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IDENTITÉ OU SOUVERAINETÉ : LE CLASH ! AVEC RÉMI TELL ET THOMAS FERRIER

Débat Rémi Telle et Thomas Ferrier

L’Europe, la France et la souveraineté de la nation : un débat entre Rémi Tell et Thomas Ferrier

Le débat que nous vous proposons confronte les arguments de deux personnalités politiques et intellectuelles aux visions opposées de l’Europe, de la France et de la nation :

Rémi Tell, président du collectif Peuple Libre et auteur de La Chute de Prométhée et Thomas Ferrier, président du Parti des Européens et auteur de Le Retour des Européens.

Cet entretien pose des questions d’identité, de souveraineté, d’immigration, de géopolitique, de religion et de civilisation.

France-Europe-Souveraineté

L’Europe, une réalité ou un fantasme ?

La première partie du débat est consacrée à la question de l’identité européenne et de sa pertinence face à l’identité nationale.

Rémi Tell et Thomas Ferrier exposent leurs visions respectives de l’Europe, de la France et de la nation, en confrontant leurs arguments historiques, politiques et idéologiques.

Rémi Tell critique l’européisme comme un fantasme idéologique, politique et personnel.

Il dénonce la diversité ethnique, historique et religieuse de l’Europe, qui empêcherait toute unité et toute solidarité entre les peuples européens et accusé l’Union européenne de favoriser l’immigration et la domination allemande, au détriment des intérêts et de la souveraineté des nations.

Rémi Tell oppose la vision française universaliste et humaniste à la vision européenne racialiste et païenne.

Rémi Tell
Rémi Tell.

Thomas Ferrier défend l’européisme comme une réalité historique, culturelle et biologique.

Il affirme l’unité ethnique et génétique des peuples européens, issus des Indo-Européens, ayant une origine, une langue et une religion communes.

Il rejette la notion de nation française, illusion universaliste et multiculturaliste créée par la Révolution française et la République, proposant une vision européenne identitaire et politique, fondée sur la souche et la civilisation.

L’Europe, puissance ou victime ?

Rémi Tell et Thomas Ferrier débattent ensuite de la géopolitique profonde de l’Europe, de lunité européenne, de la sortie de l’Union européenne et du rôle du christianisme dans sa construction.

Rémi souligne les limites d’un État européen unitaire, qui nierait le politique et la diversité des intérêts et des besoins des régions européennes et ferait perdre l’identité et la souveraineté nationale au profit d’un pouvoir centralisé et technocratique.

Il insiste sur la responsabilité de l’Union européenne dans la crise migratoire, qui impose des quotas d’accueil aux pays membres, viole le droit international en renvoyant des migrants en Algérie et subit l’influence des lobbys et des ONG pro-migrants.

Il plaide pour une sortie de l’Union européenne, qui ne suffirait pas à restaurer la maîtrise des frontières, mais qui serait un préalable à la reconquête de la souveraineté nationale.

Thomas Ferrier expose sa vision d’un État européen unitaire et identitaire, avec une langue commune et une citoyenneté européenne excluant les populations extra-européennes, quitte à écraser les obstacles étatiques.

Il explique le fonctionnement et les limites de l’Union européenne sur la question migratoire, qui serait contrainte par les juridictions nationales et européennes, qui protégeraient les droits des migrants, et qui serait soumise aux pressions des États membres, qui auraient des intérêts divergents.

Thomas Ferrier appelle à une solution européenne et révolutionnaire pour défendre l’Europe et sa race.

Thomas Ferrier
Thomas Ferrier.

L’Europe, une foi ou une raison ?

La troisième partie aborde la religion et la civilisation européenne. Thomas Ferrier critique le christianisme comme facteur de division et de soumission, défendant l’identité païenne et indo-européenne. Rémy reconnaît les dérives du christianisme politique mais affirme que la foi chrétienne est au cœur de l’âme européenne.

Thomas Ferrier critique le christianisme comme facteur de division et de soumission des Européens.

Il défend l’identité païenne et indo-européenne comme source commune des peuples européens et dénonce l’universalisme chrétien et maçonnique comme précurseur de l’universalisme progressiste et mondialiste. Il conteste l’existence du Dieu monothéiste.

Église-Christianisme

Rémy reconnaît les dérives du Vatican et du christianisme politique, mais il affirme que la foi chrétienne est au cœur de l’âme européenne.

Il défend la preuve scientifique de l’existence de Dieu et la révélation chrétienne comme la fin de la distinction entre le peuple de Dieu et les autres peuples.

Rémi Tell dénonce également le matérialisme et le techno-marxisme qui tuent le monde occidental. Il se dit opposé à l’avortement, au mariage homosexuel ou à la PMA.

L’Europe, une alliance ou une opposition ?

Rémi critique l’universalisme comme un dévoiement du christianisme, qui aurait conduit à l’effacement des frontières et des identités.

Il souligne l’importance de défendre les peuples européens et la faillite de l’Union européenne dans ce domaine, condamnant les dirigeants qui ont envoyé les peuples européens s’entretuer. Rémi remet en cause les jours de commémoration des victoires et des défaites.

Il reconnaît néanmoins des objectifs communs avec Thomas, mais des moyens différents.

Thomas Ferrier défend l’universalisme comme une valeur européenne ayant permis de créer des liens entre les peuples et de promouvoir les droits de l’homme.

Il se dit proche du peuple mais pas du militantisme de terrain, qui serait selon lui, inefficace et dangereux.

Il propose de fusionner les sièges européens au Conseil de sécurité de l’ONU, pour renforcer la voix de l’Europe dans le monde.

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