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« MES ENFANTS OTAGES D’UN RÉSEAU PÉDOCRIMINEL » | DALILA SADOK

Dalila Sadok

Dalila Sadok : Ia pédocriminalité et les réseaux pédophiles sont un scandale d’État

La pédocriminalité et les réseaux pédophiles sont des fléaux qui touchent de nombreux enfants et familles en France. Ces crimes sont souvent commis en toute impunité, avec la complicité ou l’indifférence des institutions censées protéger les victimes.

Dalila Sadok , mère de deux enfants, une fille et un garçon enlevés par leur père, un pédocriminel violent et manipulateur, raconte comment elle a découvert les abus qu’il leur faisait subir dès leur naissance, comment elle a essayé de les sauver, et comment elle a été confrontée à un système judiciaire corrompu et injuste.

Dalila Sadok
Dalila Sadok.

Le témoignage de Dalila Sadok, mère de deux enfants enlevés par leur père pédocriminel

Dalila a rencontré son ex-compagnon sur internet. Il s’est d’abord montré charmant et attentionné, mais il avait en réalité une emprise sur elle, la frappait, la trompait et la menaçait.

Le couple a eu deux enfants dont Dalila a découvert tardivement qu’il les avait violés dès leur plus jeune âge, leur faisant subir des violences physiques, psychologiques et sexuelles.

Son ex conjoint les exposait à des films pornographiques, les droguait et les emmenait dans des lieux sordides où ils étaient abusés par d’autres adultes.

Dalila a découvert les abus quand sa fille a eu des infections génitales récurrentes tandis qu’elle découvrait une hémorragie anale chez son fils.

Après avoir consulté des médecins qui lui ont dit que c’était normal, que c’était peut-être un problème d’hygiène, elle s’est renseigné auprès d’autres professionnels de santé qui lui ont dit la même chose. Elle ne se doutait alors pas que son ex-compagnon était l’agresseur.

Enfants abusés-Pédocriminalité

Dalila a décidé de le quitter car il ne s’occupait pas des enfants, les laissait seuls et était méchant avec eux. Elle a demandé la garde principale, mais le juge lui a imposé une garde partagée.

Les enfants revenaient de chez leur père dans des états déplorables, sans avoir mangé ni dormi convenablement, dans un mauvais état d’hygiène et traumatisés. Dalila a alors consulté un psychologue, dont l’enquête a confirmé que les enfants devaient revenir vivre chez elle.

Dalila a reçu des appels de ses enfants qui lui ont racontaient ce que leur père leur faisait la nuit.

Elle a commencé à constituer un dossier en enregistrant les appels, en recueillant leurs dessins, ainsi que des témoignages et attestations. Elle a porté plainte, en livrant toutes ces preuves aux gendarmes qui lui ont alors affirmé que le père allait être incarcéré. Mais rien ne s’est passé, les preuves ont disparu et le père n’a pas été inquiété.

En revanche, Dalila a été convoquée par un nouvel expert psychologue qui l’a examinée pendant 10 minutes. Il a rendu un rapport concluant qu’elle était atteinte d’une maladie incurable, qu’elle avait menti pour obtenir la garde de ses enfants, qu’elle avait manipulés afin qu’ils accusent leur père.

Le juge s’est basé sur ce rapport pour lui retirer la garde, lui interdire de voir ses enfants et la condamner à payer une pension alimentaire. Dalila a contesté ce rapport, en demandant des contre-expertises, mais n’a pas été entendue.

Dalila a remarqué des symboles étranges dans les documents de son dossier, tels que trois points ou trois étoiles. Elle s’est alors renseignée et a appris qu’il s’agissait des signes de franc-maçonnerie, indiquant l’appartenance à une loge.

Signature à 3 points- Franc-maçonnerie

Elle a montré les dessins de ses enfants à une ancienne victime de réseau pédocriminel qui, en les voyant, lui a confirmé qu’ils avaient assisté à des meurtres ou des rituels. Elle a alors réalisé que son ex-compagnon était protégé par un réseau puissant et corrompu.

Dalila a été convoquée par le juge, qui a refusé un report d’audience et a repris les conclusions de la partie adverse. Le père a kidnappé les enfants à l’école avec l’aide de son avocat, des services sociaux et des gendarmes et Dalila a été privée du droit de voir ses enfants.

Les enfants de Dalila ont ensuite été victime de placements abusifs par l’aide sociale à l’enfance (ASE) et elle dénonce le silence et la complicité de l’ASE, des juges et des médecins.

Elle a subi des agressions et tentatives d’empoisonnements de la part de son ex-compagnon ainsi que des menaces et du harcèlement de lui et ses complices.

Dalila a été cambriolée plusieurs fois et ses papiers ont été volés. Sa voiture a été sabotée et son pneu rongé par de l’acide. Elle a également été suivie et intimidée par des hommes.

