Le 27 octobre à 9h, Alain Le Bihan est l’invité de Nicolas Stoquer, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Alain Le Bihan est un auteur et économiste français, diplômé en sciences économiques. Il a une expérience variée dans le secteur privé et les institutions, ayant travaillé principalement dans de petites entreprises et acquis une expérience internationale en Europe et en Asie du Sud-Est. Il a récemment publié « ÉNERGIE : UN CRIME D’ÉTAT: « Pourquoi votre facture d’électricité explose » ».
États-Unis et hégémonie mondiale : la fin d’un règne absolu
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont façonné le monde moderne en tant que superpuissance dominante. Cette position hégémonique, appuyée par des alliances militaires et économiques, vise à garantir leurs intérêts tout en imposant leur vision de l’ordre mondial. Chaque président américain, en suivant sa propre doctrine, a su renforcer cette suprématie par des interventions directes, des coups d’État orchestrés, ou par une diplomatie ciblée. Cependant, cette domination sans partage montre aujourd’hui des signes de faiblesse, et l’autorité américaine est de plus en plus contestée sur plusieurs fronts, notamment par des rivaux comme la Chine et la Russie.
Mais qu’est-ce qui motive réellement cette soif de leadership global ? Derrière les idéaux de démocratie et de liberté souvent brandis par Washington, des intérêts économiques et stratégiques se dessinent, révélant une politique d’influence très calculée. En Afrique, au Moyen-Orient, ou encore en Amérique latine, cette quête de domination passe par un jeu subtil d’alliances, de pressions économiques et parfois de conflits. Pourtant, alors que le monde devient de plus en plus multipolaire, cette emprise semble de plus en plus remise en cause, annonçant peut-être un tournant majeur dans l’histoire des relations internationales.
Derrière le masque altruiste des États-Unis
Les États-Unis se présentent souvent comme le gendarme du monde, mais leur engagement sur la scène internationale n’a pas toujours été dicté par des motifs purement altruistes. Derrière les discours officiels se cachent des objectifs de contrôle des ressources, de protection des multinationales américaines et de maintien de leur influence sur les marchés mondiaux. Chaque président, qu’il soit républicain ou démocrate, a ainsi dû jongler entre des impératifs moraux et des impératifs stratégiques, souvent en se heurtant à des dilemmes éthiques et géopolitiques complexes.
La politique étrangère des États-Unis s’est construite autour de deux grands axes : l’interventionnisme et la coopération stratégique. D’un côté, des interventions militaires directes, comme celles en Irak ou en Afghanistan, ont servi des objectifs de sécurité nationale mais ont souvent semé le chaos dans les régions concernées. D’un autre côté, des alliances comme celles avec l’OTAN permettent de stabiliser certaines zones stratégiques et de projeter la puissance américaine sans avoir à déployer de troupes. Ces choix, bien que controversés, visent avant tout à renforcer l’influence américaine et à asseoir leur rôle de leader mondial. Toutefois, la résistance croissante de pays comme l’Iran ou la Russie montre bien que cette domination est loin d’être inébranlable.
Trump et l’Amérique d’abord
L’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche a marqué un tournant inédit dans l’histoire de la diplomatie américaine. Loin des discours de consensus, Trump a mis en avant une vision nationaliste, affirmant haut et fort son intention de se désengager des affaires du monde pour se concentrer sur les intérêts domestiques des États-Unis. Avec sa doctrine « America First », il a rompu avec la tradition d’une diplomatie multilatérale, s’attaquant frontalement à des institutions pourtant essentielles comme l’OTAN, et défiant des puissances économiques telles que la Chine et l’Union Européenne.
Cette approche a suscité de vives réactions, tant au niveau national qu’international. D’un côté, elle a permis aux États-Unis de reprendre une certaine indépendance, mais elle a aussi laissé un vide diplomatique que des puissances rivales se sont empressées de combler. La politique étrangère de Trump a redéfini les règles du jeu, mais elle a également révélé une Amérique de plus en plus divisée quant à son rôle sur la scène internationale. Alors que la place des États-Unis comme leader mondial vacille, cette stratégie isolationniste soulève des questions essentielles sur l’avenir de l’ordre mondial et sur les nouvelles alliances qui pourraient émerger dans les années à venir.
5 Responses
Arrêtez de répéter que la France est une république ! La France est une réprivée (comme les quatre précédentes) puisque notre pays est une oligo-ploutocratie. Valérie Bugault, docteur en droit, fut la première à le dire. Si la France était une république elle serait une démocratie ou une semi-démocratie (comme la Suisse) puisque le mot « république » signifie « chose publique ».
