L’âge d’or de l’immobilier est révolu
Cher lecteur,
L’immobilier ne se vend plus…
Cela peut sembler presque normal à la jeune génération et à tous ceux qui n’ont pas atteint les 50 ans ou plus.
Car je vous parle d’un temps que les moins de 40 ans n’ont pas connu.
Celui d’un temps où le marché immobilier était abordable,
Celui d’un temps où les logements s’achetaient aussi vite qu’ils se vendaient,
Celui d’une époque révolue où les prix étaient plus que bas.
Dans le 16ᵉ arrondissement de Paris, un appartement dans un immeuble en pierre de taille valait au mieux 1 500 euros le m²…
C’était à la fin des années 90. Les prix ont commencé à monter à partir de 1997.
Depuis, même un pigeon aurait pu réussir à gagner de l’argent en achetant sa volière.
Saviez-vous qu’il y a 70 ans, avec un seul lingot d’or, vous pouviez acheter trois appartements de 80 m² dans une grande ville ?
Maintenant, les prix sont devenus prohibitifs, ce qui a fait l’affaire de ceux qui revendaient avec une plus-value.
Mais voilà, l’argent (et encore plus l’or) se faire rare dans les poches des futurs investisseurs ou des personnes qui veulent acheter leur logement, et l’immobilier ne se vend plus…
“Immobilier : que faire si vous n’arrivez pas à vendre ?”
C’est ce que titrait il y a peu le magazine “Le Monde”.
Alors que, ces dernières années, tous les biens immobiliers se vendaient sans effort, la situation a bien changé.
La note de conjoncture du mois de juin de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) montre que le nombre de ventes s’est considérablement réduit depuis le 1er janvier.
Si cette tendance se confirme jusqu’en décembre, cela constituera la 2ᵉ plus forte baisse des 50 dernières années.
Sur le terrain, les agents immobiliers font tous le même constat :
« Il n’y a plus d’acheteurs, tout est ralenti. Des logements que nous aurions vendus en très peu de temps l’an dernier, comme les petites surfaces avec vue ne reçoivent aucune visite », témoigne Anne Monard Bretin, directrice de l’agence Guy Hoquet l’immobilier dans le quartier de la Croix-Rousse, à Lyon.
La principale explication, c’est qu’une partie des acquéreurs a perdu sa capacité d’emprunt.
« L’effet de l’inflation de ces derniers mois et les difficultés croissantes d’accès au crédit immobilier se font clairement ressentir », regrette Loïc Cantin, président de la Fnaim.
Les taux d’intérêt qui tournent aux alentours de 4 % couplés à des prix de l’immobilier qui se situent encore à un niveau élevé réduisent, en effet, le nombre d’acheteurs.
« Nos clients nous disent souvent qu’ils aimeraient bien acheter, mais qu’à ce prix-là, ils ne peuvent plus. Ils ont parfois perdu 40 000 euros ou 50 000 euros de pouvoir d’achat », explique Olivier Princivalle, président de la Fnaim du Grand Paris.
Alors que faire ?
Certains vendeurs pourront différer leur projet pour attendre des jours meilleurs, mais cela n’est pas possible pour tout le monde.
Dans ce cas, comment arriver à vendre ?
Voici ce que préconisent les agents immobiliers :
Ne pas mettre en vente trop chère par rapport au marché est un élément clé.
« Cela peut sembler une évidence, mais une partie des vendeurs n’arrivent pas à intégrer le fait que le marché baisse. Ils ont un prix en tête dont ils ne veulent pas démordre », martèle Aurélien Denéchère, cogérant de l’agence L’Adresse, à Angers.
C’est un renversement peut-être historique qui se joue sur le marché immobilier mondial en général et français en particulier.
Gagner de l’argent avec l’immobilier va devenir nettement plus difficile.
Et être propriétaire, devenir plus compliqué.
Vous aviez l’intention d’investir dans la pierre ?
Vous avez investi dans l’immobilier et vous n’arrivez pas à vendre ?
Vous avez essayé d’emprunter et les banques vous ont ri au nez ?
Ne baissez pas les bras, car la crise est encore devant nous, mais il existe des solutions, des stratégies pérennes, légales et plus rapides que de mettre vos économies dans un logement qui vous restera sur les bras le jour où vous voulez le vendre.
Il existe des placements pour qui vous donneront plus de pouvoir d’achat et d’arguments à présenter à votre conseiller financier.
Ces solutions, je vous en fais part dans la Lettre Confidentielle de Géopolitique Profonde.
Vous y trouverez des investissements pour pouvoir mettre votre épargne à l’abri de la cupidité des gouvernements (que vous soyez Français, Belge, Suisse ou Canadien… mes stratégies sont faites pour fonctionner partout dans le monde).
Ce sont des solutions d’investissements qui se trouvent hors banque et en dehors de votre pays de résidence pour que votre argent soit en totale sécurité vis-à-vis de l’État !
Vous y trouverez également les informations sur ce que vous réservent Davos et ses lieutenants, vous serez informé bien avant que les médias en parlent.
Amicalement,
Franck Pengam | Fondateur de Géopolitique Profonde