Ses enfants ont porté plainte contre leur père pour abus sexuels et violences. Elle a reçu le soutien de ses proches et amis et a rencontré des personnes qui ont vécu la même chose qu’elle, des avocats courageux qui l’ont défendue et des associations qui l’ont aidée.

Dalila a créé le MAPIF, une ONG pour la protection de l’enfance. Elle veut recueillir des témoignages de parents victimes, et saisir l’ONU pour condamner la France, en s’inspirant de l’action de Stan Maillaud, un ancien gendarme ayant enquêté sur les réseaux pédophiles.

Dalila Sadok-MAPIF ONG- Lutte contre le pédocriminalité

L’intervention de Maître Frédéric Pichon, avocat spécialisé dans les affaires de placement abusif d’enfants

Maître Pichon, avocat spécialisé dans les affaires de placement abusif d’enfants, traite de la situation des parents dont les enfants ont été placés abusivement par l’aide sociale à l’enfance (ASE), dénonce les dysfonctionnements du système judiciaire, les réseaux d’influence et les pressions subies par les mères d’enfants abusés.

Il témoigne de son expérience dans la défense de ces parents et dénonce les violations des droits, les faux rapports, les pressions hiérarchiques, les intérêts financiers et les procédures dérogatoires qui caractérisent ce domaine.

Maître Pichon critique le syndrome d’aliénation parentale, une théorie controversée qui sert à discréditer les mères qui dénoncent les violences sexuelles sur leurs enfants, affirmant qu’elle ne repose sur aucun fondement scientifique et qu’elle est utilisée par des experts complaisants ou incompétents et contraire aux droits de l’homme et de l’enfant.

Maître Pichon expose le cas de la ville de Nice et de ses réseaux d’influence, et expose le cas de la mère d’un enfant violé qui a été confrontée à un père policier et franc-maçon.

Il décrit comment son audition a été bâclée, sa plaint classée sans suite et son expertise annulée et révèle comment une procédure accélérée pour enlèvement d’enfant a été lancée contre la mère.

Il démontre comment une juridiction locale où tout se tient a protégé le père et condamné la mère, soulignant l’absence de contrôle et de transparence de la justice dans ce domaine.

Abus-Enfants- Pédocriminalité

La situation des parents dont les enfants ont été placés abusivement par l’aide sociale à l’enfance (ASE)

Maître Pichon affirme que les placements d’enfants sont souvent injustifiés, arbitraires et traumatisants pour les familles et critique le manque de contrôle et de transparence de l’ASE et des juges des enfants. Il conclut que c’est un scandale d’État qui doit être dénoncé et réformé.

Il explique le cadre juridique et les procédures liées à l’assistance éducative et au placement d’enfants et dénonce les dérives et les idéologies qui conduisent à enlever les enfants à leurs parents. Il présente des exemples concrets de placement abusif ou de signalement ignoré.

Des parents sont privés de leurs enfants sur la base de signalements anonymes, souvent motivés par des conflits familiaux, des jalousies, des rancœurs.

Des visites médiatisées leurs sont imposées, sans respecter les souhaits des enfants, qui sont souvent traumatisés par la séparation. Des rapports d’enquête sociale sont rédigés par des travailleurs sociaux qui tronquent ou falsifient la réalité, ne tiennent pas compte des éléments favorables aux parents, ou inventent des faits ou des accusations.

Abus-Enfants- Pédocriminalité

Maître Pichon dénonce les procédures dérogatoires qui ne garantissent pas les droits des parents, qui sont souvent informés tardivement ou incomplètement des motifs du placement, n’ont pas accès au dossier, pas le droit à un avocat, ni à un recours.

Les juges des enfants se basent sur les rapports de l’ASE sans vérification, ne reçoivent pas les parents, classent sans suite les plaintes pour faux qui traînent en longueur et ne sanctionnent pas les auteurs de faux rapports.

Maître Pichon expose le cas de Dalila, victime du placements abusifs de ses enfants par l’ASE et raconte comment elle a été confrontée à des rapports mensongers, des juges partiaux et des services sociaux complices.

Pour avoir dénoncé l’agresseur, elle a ainsi été empêchée de voir ses enfants, harcelée et menacée et condamnée à payer une pension alimentaire.

Conclusion

La pédocriminalité et les réseaux pédophiles sont des réalités effroyables qui touchent de nombreux enfants et familles en France. Ces crimes sont souvent commis en toute impunité, avec la complicité ou l’indifférence des institutions censées protéger les victimes.

Dalila et Maître Pichon démontrent comment des parents sont privés de leurs enfant placés abusivement, comment des mères sont accusées de manipulation, comment des pères sont protégés par des réseaux d’influence.

Ils défoncent la justice, la médecine, les médias, les services sociaux corrompus, inefficaces et injustes et comment un scandale d’État est étouffé et ignoré.

Le témoignage de Dalila a pour but de sensibiliser le public à cette problématique, de soutenir les victimes et les lanceurs d’alerte, de dénoncer les coupables et les complices, de réclamer des réformes et des sanctions.

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