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DIDIER RAOULT : HOMO CHAOTICUS – LA RÉVOLUTION DANS L’ÉVOLUTION | LA MATINALE GPTV

Le 18 Septembre à 7h, Didier Raoult est l’invité de La Matinale animée par Nicolas Stoquer accompagné de Raphaël, sur Géopolitique Profonde.

Didier Raoult est professeur en microbiologie renommé et fondateur de l’IHU Méditerranée Infection à Marseille. Auteur, il est connu pour ses recherches sur les virus géants et pour sa position controversée sur l’hydroxychloroquine pendant la pandémie de COVID-19.

Souvent critiqué par ses pairs moins expérimentés pour ses méthodes non conventionnelles, Didier Raoult continue de surprendre notamment avec son ouvrage récent « Homo chaoticus » où il propose une nouvelle théorie de l’évolution liée aux épidémies.

La théorie de Charles Darwin

Charles Darwin, naturaliste anglais du XIXe siècle, est célèbre pour sa théorie de l’évolution par la sélection naturelle, présentée dans son ouvrage L’Origine des espèces. Selon Darwin, toutes les formes de vie sur Terre descendent d’un ancêtre commun, illustré par l’image d’un arbre de vie où les branches représentent les différentes espèces qui se sont diversifiées au fil du temps.

La sélection naturelle, ou « survie du plus apte », décrit le processus par lequel les individus possédant des traits avantageux pour la survie et la reproduction sont plus susceptibles de transmettre leurs gènes à la génération suivante. Cette théorie a révolutionné la biologie en expliquant la diversité des espèces et leur adaptation à leur environnement, posant les bases de la compréhension moderne de l’évolution.

Cependant, de nouvelles découvertes, telles que l’importance des séquences génétiques non codantes et des éléments parasitaires dans notre ADN, remettent en question certains aspects de cette vision traditionnelle de l’évolution.

Didier Raoult et les épidémies : de MPOX à la polio vaccinale

Didier Raoult bouscule les idées reçues sur la gestion des épidémies. Il critique la philanthropie de figures telles que Bill Gates, qu’il accuse de promouvoir un charlatanisme sous couvert d’aide humanitaire.
Didier Raoult souligne les dangers des campagnes de vaccination massive qu’il juge souvent inutiles en raison de la mutation constante des virus et de leur faible capacité à induire une immunité durable. Nous pouvons ajouter que bien souvent tout ceci est décidé sans consentement éclairé des patients.

Il remet en question les injections rapides sur le marché, comme celles du COVID-19 lors de la crise sanitaire, dévoilant les cas croissants d’effets secondaires graves et de cancers « turbo » qu’il est attesté d’en être le résultat. Il a constamment regretté l’absence d’essais de traitements précoces utilisant des molécules connues et éprouvées depuis des décennies.

Plus récemment, Didier Raoult déplore la stratégie de vaccination actuelle consistant à injecter du virus vivant sous prétexte de meilleure immunité et durabilité de cette dite immunité. Il dénonce notamment le vaccin DTPolio qui déclenche des vagues d’épidémie de Polio vaccinale à Gaza. Il préconise un retour aux méthodes éprouvées : les anciens vaccins utilisant des virus inactivés.

La santé sacrifiée : quand l’intérêt privé prime sur le bien public

En France, le sous-financement chronique du secteur de la santé est alarmant. Le manque criant de matériel performant et la réduction constante des budgets entravent la qualité des soins. En prime, les médecins et spécialistes, une fois leur diplôme en poche, ne cherchent plus à enrichir leurs connaissances.

La crise sanitaire à mis en lumière un sujet bien caché : les conflits d’intérêts. En effet, les liens financiers entre certains médecins et l’industrie pharmaceutique, notamment autour des commissions liées à la vaccination, jettent le doute sur l’indépendance des décisions médicales. Ceux qui osent critiquer ces pratiques et défier les autorités de santé se retrouvent souvent marginalisés ou persécutés, accusés de remettre en cause un système bien ancré.

On en vient à se demander si, dans un système où la santé publique est négligée, le malade ne devient pas simplement un bon client. Alors une question subsiste : à qui profite ce système malade ?