Les quatre fondements de la démocratie sont le RIC constituant, les autres RIC (législatif, abrogatoire, révocatoire, veto), le tirage au sort des représentants et les conventions citoyennes (définies par Jacques Testart – Tout RIC devra être précédé d’une convention citoyenne dont les quinze membres tirés au sort rendront un avis éclairé sur tel sujet après avoir écouté des experts ne partageant pas la même opinion). Il n’y a pas de partis politiques dans une démocratie. Ces derniers, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste, dressent les Français les uns contre les autres pour le plus grand profit de cette dernière. En revanche, les représentants pourront être des membres de cercles de réflexion (Le Cercle Aristote, la Fondation Jean-Jaurès, etc.) qui auront été tirés au sort parmi des volontaires, mais il ne sera bien sûr pas impératif d’être membre d’un cercle de réflexion pour pouvoir participer à ces tirages au sort. Les représentants seront soumis au mandat impératif, à la reddition des comptes en cours et à la fin de leurs mandats et pourront faire l’objet d’un RIC révocatoire si leurs administrés ne sont pas satisfaits de leur travail.
Je rajouterais que la date de l’incendie est un jour 22! (15/4/2019= 1+5+4+2+1+9=22) C’est la signature des commanditaires. (JFK assassiné un 22/11, mouvement du 22mars -lancement de mai 68- il y a des centaines de cas, cherchez et vous trouverez: nombres clés: 22, 11, puis 13 et 6, puis 4.
Nicolas s’est fait influencer par un FM qui parle souvent de cathédrales sur GPTV mais surtout pas d’incendies volontaires auxquels il ne croit pas; pourtant: 32 incendies de Notre Dame de x… contre 4 incendies de cathédrales St Etienne ou St Truc homme. Pour Paris, les preuves d’incendies par Service Secrets ont abondé dans les 3 jours qui ont suivi, pour disparaitre ensuite. Pêle-Mêle de mémoire: Les visites touristiques qui ferment exceptionnellement 1h avant; la vidéo d’un homme qui fait des allées-et venues sur le toit avec un appareil qui fait des sortes d’éclats de temps en temps; l’expert qui au JT dit qu’il faudrait « vraiment beaucoup beaucoup de petit bois pour mettre le feu à des poutres pareilles » -sic-…. suivie d’une loi interdisant les interviews en direct sur ce sujet (un léger différé permettant de couper ce genre de propos). L’expert en question dont je n’ai pas noté le nom n’a pas été réinvité; la date (15/4) fort opportune pour faire diversion aux GJ; L’informatique du système de sécurité bidouillée puisqu’aux premières flammes et fumées, elle a envoyé les pompiers à l’opposé, dans une zone où il n’y avait pas la moindre alerte (il suffit d’inverser les fils de 2 détecteurs de fumées loin l’un de l’autre); j’en oublie. L’incendie de ND a fait d’une pierre 5 coups: 1)disparition des nombreux graffitis runiques et vikings gravés par les ouvriers sur les poutres de la charpente….et même sculptés dans la pierre au milieu des signes chrétiens; 2) diversion GJ; 3)maçonnisation et kabalisation du décor intérieur lors de la reconstruction; 4) Un élément de plus pour la destruction de ce qui a fait la France 5) Je viens de l’entendre sur GPTV: vengeance de l’autodafé de talmuds sur le parvis de ND par Louis 14 (à confirmer).
ils ont préparé , la grande cérémonie sataniste qui va avoir lieu le 7 décembre prochain à Notre Dame de Paris, ou les plus hautes autorités satanistes seront présentes (les JO étaient la grande répétition de ce qui va se passer). Maintenant, on sait qu’en Février 2018, un an avant l’incendie : la société AUBRIAT d’Epinal répand un gel sur toute la charpente de Notre Dame. Stupéfaction et absurdité: alors que l’on sait qu’aucun traitement antifongique est nécessaire sur des poutres en chêne qui ont plusieurs siècles ! Mode opératoire :
1. Mandater une société qui n’a aucune expérience dans le traitement de poutres sur des monuments
historiques et inventer la présence de champignons type mérule
2.Mandater une société qui est affamée, manipulable au niveau de la technique et du protocole
3. Payer cette entreprise généreusement pour qu’elle fasse ce qu’on lui dit de faire sans poser de questions
4. Lui fournir un produit, une formulation différente de ce que la société Aubriat pense utiliser
5. Complicités dans le service de sécurité de Notre-Dame, aux monuments historiques et totale implication au plus haut niveau de l’État avec les services de renseignements. https://www.profession-gendarme.com/attentat-incendie..