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UNE GRANDE GUERRE OU UNE GRANDE RÉNITIALISATION POUR SORTIR DE LA CRISE ? AVEC OLIVIER DELAMARCHE

Olivier Delamarche- Crise-Great Reset

Censure, guerre, inflation et expatriation : l’analyse sans filtres d’Olivier Delamarche

Olivier Delamarche, économiste français, est connu pour son franc-parler, son indépendance d’esprit et sa critique du système.

Dans cet entretien, il nous livre sa vision sans concession sur les sujets brûlants de l’actualité, tels que la censure de RT France, le conflit entre la Russie et l’Ukraine, la crise économique et énergétique, la hausse des prix, le rôle des banques centrales et les opportunités d’investissement et d’expatriation.

Olivier Delamarche.
Olivier Delamarche.

La censure de RT France par le gouvernement français

Olivier Delamarche dénonce l’interdiction de diffusion de la chaîne russe RT France par le gouvernement français, sous prétexte de propagande.

Il défend la liberté d’expression et le droit de propriété des journalistes et des techniciens de RT France, qui sont pour la plupart des Français et affirme qu’il n’a jamais subi de pression ni de contrôle de la part de Moscou, et qu’il a toujours pu s’exprimer librement sur cette chaîne.

Il accuse le gouvernement français de vouloir museler les voix dissidentes et de se soumettre aux intérêts américains.

RT France

Le conflit entre la Russie et l’Ukraine

Olivier Delamarche accuse les États-Unis et l’Union européenne d’avoir provoqué la guerre en Ukraine, en ne respectant pas les accords de Minsk, qui prévoyaient un cessez-le-feu, une autonomie des régions séparatistes et un dialogue entre les parties.

Il critique le soutien financier et militaire de la France à l’Ukraine, un pays corrompu et dirigé par un pantin, qui n’a aucun intérêt stratégique ni économique pour la France.

Il dénonce également l’hypocrisie des médias et des politiques qui diabolisent la Russie et ignorent les victimes civiles du conflit.

Il appelle à un rapprochement avec la Russie, un partenaire historique et culturel de la France, et à une sortie de l’OTAN, une organisation obsolète et belliciste.

Centrales nucléaires-Crise énergétique

La situation économique et énergétique de la France

Olivier Delamarche alerte sur le déficit commercial record de la France, qui traduit la perte de compétitivité de l’industrie française, face à la concurrence internationale.

Il attribue ce problème à la politique monétaire laxiste de la Banque centrale européenne, qui maintient des taux d’intérêt artificiellement bas et qui favorise la spéculation et l’endettement, au détriment de l’investissement productif.

Olivier Delamarche pointe également la gestion calamiteuse de la crise sanitaire par le gouvernement français, qui a imposé des confinements, des couvre-feux et des restrictions, qui ont plombé l’activité économique et sociale.

Il souligne enfin les conséquences désastreuses des sanctions contre la Russie, qui ont privé la France d’un marché important et d’une source d’approvisionnement en gaz.

Olivier Delamarche explique que la réindustrialisation de la France est impossible avec des prix de l’énergie trop élevés, qui pénalisent la compétitivité des entreprises françaises. Il prévoit que les grandes entreprises vont se délocaliser aux États-Unis, où l’énergie est quatre fois moins chère, grâce au gaz de schiste.

Il craint que les PME, qui représentent le tissu économique et social de la France, ne mettent la clé sous la porte, faute de pouvoir payer leurs factures.

Selon lui, le nucléaire est la seule solution viable pour assurer l’indépendance énergétique de la France, et il est indispensable de relancer la construction de nouvelles centrales.

Olivier Delamarche ironise sur l’incompétence de Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie et ses annonces mensongères sur la croissance et l’emploi.

Inflation Hausse des prix à la consommation

La hausse des prix à la consommation

Olivier Delamarche analyse les causes et les conséquences de la hausse des prix à la consommation, qui affecte le pouvoir d’achat des Français.

Il distingue deux types d’inflation :

  • L’inflation par la demande, qui résulte d’un excès de consommation par rapport à l’offre.
  • L’inflation par les coûts, qui résulte d’une augmentation des prix des matières premières, de l’énergie, du transport, etc…

Il affirme que l’inflation actuelle est de nature coûteuse et qu’elle est liée à la récession économique provoquée par la crise sanitaire et les mesures gouvernementales.

