DICTATURE NUMÉRIQUE EN AUSTRALIE SOUS PRÉTEXTE SANITAIRE

Dictature numérique à la chinoise en Australie

Rien ne va plus au royaume des Kangourous

L’Australie est officiellement le pays le plus avant-gardiste concernant la coronafolie. Premièrement, l’armée patrouille dans les rues lorsque vous êtes confiné à domicile, pour veiller au grain. Un coup de pression qui vaut son pesant de cacahuètes.

Mais le rapport de force de notre génération est bien entendu en ligne, et cela l’oligarchie l’a bien compris. C’est pourquoi le gouvernement australien souhaite aller encore plus loin pour « lutter contre les abus ».

« Le gouvernement fédéral australien prévoit de désanonymiser l’internet afin d’introduire un système de crédit social pour lutter contre les « abus en ligne ». La police aura accès aux comptes de médias sociaux des individus, qui seront liés à leurs passeports. »

L’enfer est pavé de bonnes intentions, c’est bien connu.

Le contrôle de votre liberté est encore plus étouffé avec cette nouvelle loi qui vient d’être votée.

Laquelle ?

Celle de contrôler, de supprimer et de modifier vos publications en ligne. C’est-à-dire que l’État peut s’arroger le droit de publier à votre place des déclarations contre votre gré (et éventuellement vous punir pour ces dernières).

On frôle le contrôle mental.

Contrôler les comptes de médias sociaux et supprimer des données

1. Les mandats de perturbation des données : ils permettent à la police de modifier ou de supprimer entièrement les données numériques de toute personne impliquée dans une enquête en cours.

2. Les mandats relatifs à l’activité du réseau : la police peut obtenir des informations stockées dans les ordinateurs d’un suspect, ainsi que tout réseau criminel présumé, ainsi que les utilisateurs liés à l’individu.

3. Mandats de prise de contrôle de comptes : la police peut prendre le contrôle des médias sociaux et des comptes en ligne d’un suspect.

Pour obtenir ces mandats, il n’est pas nécessaire que la police demande l’autorisation d’un juge !

Au lieu de cela, la police doit simplement se référer au tribunal d’appel administratif, un organe de révision au sein du gouvernement, qui examine de manière indépendante les décisions prises par les fonctionnaires, mais qui n’est compétent que lorsque la loi le prévoit expressément.

Vous en voulez davantage ?

Fin des libertés en Australie

Attention, à ce niveau, la science-fiction pré-apocalyptique n’est plus à la hauteur !

Les habitants de certaines régions sont obligés de se prendre en selfie, de se géolocaliser et de déclarer sur l’honneur le motif de leur déplacement lorsqu’ils reçoivent un SMS du gouvernement.

S’ils ne répondent pas sous 15 minutes, la police peut intervenir !

Sûrement l’influence chinoise !

« Les habitants de l’Australie-Méridionale seront obligés de télécharger une application qui combine reconnaissance faciale et géolocalisation. L’État leur enverra des SMS à des heures aléatoires, après quoi ils auront 15 minutes pour prendre une photo de leur visage à l’endroit où ils sont censés se trouver. S’ils échouent, le service de police local sera envoyé pour effectuer un suivi en personne. »

« Nous ne leur disons pas à quelle fréquence ou à quel moment, sur une base aléatoire, ils doivent répondre dans les 15 minutes », a expliqué le Premier ministre Steven Marshall. « Je pense que chaque Australien du Sud devrait se sentir assez fier que nous soyons le pilote national de l’application de quarantaine à domicile ».

Surveillance sanitaire et numérique en Australie

C’est le comble qu’un pays aussi sauvage où règne des Alligators, des coyotes, des requins, des serpents et autres bêtes venus des enfers soit tenu en laisse à ce point.

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