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12 Responses

  1. Dialogue intéressant. Je peux comprendre qu’après les ennuis créés par les obscurantistes ‘au pouvoir’ on s’en tienne à un discours qui reste dans un domaine de compétences relativement cerné compte tenu de la violence dont sont capables certains protagonistes qui se disputent le pouvoir mondial. Je suppose (sans itoire) que les premieres générations de vacc étaient plutôt adaptées à la physiologie humaine. Puis il y eut notamment le v. Contre l’hépatite 2, mais aussi les adjuvants utilisés (alumine..) avant d’en arriver aux modif adn… Enfin.. c’est un poil en marge du sujet traité. Meilleures salutations .

  2. Le ‘hazard’ sert à nommer des circonstances inconnues. Une fois l’inconnu ‘investigué’ cela devient ‘connu’. La sagesse ancienne mais aussi la recherche ‘quantique’ et… La logique si on observe nos processus de construction tendent à nous démontrer que les objets que nous observons ont été pensés avant d’être planifiés puis réalisés dans la matière visible. D’où ‘ce qui est en haut est en bas’ Pensée, énergie, matière. C’est assez évident pour tous les objets issus de technologies humaine, un peu moins pour le vivant car nous, les humains, avons probablement dû nous couper de l’omniscience pour apprendre de nos interactions dans ce monde appelé 3D.

  3. Le fait que l’humain ne descend pas des grands singes, et d’autres n’ont pas attendu le Pr pour le penser et le méditer, est une façon subtile pour la création de suggérer que l’humain n’est pas sur terre par « hasard ».
    La question que je souhaite poser au Pr est de savoir s’il considère vivre dans un univers réflexif? En fait tout est là! N’est-ce pas?

    1. Je tiens à attirer l’attention sur les ‘réflexions’ binaires trop souvent usées facilitées par une propension du mental qui aime poser des étiquettes sur les sujets, cela le rassure et évacue la peur du vide ou de l’inconnu masquant souvent une vérité plus subtile. Pour moi, Darwin a observé des processus naturels et la création est une option. La réalité est souvent une combinaison de plusieurs points de vue et pas que 2. Ce n’est pas parce qu’on ne connait pas les autres données du pbl qu’elles n’existent pas. Élargir notre réflexion à des ‘inconnues’ permet d’élargir nos connaissances et implique recherche et humilité ce qui est rarement le cas de ceux qui décrètent des vérités ou manipulent. C.G.

  4. D’entrée Mr le Pr dit des choses peu précises, car si nous venons d’un chaos il s’agit d’un chaos situé sous le mur de Planck, donc quantique, certainement pas d’un chaos cosmique.
    Par ailleurs quand il dit que l’humain sur terre est lié au hasard, cela n’engage que lui.
    Il serait tout à fait bienvenu qu’il le précise.
    Je savais que seul 2% du génome compte.
    Bien-sur je ne suis personne, et de façon surprenante le Pr le précise!

    1. Le ‘hazard’ sert à nommer des circonstances inconnues. Une fois l’inconnu ‘investigué’ cela devient ‘connu’. La sagesse ancienne mais aussi la recherche ‘quantique’ et… La logique si on observe nos processus de construction tendent à nous démontrer que les objets que nous observons ont été pensés avant d’être planifiés puis réalisés dans la matière visible. D’où ‘ce qui est en haut est en bas’ Pensée, énergie, matière. C’est assez évident pour tous les objets issus de technologies humaine, un peu moins pour le vivant car nous, les humains, avons probablement dû nous couper de l’omniscience pour apprendre de nos interactions dans ce monde appelé 3D.

  5. ​​Question : est ce que le fait de faire de l’herpès labial peut donner une certaine immunité au virus de la varicelle ?

    1. Dialogue intéressant. Je peux comprendre qu’après les ennuis créés par les obscurantistes ‘au pouvoir’ on s’en tienne à un discours qui reste dans un domaine de compétences relativement cerné compte tenu de la violence dont sont capables certains protagonistes qui se disputent le pouvoir mondial. Je suppose (sans itoire) que les premieres générations de vacc étaient plutôt adaptées à la physiologie humaine. Puis il y eut notamment le v. Contre l’hépatite 2, mais aussi les adjuvants utilisés (alumine..) avant d’en arriver aux modif adn… Enfin.. c’est un poil en marge du sujet traité. Meilleures salutations .

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