives » mentionné plus haut, par le géant de la consultance financière Mercer sur sa page sur Davos, un « panel d’experts » du WEF, et par Forbes dans son article sur les jeunes leaders à Davos.

Bien sûr, la « pensée fondée sur les solutions » est le discours des entreprises depuis des décennies, et « l’heure de l’action a sonné » est un cliché qui fait le tour de chaque réunion, sommet ou conférence.

Personne dans l’histoire n’a jamais dit « ce n’est pas le moment d’agir, c’est le moment de faire des gestes ».

Alors, bien sûr, il s’agit de mots vides de sens destinés à faire en sorte que les orateurs (et leur réunion) se sentent importants.

Mais cela pourrait être autre chose, peut-être un signe que la phase de propagande de la « grande réinitialisation » est terminée, et que nous passons maintenant à la phase suivante. Cela signifie que l’on s’éloigne de la manipulation passive et des mécanismes de contrôle basés sur la psychologie pour se diriger vers une application plus directe.

Je suppose que nous devrons attendre et voir.

Davos

Quoi qu’il en soit, on peut définir l’agenda de Davos en quatre thèmes principaux :

  • « Un nouveau système » : Réformer les systèmes mondiaux de la politique et de la finance
  • « Contrôler le récit » : Raconter des mensonges plus crédibles et limiter le débat public
  • « Contrer la désinformation » : Censure, notamment de l’internet
  • Proposer des « solutions tangibles » : Prendre des mesures plus directes par le biais de l’application des lois et des politiques.

Les points de discussion de Davos, semble-t-il, seront une rétrospective axée sur ce qu’ils peuvent apprendre des lacunes de leur récit sur la « pandémie ».

Pour finir, une histoire (non confirmée) qui circule est à la fois hilarante et révélatrice… si elle est vraie :

Apparemment, les participants à DAVOS recherchent délibérément des pilotes non vaccinés. Faites-en ce que vous voulez.

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Source : ZeroHedge

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