Selon lui, la hausse des taux d’intérêt, censée lutter contre l’inflation, ne sert à rien dans ce contexte et va au contraire aggraver la situation, en alourdissant le poids de la dette publique et privée et en fragilisant la zone euro.

Olivier Delamarche dénonce le mensonge des statistiques officielles, qui sous-estiment l’inflation réelle, en excluant certains produits ou en modifiant les pondérations et affirme que le coût de la vie augmente bien plus que l’inflation officielle et que les Français le ressentent au quotidien.

Il met en cause la politique monétaire de la Banque centrale européenne, qui crée de la fausse monnaie avec les quantitatives easing, et dévalue l’euro.

Il conseille aux Français de se protéger de la perte de valeur de la monnaie, en achetant de l’or, qui est une valeur refuge, ou en ouvrant un compte en Suisse, qui offre plus de sécurité et de diversité que les banques françaises.

Standard Or

La crise économique et financière mondiale

Olivier Delamarche élargit son propos à la situation économique et financière mondiale, marquée par la récession, l’endettement, la bulle spéculative et le risque systémique.

Il décrit les différents facteurs qui contribuent à cette crise, tels que :

  • La politique zéro covid de la Chine, qui perturbe les chaînes de production et de distribution,
  • La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, qui menace la stabilité du commerce mondial,
  • La faillite potentielle de l’immobilier chinois, qui pourrait entraîner un effet domino sur les marchés financiers,
  • La fragilité des banques commerciales, qui sont exposées aux risques de crédit et de liquidité.

Olivier Delamarche critique le rôle des banques centrales, qui sont à l’origine de la crise et prétendent la résoudre.

Il explique qu’elles ont administré les taux d’intérêt, en achetant massivement des obligations sur les marchés, pour faire baisser les taux et financer les déficits publics.

Il dénonce la création monétaire excessive, qui a alimenté la bulle spéculative, en faisant monter les prix des actifs financiers, tels que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies et prévoit que les banques centrales vont devoir faire machine arrière, et reprendre la planche à billets, pour éviter l’effondrement du système.

Olivier Delamarche compare les différentes monnaies et leur capacité à résister à la crise, affirmant que le dollar reste la monnaie de référence, malgré ses faiblesses, car il est le plus liquide, le plus utilisé et le plus sûr en cas de crise.

Il estime que l’euro est une monnaie artificielle, qui ne repose sur aucune réalité économique, politique ou culturelle, et qui est menacée par les divergences entre les pays membres et juge que le yen est une monnaie moribonde, qui reflète le déclin du Japon.

Il conseille aux investisseurs de diversifier leur portefeuille, en incluant des devises émergentes, comme le yuan chinois, le rouble russe ou le real brésilien.

Monnaies- Valeurs

Les possibilités d’investissement et d’expatriation

Olivier Delamarche évoque enfin les possibilités d’investissement et d’expatriation pour les Français qui veulent protéger leur patrimoine.

Il critique le système fiscal français, qui est confiscatoire, injuste et inefficace et déconseille d’investir dans le marché boursier français, qui est truqué, manipulé et surévalué.

Il met en garde contre le private equity, qui est un piège à gogos promettant des rendements mirobolants, mais qui cache des frais exorbitants et des risques énormes.

Il propose quelques pistes pour diversifier son patrimoine, comme l’or, les métaux précieux, les terres agricoles, les forêts, les œuvres d’art …

Olivier Delamarche évoque également la possibilité de s’expatrier, pour bénéficier d’un cadre de vie plus agréable, d’une fiscalité plus avantageuse, et d’une meilleure sécurité juridique.

Il cite quelques pays qui offrent ces conditions, comme la Suisse, le Portugal, la Nouvelle-Zélande, le Canada, ou encore la Russie.

Il reconnaît que l’expatriation n’est pas une décision facile, et qu’elle implique des sacrifices, notamment au niveau familial et social et conseille aux Français qui veulent franchir le pas de bien se renseigner, de se préparer, et de s’adapter.

Sortez du système et protégez votre patrimoine avec le radar financier :

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